. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u4F4E\u5730\u65E5\u8033\u66FC\u8BED"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190319791"^^ . . "Les langues germano-n\u00E9erlandaises constituent un sous-ensemble des langues germaniques occidentales qui appartiennent elles-m\u00EAmes \u00E0 la famille des langues germaniques. Ce groupe appel\u00E9 groupe germano-n\u00E9erlandais ou groupe allemand comprend des langues telles que l'allemand, le yiddish, le luxembourgeois, le n\u00E9erlandais ou l'afrikaans et de nombreux dialectes. Ce groupe se caract\u00E9rise par un large vocabulaire commun. Il est divis\u00E9 en trois sous-groupes : le bas francique, le bas allemand et le haut allemand. Le troisi\u00E8me est caract\u00E9ris\u00E9 par la pr\u00E9sence de la seconde mutation consonantique. Les dialectes appartenant \u00E0 ce groupe forment un continuum linguistique, c'est-\u00E0-dire qu'ils sont intercompr\u00E9hensibles de proche en proche. Le domaine de ces dialectes s'\u00E9tend sur : \n* les Pays-Bas (sauf les r\u00E9gions o\u00F9 l'on parle le frison), \n* Bruxelles, la Flandre, les Cantons de l'Est et le pays d'Arlon en Belgique, \n* le Luxembourg, \n* l'Alsace (sauf le pays welche), la Moselle germanophone et la Flandre flamingante fran\u00E7aise en France, \n* l'Allemagne (sauf les r\u00E9gions o\u00F9 l'on parle danois, frison septentrional frison oriental ou sorabe), \n* la Suisse al\u00E9manique, \n* le Haut-Adige (Tyrol du Sud) en Italie, \n* le Liechtenstein, \n* l'Autriche, \n* certaines zones au sud du Danemark, \n* des enclaves en Pologne, R\u00E9publique tch\u00E8que, Roumanie, Slovaquie et Hongrie, \n* l'Afrique du Sud, \n* la Namibie. Avant la Seconde Guerre mondiale, ce domaine s'\u00E9tendait beaucoup plus \u00E0 l'Est : la Prusse-Orientale, la Pom\u00E9ranie, la Sil\u00E9sie et une grande partie de la Boh\u00EAme et de la Moravie parlaient alors majoritairement des dialectes allemands. Comme cet ensemble forme un continuum, les divisions qu'on peut y tracer ne sont jamais nettes. Deux approches compl\u00E9mentaires permettent d'organiser les diff\u00E9rents dialectes allemands. Tout d'abord, on peut les diviser en parlers bas-allemands et bas-franciques au Nord et parlers hauts-allemands au Sud, les premiers ne connaissant pas la seconde mutation consonantique (les parlers moyen-allemands \u00E9tant des parlers g\u00E9n\u00E9ralement rattach\u00E9s au haut allemand o\u00F9 cette mutation est pr\u00E9sente, mais incompl\u00E8te). C'est donc un trait de phon\u00E9tique qui permet cette distinction. Une autre approche se base sur des faits de vocabulaire."@fr . . . . . . . . . . . . . . "3944"^^ . . . . . . . . . . "229412"^^ . . . "Langues germano-n\u00E9erlandaises"@fr . . . . . "Les langues germano-n\u00E9erlandaises constituent un sous-ensemble des langues germaniques occidentales qui appartiennent elles-m\u00EAmes \u00E0 la famille des langues germaniques. Ce groupe appel\u00E9 groupe germano-n\u00E9erlandais ou groupe allemand comprend des langues telles que l'allemand, le yiddish, le luxembourgeois, le n\u00E9erlandais ou l'afrikaans et de nombreux dialectes. Ce groupe se caract\u00E9rise par un large vocabulaire commun. Il est divis\u00E9 en trois sous-groupes : le bas francique, le bas allemand et le haut allemand. Le troisi\u00E8me est caract\u00E9ris\u00E9 par la pr\u00E9sence de la seconde mutation consonantique."@fr . . . . . . . . . . . . .