"Iroha"@es . . . . . . . . "7462"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "156080165"^^ . "\u3044\u308D\u306F\u6B4C"@ja . . . . . . . . . . . . . . . . . . "103642"^^ . . . . "Iroha"@fr . . . . . . "Iroha"@de . . . . . . . "L'iroha-uta (\u3044\u308D\u306F\u6B4C, litt\u00E9ralement \u00AB Chant de l'iroha \u00BB), ou plus couramment iroha, d\u00E9signe la traduction en japonais d'un hymne du S\u016Btra du Nirv\u0101na. Sa date d'\u00E9criture est, d'apr\u00E8s les linguistes, ult\u00E9rieure au XIe si\u00E8cle. Longtemps utilis\u00E9 pour l'apprentissage des kanas, il fut remplac\u00E9 par le (tableau de cinq sons) puis par le goj\u016Bonzu (tableau des cinquante sons) durant l'\u00E9poque d'Edo. Il est maintenant utilis\u00E9 pour l'initiation \u00E0 la calligraphie, et pour la lecture des notes, et sert parfois de classement."@fr . . . . . . . "L'iroha-uta (\u3044\u308D\u306F\u6B4C, litt\u00E9ralement \u00AB Chant de l'iroha \u00BB), ou plus couramment iroha, d\u00E9signe la traduction en japonais d'un hymne du S\u016Btra du Nirv\u0101na. Sa date d'\u00E9criture est, d'apr\u00E8s les linguistes, ult\u00E9rieure au XIe si\u00E8cle. Longtemps utilis\u00E9 pour l'apprentissage des kanas, il fut remplac\u00E9 par le (tableau de cinq sons) puis par le goj\u016Bonzu (tableau des cinquante sons) durant l'\u00E9poque d'Edo. Il est maintenant utilis\u00E9 pour l'initiation \u00E0 la calligraphie, et pour la lecture des notes, et sert parfois de classement. D'auteur inconnu, ce c\u00E9l\u00E8bre po\u00E8me est compos\u00E9 avec la totalit\u00E9 des quarante-sept hiraganas, \u00E0 l'exception du \u3093 (n) qui date de l'\u00E8re Edo, ainsi que du /ye/ qui dispara\u00EEt avant cette date. Ce texte est traditionnellement attribu\u00E9 au moine et savant bouddhiste Kukai. Depuis l'apparition du kana \u3093 (n), ce dernier a \u00E9t\u00E9 rajout\u00E9 pour continuer d'\u00EAtre un exercice complet."@fr . . . . . . . . . . . . . . "Iroha"@pl .