. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1998"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Situationisterna"@sv . . . . . . . . . "Internationale situationniste"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sytuacjonizm (ruch spo\u0142eczno-artystyczny)"@pl . . . . . . . . . . "978"^^ . . . . . . . . . . . "\u30B7\u30C1\u30E5\u30A2\u30B7\u30AA\u30CB\u30B9\u30C8\u30FB\u30A4\u30F3\u30BF\u30FC\u30CA\u30B7\u30E7\u30CA\u30EB"@ja . . . . . . . . . . "L\u2019Internationale situationniste (IS) \u00E9tait une organisation de th\u00E9oriciens et strat\u00E8ges r\u00E9volutionnaires op\u00E9rant dans les domaines politiques et culturels et d\u00E9sireux d'en finir avec le malheur historique[pas clair], avec la soci\u00E9t\u00E9 de classes et la dictature de la marchandise, se situant dans la filiation de diff\u00E9rents courants apparus au d\u00E9but du XXe si\u00E8cle, notamment de la pens\u00E9e marxiste d'Anton Pannekoek et de Rosa Luxemburg, du communisme de conseils, de la pens\u00E9e du jeune Georg Luk\u00E1cs li\u00E9 \u00E0 son ouvrage Histoire et conscience de classe, ainsi que du groupe Socialisme ou barbarie (Claude Lefort, Cornelius Castoriadis notamment) dans les ann\u00E9es 1950. En ce sens, elle pourrait \u00EAtre apparent\u00E9e \u00E0 un groupe d'ultra-gauche. Mais elle repr\u00E9sentait \u00E9galement \u00E0 ses d\u00E9buts l'expression d'une vo"@fr . . . . . . . . "Marelli"@fr . . . . . . . . . . . . "L'am\u00E8re victoire du situationnisme"@fr . . . . . . . . "Situazionismo"@it . . . "190897549"^^ . . . . . . . . . . . . . "427"^^ . . . . . . . "L\u2019Internationale situationniste (IS) \u00E9tait une organisation de th\u00E9oriciens et strat\u00E8ges r\u00E9volutionnaires op\u00E9rant dans les domaines politiques et culturels et d\u00E9sireux d'en finir avec le malheur historique[pas clair], avec la soci\u00E9t\u00E9 de classes et la dictature de la marchandise, se situant dans la filiation de diff\u00E9rents courants apparus au d\u00E9but du XXe si\u00E8cle, notamment de la pens\u00E9e marxiste d'Anton Pannekoek et de Rosa Luxemburg, du communisme de conseils, de la pens\u00E9e du jeune Georg Luk\u00E1cs li\u00E9 \u00E0 son ouvrage Histoire et conscience de classe, ainsi que du groupe Socialisme ou barbarie (Claude Lefort, Cornelius Castoriadis notamment) dans les ann\u00E9es 1950. En ce sens, elle pourrait \u00EAtre apparent\u00E9e \u00E0 un groupe d'ultra-gauche. Mais elle repr\u00E9sentait \u00E9galement \u00E0 ses d\u00E9buts l'expression d'une volont\u00E9 de d\u00E9passement des tentatives r\u00E9volutionnaires des avant-gardes artistiques de la premi\u00E8re moiti\u00E9 du XXe si\u00E8cle : le dada\u00EFsme, le surr\u00E9alisme et le lettrisme. Formellement cr\u00E9\u00E9e en juillet 1957 \u00E0 la Conf\u00E9rence de Cosio di Arroscia, l'Internationale situationniste est n\u00E9e du rapprochement d'un ensemble international de mouvements d'avant-garde, dont l'Internationale lettriste (elle-m\u00EAme issue d'une rupture avec le Lettrisme d'Isidore Isou), le Mouvement international pour un Bauhaus imaginiste, le Comit\u00E9 psychog\u00E9ographique de Londres et un groupe de peintres italiens. Son document fondateur, Rapport sur la construction de situations\u2026, a \u00E9t\u00E9 r\u00E9dig\u00E9 par Guy Debord en 1957. Dans ce texte programmatique, Debord pose l'exigence de \u00AB changer le monde \u00BB et envisage le d\u00E9passement de toutes les formes artistiques par \u00AB un emploi unitaire de tous les moyens de bouleversement de la vie quotidienne \u00BB. L'un des principaux objectifs de l'Internationale situationniste \u00E9tait l'accomplissement des promesses contenues dans le d\u00E9veloppement de l'appareil de production contemporain et la lib\u00E9ration des conditions historiques par une r\u00E9appropriation du r\u00E9el, et ce, dans tous les domaines de la vie. Le d\u00E9passement de l'art \u00E9tait son projet originel. Au d\u00E9but, les Situationnistes ont fait parler d'eux pour leur utilisation du calembour comme arme politique, tournant en d\u00E9rision l'art contemporain pour d\u00E9montrer l'inanit\u00E9 et le superficiel d'une culture dite bourgeoise. Puis l'IS s'est rapidement orient\u00E9e vers une critique de la soci\u00E9t\u00E9 du spectacle, ou soci\u00E9t\u00E9 \u00AB spectaculaire-marchande \u00BB, et une d\u00E9nonciation du r\u00E8gne de la survie accompagn\u00E9e d'un d\u00E9sir de r\u00E9volution sociale. L'ann\u00E9e 1962 voit la scission entre \u00AB artistes \u00BB et \u00AB r\u00E9volutionnaires \u00BB et l'exclusion des premiers. D'un point de vue organisationnel, l'IS conserve la position marxiste d'un parti th\u00E9orique repr\u00E9sentant le plus haut niveau de conscience r\u00E9volutionnaire. La th\u00E9orisation de cette position ne se fera qu'assez tardivement dans la D\u00E9finition Minimum des Organisations r\u00E9volutionnaires (IS no 11), adopt\u00E9e par la 7e Conf\u00E9rence de l'IS en 1967, qui sera en France l'une des r\u00E9f\u00E9rences du conseillisme d'apr\u00E8s mai 1968, et en 1969 dans les Pr\u00E9liminaires sur les conseils et l'organisation conseilliste (IS no 12). L'IS s'est autodissoute en 1972 apr\u00E8s la publication de La V\u00E9ritable scission dans l'Internationale."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gianfranco"@fr . . . . . . . . "Pour une histoire critique de l'Internationale situationniste : 1957-1972"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0421\u0438\u0442\u0443\u0430\u0446\u0438\u043E\u043D\u0438\u0437\u043C"@ru . . . . . . . . . . . "52879"^^ . . . . . . . "4252"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "https://books.google.co.uk/books?id=PnbEEyyTffUC&pg=PA345|consult\u00E9 le=2017-10-17"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Situationistische Internationale"@de . .