. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Titanium tetraiodide"@fr . "59288"^^ . . . . . . "L'iode est l'\u00E9l\u00E9ment chimique de num\u00E9ro atomique 53, de symbole I. C'est un membre de la famille des halog\u00E8nes. Il s'agit d'un \u00E9l\u00E9ment relativement rare dans le milieu naturel, arrivant 47e dans l'\u00E9corce terrestre. Comme les autres halog\u00E8nes, on le trouve essentiellement sous forme diatomique I2, correspondant au diiode, solide gris m\u00E9tallique aux vapeurs violettes appel\u00E9 commun\u00E9ment \u00AB iode \u00BB par abus de langage. Son nom vient du grec \u1F30\u03CE\u03B4\u03B7\u03C2 signifiant \u00AB couleur de la violette \u00BB. Il a \u00E9t\u00E9 nomm\u00E9 ainsi par Gay-Lussac \u00E0 la suite de la d\u00E9couverte en 1811 par le chimiste Bernard Courtois d'une substance alors inconnue issue d'algues destin\u00E9es \u00E0 la production de salp\u00EAtre lors des guerres napol\u00E9oniennes."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "pentoxyde de diiode"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2016-07-02"^^ . . . . . "iodure d'aluminium"@fr . . . . . . "Iod"@vi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "haloperoxydase"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Haloperoxidase"@fr . . . . . "Aluminium_iodide"@fr . . . . . . . "Iodine pentoxide"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "126.90447"^^ . "Iode"@fr . "Jod"@sv . . . . . . . . . . . . . "53"^^ . . . "11744"^^ . . . . . . . . . . . . . . "Jod"@pl . . . . . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . . "en"@fr . . "Iodine\u2013starch test"@fr . . . . . "http://www.periodictable.com/Elements/053/data.html|titre=Technical data for Iodine"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Tantalum pentafluoride"@fr . . . . . . . . . . . . . "t\u00E9traiodure de titane"@fr . . . . . . . . . . "pentafluorure de tantale"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "L'iode est l'\u00E9l\u00E9ment chimique de num\u00E9ro atomique 53, de symbole I. C'est un membre de la famille des halog\u00E8nes. Il s'agit d'un \u00E9l\u00E9ment relativement rare dans le milieu naturel, arrivant 47e dans l'\u00E9corce terrestre. Comme les autres halog\u00E8nes, on le trouve essentiellement sous forme diatomique I2, correspondant au diiode, solide gris m\u00E9tallique aux vapeurs violettes appel\u00E9 commun\u00E9ment \u00AB iode \u00BB par abus de langage. Son nom vient du grec \u1F30\u03CE\u03B4\u03B7\u03C2 signifiant \u00AB couleur de la violette \u00BB. Il a \u00E9t\u00E9 nomm\u00E9 ainsi par Gay-Lussac \u00E0 la suite de la d\u00E9couverte en 1811 par le chimiste Bernard Courtois d'une substance alors inconnue issue d'algues destin\u00E9es \u00E0 la production de salp\u00EAtre lors des guerres napol\u00E9oniennes. C'est l'oligo-\u00E9l\u00E9ment le plus lourd pr\u00E9sent dans la plupart des formes de vie \u2014 seul le tungst\u00E8ne, utilis\u00E9 comme cofacteur par quelques bact\u00E9ries, a une masse atomique sup\u00E9rieure. Sa faible toxicit\u00E9 et la facilit\u00E9 avec laquelle il se lie aux compos\u00E9s organiques alli\u00E9es \u00E0 sa masse atomique \u00E9lev\u00E9e en ont fait un agent de contraste tr\u00E8s utilis\u00E9 en radiographie. Chez l'animal et l'homme, l'exc\u00E8s comme la carence en iode sont associ\u00E9s \u00E0 des pathologies s\u00E9v\u00E8res. Le manque d'iode inhibe la croissance, peut \u00EAtre \u00E0 l'origine de l'apparition de \u00AB nodules \u00BB de la thyro\u00EFde. La carence grave peut causer divers d\u00E9sordres mentaux (cr\u00E9tinisme, surtout autrefois observ\u00E9 chez les populations \u00E9loign\u00E9es des r\u00E9gions maritimes, notamment en montagne). L'iode est un composant des hormones thyro\u00EFdiennes, synth\u00E9tis\u00E9es par la glande thyro\u00EFde. Les radioisotopes de l'iode sont par cons\u00E9quent susceptibles de provoquer un cancer de la thyro\u00EFde lorsqu'ils sont absorb\u00E9s par l'organisme. L'iode 131, en raison de sa radioactivit\u00E9 \u03B2, est \u00E0 ce titre l'un des produits de fission nucl\u00E9aire les plus canc\u00E9rog\u00E8nes qui soient. Les \u00AB comprim\u00E9s d'iode \u00BB utilis\u00E9s pour saturer la thyro\u00EFde en cas de contamination \u00E0 l'iode 131 lors d'un accident nucl\u00E9aire contiennent typiquement 65 ou 130 mg d'iodure de potassium ; ils doivent \u00EAtre pris rapidement apr\u00E8s l'accident. Certaines mol\u00E9cules (toxiques) freinent ou bloquent l'entr\u00E9e de l'iode dans la thyro\u00EFde, dont les nitrates, perchlorates et thiocyanates qu'on dit \u00AB goitrog\u00E8nes \u00BB (avec effets cumulatifs possibles)."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u30E8\u30A6\u7D20"@ja . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "test \u00E0 l'iode-amidon"@fr . . . "190717282"^^ . . . . . . . . "Iod"@de . . . . "\u0418\u043E\u0434"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .