. "'Wah Wah' Watson"@fr . . . "\u0414\u0436\u0430\u0437-\u0444\u0430\u043D\u043A"@uk . . . "\u653E\u514B\u7235\u58EB\u6A02"@zh . . . . . "Jazz-funk"@pl . . . . . . . . . . . . . "Le jazz-funk est le style musical apparu aux \u00C9tats-Unis dans les ann\u00E9es 1960 et dans la lign\u00E9e du hard bop, en g\u00E9n\u00E9ral purement instrumental, m\u00EAlant la structure des morceaux de jazz (th\u00E8me, succession de solos, th\u00E8me) avec les rythmes syncop\u00E9s et l'instrumentation du funk (percussions et batterie \u00E9lectroniques, piano \u00E9lectrique Fender Rhodes ou Wurlitzer, orgue Hammond B3, synth\u00E9tiseurs analogiques Mellotron, ARP Odyssey, Oberheim, Moog ou Hohner D6 Clavinet, cuivres, basse \u00E9lectrique, parfois guitare \u00E9lectrique comme chez (en)) et des effets d'instrumentation tr\u00E8s employ\u00E9s tels le slap \u00E0 la basse \u00E9lectrique ou l'usage de cordes frott\u00E9es au synth\u00E9tiseurs."@fr . . "158460566"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "Jazz-funk"@ca . . . . "Jazz-funk"@fr . . . . . . . . . "\u00C9lev\u00E9e dans les ann\u00E9es 1970"@fr . . . "5566"^^ . "Jazz-funk"@es . . . . . . . . . . . "en"@fr . . "Le jazz-funk est le style musical apparu aux \u00C9tats-Unis dans les ann\u00E9es 1960 et dans la lign\u00E9e du hard bop, en g\u00E9n\u00E9ral purement instrumental, m\u00EAlant la structure des morceaux de jazz (th\u00E8me, succession de solos, th\u00E8me) avec les rythmes syncop\u00E9s et l'instrumentation du funk (percussions et batterie \u00E9lectroniques, piano \u00E9lectrique Fender Rhodes ou Wurlitzer, orgue Hammond B3, synth\u00E9tiseurs analogiques Mellotron, ARP Odyssey, Oberheim, Moog ou Hohner D6 Clavinet, cuivres, basse \u00E9lectrique, parfois guitare \u00E9lectrique comme chez (en)) et des effets d'instrumentation tr\u00E8s employ\u00E9s tels le slap \u00E0 la basse \u00E9lectrique ou l'usage de cordes frott\u00E9es au synth\u00E9tiseurs. Les trompettistes Dizzy Gillespie (avec l'album Matrix The Perception Sessions en 1971) et surtout Miles Davis ont \u00E9t\u00E9 parmi les pr\u00E9curseurs de la fusion jazz-funk. Mais, parmi les artistes ayant fa\u00E7onn\u00E9 ce style, on peut \u00E9galement citer Herbie Hancock, Lou Donaldson, Cannonbal Adderley, Horace Silver, Eumir Deodato, The Headhunters, Weather Report, Azymuth, Billy Cobham, Grant Green, Eddie Henderson, Patrice Rushen, Donald Byrd, Idris Muhammad, Joe Thomas, Ramsey Lewis, Dieter Reith, Roy Ayers, The Reddings, Stanley Clarke, Grover Washington, Jr., Marcus Miller, Victor Wooten, the Temptations, Maceo Parker, James Brown, Earth, Wind and Fire, Kool and the Gang ou Prince. Chacun tentant d'y apporter sa signature, son style propre, ses effets et ses inspirations. Fondamentalement influenc\u00E9 par les enregistrements entre autres de James Brown et de son saxophoniste Maceo Parker dans les ann\u00E9es 1960-1970, le jazz-funk consiste \u00E0 injecter le groove du funk aux structures harmoniques du jazz (tout en conservant la dynamique de recherche stylistique propre au jazz) et en y int\u00E9grant les instruments issues des nouvelles technologies (synth\u00E9tiseurs) ainsi que des rythmes plut\u00F4t binaires, dans le but d'obtenir une musique orient\u00E9e vers la danse, avec des textures rythmiques et m\u00E9lodique de grande qualit\u00E9. Un fort courant de cr\u00E9ativit\u00E9 est n\u00E9 de ce mouvement, produisant des pi\u00E8ces musicales originales et influentes. Le terme funky \u00E9tait utilis\u00E9 dans le jazz depuis au moins les ann\u00E9es 1940 (mais il semblerait que le terme et le style funky \u00E9tait d\u00E9j\u00E0 en usage \u00E0 La Nouvelle-Orl\u00E9ans d\u00E8s le d\u00E9but du XXe si\u00E8cle. Et, on consid\u00E8re souvent que c'est v\u00E9ritablement dans cette ville qu'est n\u00E9 le funk, bien avant qu'il ne soit popularis\u00E9 par James Brown). Utilis\u00E9 \u00E0 l'origine pour d\u00E9crire ce qui est sale et sent mauvais, et par extension une musique issue des ghettos, authentique, sale, exprimant de vraies \u00E9motions, le terme funk n'a \u00E9t\u00E9 associ\u00E9 aux musiques \u00E9lectriques syncop\u00E9es qu'\u00E0 partir de la fin des ann\u00E9es 1960. Auparavant, il \u00E9tait associ\u00E9 \u00E0 un jazz au senti le plus bluesy, cens\u00E9 \u00E9mouvoir, privil\u00E9giant l'\u00E9motion, interpr\u00E9t\u00E9 sur des tempos g\u00E9n\u00E9ralement lents, voire tr\u00E8s lents. On peut consid\u00E9rer que le terme funk faisait partie du vocabulaire de musiciens du courant hard bop, un courant n\u00E9 au d\u00E9but des ann\u00E9es 1950 visant notamment \u00E0 mettre en valeur les cultures afro-am\u00E9ricaines (gospel, blues, rhythm and blues, influences africaines et carib\u00E9ennes) \u00E0 travers le jazz. Citons en exemple les enregistrements Funky Blues r\u00E9unissant en 1952 Johnny Hodges, Charlie Parker, Benny Carter, Oscar Peterson, Barney Kessel, Charlie Shavers, Flip Philips et Ben Webster, Blues in my Shower de Nat King Cole (1947), Opus de Funk de Horace Silver (1953), Ruby My Dear de Thelonious Monk (1947), Who's Blues de Herbie Nichols (1952), Blue Funk de Ray Charles et Milt Jackson (1957), Weird Blues du quintet de Miles Davis avec Sonny Rollins (1956), After Hours de Dizzy Gillespie, Sonny Rollins et Sonny Stitt (1957) ou But Not For Me du trio d'Ahmad Jamal (en public au Pershing, 1958). L'Acid jazz, apparu au milieu des ann\u00E9es 1980, est aujourd'hui vu comme un v\u00E9ritable retour du style, leurs sons \u00E9tant si proches que certains groupes ont pu \u00EAtre cat\u00E9goris\u00E9s successivement comme appartenant \u00E0 ces deux mouvements."@fr . . "325301"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Jazz-funk"@fr . . . . . . "Jazz-funk"@en . . . . . . . . . . .