"Les Bor\u00E9ades"@fr . . "Toby Spence"@fr . . "en"@fr . . . "Abaris ou les Bor\u00E9ades, trag\u00E9die lyrique command\u00E9e \u00E0 Jean-Philippe Rameau par l\u2019Op\u00E9ra de Paris, fut mise en r\u00E9p\u00E9tition au printemps 1763 mais de toute \u00E9vidence abandonn\u00E9e avant la premi\u00E8re. L\u2019auteur du livret reste incertain m\u00EAme s\u2019il est souvent attribu\u00E9 \u00E0 Louis de Cahusac, librettiste de nombreuses \u0153uvres de Rameau mais d\u00E9c\u00E9d\u00E9 quelques ann\u00E9es auparavant. Atteint de \u00AB fi\u00E8vre putride \u00BB le 23 ao\u00FBt 1764, Rameau mourut le 12 septembre. L\u2019\u0153uvre ne fut ni repr\u00E9sent\u00E9e ni \u00E9dit\u00E9e en son temps."@fr . . . . . . . . . . . . . "Z rodu Boreasza"@pl . . . . . . . . . "180966228"^^ . . . . . "Les Bor\u00E9ades"@it . . . . . "14066"^^ . "397191"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Toby Spence"@fr . . . . . . . . . . "Abaris ou les Bor\u00E9ades, trag\u00E9die lyrique command\u00E9e \u00E0 Jean-Philippe Rameau par l\u2019Op\u00E9ra de Paris, fut mise en r\u00E9p\u00E9tition au printemps 1763 mais de toute \u00E9vidence abandonn\u00E9e avant la premi\u00E8re. L\u2019auteur du livret reste incertain m\u00EAme s\u2019il est souvent attribu\u00E9 \u00E0 Louis de Cahusac, librettiste de nombreuses \u0153uvres de Rameau mais d\u00E9c\u00E9d\u00E9 quelques ann\u00E9es auparavant. Atteint de \u00AB fi\u00E8vre putride \u00BB le 23 ao\u00FBt 1764, Rameau mourut le 12 septembre. L\u2019\u0153uvre ne fut ni repr\u00E9sent\u00E9e ni \u00E9dit\u00E9e en son temps. Une premi\u00E8re diffusion radiophonique, incompl\u00E8te, fut donn\u00E9e le 16 octobre 1964 par l\u2019ORTF. La premi\u00E8re ex\u00E9cution int\u00E9grale, en concert, date du 14 avril 1975 \u00E0 Londres. Elle \u00E9tait dirig\u00E9e par John Eliot Gardiner, le m\u00EAme chef qui assura la premi\u00E8re repr\u00E9sentation th\u00E9\u00E2trale. Celle-ci eut lieu lors du Festival d\u2019Aix en Provence le 21 juillet 1982 apr\u00E8s plus de deux si\u00E8cles d\u2019oubli presque complet, dans une mise en sc\u00E8ne de Jean-Louis Martinoty qui obtint le Grand Prix de la meilleure production lyrique . Cette exhumation a donn\u00E9 lieu \u00E0 un enregistrement par la firme fran\u00E7aise Erato, sans le livret du fait de l\u2019embargo par l\u2019\u00E9diteur, les \u00E9ditions Stil, auquel la Biblioth\u00E8que nationale de France avait c\u00E9d\u00E9 les droits d'exploitation exclusifs selon la loi qui r\u00E9git les \u0153uvres posthumes. En avril 2003, Les Bor\u00E9ades ont enfin \u00E9t\u00E9 cr\u00E9\u00E9es \u00E0 l\u2019Op\u00E9ra de Paris, dans un spectacle r\u00E9gl\u00E9 par Robert Carsen, avec Barbara Bonney, Paul Agnew, (en), Laurent Naouri et Les Arts florissants sous la direction de William Christie. Parmi les chefs qui ont \u00E9galement c\u00E9d\u00E9 aux charmes de ce testament myst\u00E9rieux, signalons Frans Br\u00FCggen, Roger Norrington (Londres 1986, concert), Simon Rattle (Birmingham 1993, concert ; Salzbourg 1999, en sc\u00E8ne), Marc Minkowski (Lyon et Zurich 2004), Emmanuelle Ha\u00EFm (Mulhouse et Strasbourg 2005), V\u00E1clav Luks (Vienne, Moscou, Versailles, 2020, concert). D'une certaine mani\u00E8re, on peut consid\u00E9rer Les Bor\u00E9ades comme la derni\u00E8re \u0153uvre musicale majeure relevant de l\u2019esth\u00E9tique baroque, m\u00EAme si l'\u0153uvre se d\u00E9marque fort des autres trag\u00E9dies en musique de Rameau."@fr . . "Les Bor\u00E9ades"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .