. . . . . "" . . "7606"^^ . . . "Jean-Jacques Bixiou est un personnage de La Com\u00E9die humaine d\u2019Honor\u00E9 de Balzac. N\u00E9 en 1797 \u00E0 Paris, il appara\u00EEt pour la premi\u00E8re fois dans La Rabouilleuse o\u00F9 il \u00E9tudie en compagnie de Joseph Bridau, dans l'atelier d'Antoine-Jean Gros. De nos jours, pr\u00E8s de la place Pigalle, dans le quartier de la Nouvelle Ath\u00E8nes, une rue porte le nom d'Henry Monnier."@fr . . . . . . . . . . . . "La Com\u00E9die humaine" . . . . . "Le C\u00E9nacle, la famille Bridau, les lorettes"@fr . "Jean-Jacques Bixiou est un personnage de La Com\u00E9die humaine d\u2019Honor\u00E9 de Balzac. N\u00E9 en 1797 \u00E0 Paris, il appara\u00EEt pour la premi\u00E8re fois dans La Rabouilleuse o\u00F9 il \u00E9tudie en compagnie de Joseph Bridau, dans l'atelier d'Antoine-Jean Gros. Fils du colonel Bixiou et de la veuve Descoings, par laquelle il est apparent\u00E9 aux Bridau \u00AB \u00E0 la mode de Bretagne \u00BB, selon l'expression de F\u00E9licien Marceau, il est d\u00E9crit dans Les Employ\u00E9s ou la Femme sup\u00E9rieure ainsi : \u00AB De petite taille, mais bien pris, une figure fine remarquable par une vague ressemblance avec celle de Napol\u00E9on, l\u00E8vres minces, menton plat tombant droit, favoris ch\u00E2tains, vingt-sept ans, blond, voix mordante, regard \u00E9tincelant, voil\u00E0 Bixiou que l'on prononce Bisiou. \u00BB Balzac aime beaucoup que ses personnages aient quelque chose de la physionomie de Napol\u00E9on. Daniel d'Arthez a d\u00E9j\u00E0 \u00E9t\u00E9 d\u00E9crit dans Illusions perdues comme ressemblant \u00E0 Napol\u00E9on Bonaparte jeune. Tr\u00E8s ami avec Henry Monnier, il ne fait pas toutefois un portrait tr\u00E8s flatteur de ce caricaturiste qui peut, \u00E0 l'occasion, se montrer cruel. Mais c'est aussi un personnage attendrissant qui regrette parfois ses traits d'esprits trop piquants. Il fait partie du C\u00E9nacle dont il n'est pas un des membres les plus fiables. Comme Joseph Bridau, Bixiou a b\u00E9n\u00E9fici\u00E9 d'une bourse pour le lyc\u00E9e imp\u00E9rial, comme Joseph, il est \u00E9galement li\u00E9 au peintre Hippolyte Schinner (La Bourse), mais contrairement \u00E0 Joseph, il ne \u00AB creuse \u00BB pas son talent, trop occup\u00E9 \u00E0 festoyer avec Philippe Bridau et en galante compagnie avec les Florine, madame du Val-Noble et autres innombrables lorettes, ainsi qu'avec les grands du monde. De nos jours, pr\u00E8s de la place Pigalle, dans le quartier de la Nouvelle Ath\u00E8nes, une rue porte le nom d'Henry Monnier."@fr . . . . . . . . "3816435"^^ . . . . . . . . "Jean-Jacques Bixiou"@fr . . . . . . . . . . . . . "Caricaturiste," . . . . . . . "185214588"^^ . . . . . "" . . . . ""@fr . "roman"@fr . . . . . . "Jean-Jacques Bixiou"@fr . . . . . . . . . . . "Jean-Jacques Bixiou"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Veuve Descoings"@fr . . . . .