. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Indon\u00E9sie"@fr . . . . . . . . . . . . "Ng\u00F4n ng\u1EEF t\u1EA1i Indonesia"@vi . . . . . . . . . "J\u0119zyki Indonezji"@pl . . . . . . . . . . . . . . . . . . "L'Indon\u00E9sie est le deuxi\u00E8me r\u00E9servoir linguistique du monde, apr\u00E8s la Papouasie-Nouvelle-Guin\u00E9e, le linguiste Claude Hag\u00E8ge en d\u00E9nombre 670, SIL International en compte 719[source insuffisante]. Cette tr\u00E8s grande vari\u00E9t\u00E9 de langues locales s'explique \u00E0 la fois par la taille de ce pays, mais surtout par sa g\u00E9ographie : l'archipel indon\u00E9sien regroupe pr\u00E8s de dix-sept-mille \u00EEles, dont les plus grandes sont parcourues d\u2019abruptes cha\u00EEnes de volcans et de for\u00EAts tropicales. Cette disposition particuli\u00E8re explique l'isolement important de nombreuses populations et la persistances de leurs cultures, religion et langues locales \u00E0 travers le temps. Depuis son accession \u00E0 l'ind\u00E9pendance, l'Indon\u00E9sie emploie une seule langue pour l'administration et l'\u00E9ducation : l'indon\u00E9sien. Les langues autres que la langue nationale sont appel\u00E9es bahasa daerah, c'est-\u00E0-dire langues locales. On estime qu'\u00E0 l'heure actuelle (2006), environ la moiti\u00E9 des Indon\u00E9siens ont pour langue maternelle une langue r\u00E9gionale. Ceux dont la langue maternelle est exclusivement l'indon\u00E9sien sont g\u00E9n\u00E9ralement originaires de Java, o\u00F9 les langues locales tendent \u00E0 dispara\u00EEtre, mais il se peut aussi qu'ils soient issus de parents dont les langues maternelles sont des langues r\u00E9gionales diff\u00E9rentes, et qu'ils aient choisi de ne pas les transmettre \u00E0 leur enfant. Le fait d'avoir pour langue maternelle l'indon\u00E9sien n'est pas un obstacle \u00E0 l'acquisition d'une langue r\u00E9gionale, en g\u00E9n\u00E9ral celle du lieu o\u00F9 grandit l'enfant. Le plurilinguisme reste toutefois majoritaire en Indon\u00E9sie. Les langues autochtones se r\u00E9partissent en deux grands groupes : \n* les langues de la branche malayo-polyn\u00E9sienne de la famille des langues austron\u00E9siennes, couvrant \u00E0 peu pr\u00E8s tout le territoire jusqu'\u00E0 la mer des Moluques ; \n* les \u00AB langues papoues \u00BB, principalement pr\u00E9sentes en Papouasie, ainsi que dans le sud du pays, en particulier aux petites \u00EEles de la Sonde orientales ; auxquels s\u2019ajoutent les langues d'origines ext\u00E9rieures."@fr . . . "14016"^^ . . . . . . "en"@fr . . . . . . . . . "L'Indon\u00E9sie est le deuxi\u00E8me r\u00E9servoir linguistique du monde, apr\u00E8s la Papouasie-Nouvelle-Guin\u00E9e, le linguiste Claude Hag\u00E8ge en d\u00E9nombre 670, SIL International en compte 719[source insuffisante]. Cette tr\u00E8s grande vari\u00E9t\u00E9 de langues locales s'explique \u00E0 la fois par la taille de ce pays, mais surtout par sa g\u00E9ographie : l'archipel indon\u00E9sien regroupe pr\u00E8s de dix-sept-mille \u00EEles, dont les plus grandes sont parcourues d\u2019abruptes cha\u00EEnes de volcans et de for\u00EAts tropicales. Cette disposition particuli\u00E8re explique l'isolement important de nombreuses populations et la persistances de leurs cultures, religion et langues locales \u00E0 travers le temps."@fr . . . "\u0644\u063A\u0627\u062A \u0625\u0646\u062F\u0648\u0646\u064A\u0633\u064A\u0627"@ar . . . . . "1223920"^^ . . . . . . . . . . . "Langues en Indon\u00E9sie"@fr . . . . . . . . . . . "\u042F\u0437\u044B\u043A\u0438 \u0418\u043D\u0434\u043E\u043D\u0435\u0437\u0438\u0438"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190797327"^^ . . . . . . . . . . . . . .