. . . . . . . . "Le Testament"@fr . . . "293196"^^ . . "Det stora testamentet"@sv . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le Testament est une \u0153uvre po\u00E9tique de Fran\u00E7ois Villon compos\u00E9e en 1461. Riche de plus d'une vingtaine de po\u00E8mes relativement autonomes, l'\u0153uvre est majoritairement form\u00E9e de vers octosyllabiques (mais les pi\u00E8ces lyriques ins\u00E9r\u00E9es sont tant\u00F4t en octosyllabes, tant\u00F4t en d\u00E9casyllabes). Le Testament est consid\u00E9r\u00E9 comme un fleuron de la litt\u00E9rature m\u00E9di\u00E9vale. C'est la plus c\u00E9l\u00E8bre \u0153uvre de Villon avec le Lais, dont elle reprend la forme de , inspir\u00E9 de l'\u00E9criture juridique, ainsi que de nombreux l\u00E9gataires."@fr . . . . . . . . . "Le Testament"@en . "187012884"^^ . . . . . . . . "Wielki testament"@pl . "\u0412\u0435\u043B\u0438\u043A\u0438\u0439 \u0442\u0435\u0441\u0442\u0430\u043C\u0435\u043D\u0442"@uk . . . . . . . "3166"^^ . . . . . . . . "Le Testament est une \u0153uvre po\u00E9tique de Fran\u00E7ois Villon compos\u00E9e en 1461. Riche de plus d'une vingtaine de po\u00E8mes relativement autonomes, l'\u0153uvre est majoritairement form\u00E9e de vers octosyllabiques (mais les pi\u00E8ces lyriques ins\u00E9r\u00E9es sont tant\u00F4t en octosyllabes, tant\u00F4t en d\u00E9casyllabes). Le Testament est consid\u00E9r\u00E9 comme un fleuron de la litt\u00E9rature m\u00E9di\u00E9vale. C'est la plus c\u00E9l\u00E8bre \u0153uvre de Villon avec le Lais, dont elle reprend la forme de , inspir\u00E9 de l'\u00E9criture juridique, ainsi que de nombreux l\u00E9gataires. Mais le Testament se distingue du Lais : outre des legs aux l\u00E9gataires les plus divers (des hommes et des femmes du peuple du Paris du XVe si\u00E8cle, le pr\u00E9fet de police Robert d'Estouteville mais aussi la butte Montmartre), Villon ins\u00E8re dans cette \u0153uvre un ensemble de pi\u00E8ces lyriques. Le Testament est donc un recueil dans lequel trouve de nombreuses ballades c\u00E9l\u00E8bres, notamment la Ballade des dames du temps jadis, qui contient le refrain \u00AB Mais o\u00F9 sont les neiges d'antan ? \u00BB, la Ballade des seigneurs du temps jadis ou encore la Ballade pour prier Notre Dame. Plusieurs pi\u00E8ces lyriques du Testament ont \u00E9t\u00E9 mises en musique. C'est le cas de la Ballade des dames du temps jadis par Georges Brassens, grand admirateur de Villon et passionn\u00E9 du Moyen \u00C2ge tardif, dans son album Le Vent (1953). En 1959, c'est au tour de F\u00E9lix Leclerc d'endisquer un extrait du Testament. Un autre extrait a \u00E9t\u00E9 mis en musique par Alain Souchon sur son album \u00C0 cause d'elle en 2011. Il s'agit du titre Je plain le temps de ma jeunesse. Le premier vers de l\u2019\u0153uvre \u00AB En l'an de mon trenstieme aage \u00BB est commun\u00E9ment reconnu comme une r\u00E9f\u00E9rence implicite au Roman de la rose dont le premier vers, apr\u00E8s l'introduction, est \u00AB En l'an vingtieme de mon aage \u00BB. Le XVe huitain de l\u2019\u0153uvre, par exemple, ajoutant une r\u00E9f\u00E9rence explicite \u00AB Et, comme le noble Romant / De la Rose\u2026 \u00BB"@fr . . .