. . . . . . "de"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "691889"^^ . "978"^^ . . "1986"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "85031547"^^ . . . . . . . . . "Un hyperpolyglotte est une personne qui parle couramment six langues ou davantage. Le terme fut popularis\u00E9 par le linguiste (en) en 2003, et s'apparente au terme \u00AB polyglotte \u00BB, d\u00E9signant une personne parlant plusieurs langues. Plusieurs th\u00E9ories ont \u00E9t\u00E9 d\u00E9velopp\u00E9es pour expliquer pourquoi certaines personnes peuvent ais\u00E9ment apprendre de nombreuses langues, alors que la plupart des gens ne peuvent en apprendre que quelques-unes avec difficult\u00E9."@fr . . "Un hyperpolyglotte est une personne qui parle couramment six langues ou davantage. Le terme fut popularis\u00E9 par le linguiste (en) en 2003, et s'apparente au terme \u00AB polyglotte \u00BB, d\u00E9signant une personne parlant plusieurs langues. L'hyperpolyglotte vivant qui, de son propre aveu, ma\u00EEtriserait le plus de langues, serait Ziad Fazah (58 langues), quoi qu'une interview t\u00E9l\u00E9diffus\u00E9e tend \u00E0 remettre en question cette pr\u00E9tention. John Bowring (1792-1872), ancien gouverneur de Hong Kong, affirmait comprendre environ 200 langues et en parler une centaine. \u00C0 la Renaissance en Italie, Pic de la Mirandole passait pour savoir parler vingt-deux langues \u00E0 l'\u00E2ge de 18 ans. Plusieurs th\u00E9ories ont \u00E9t\u00E9 d\u00E9velopp\u00E9es pour expliquer pourquoi certaines personnes peuvent ais\u00E9ment apprendre de nombreuses langues, alors que la plupart des gens ne peuvent en apprendre que quelques-unes avec difficult\u00E9. En 2004, trois scientifiques, (en), A. Schleicher et K. Zilles ont publi\u00E9 une analyse du cerveau de l'hyperpolyglotte Emil Krebs qui a r\u00E9v\u00E9l\u00E9 des changements dans la construction de l\u2019aire de Broca responsable du traitement du langage qui \u00E9tait organis\u00E9e diff\u00E9remment de celle des personnes unilingues. Par ailleurs, les neurolinguistes (en) et \u00E9tablissent des corr\u00E9lations avec le , le fait d'\u00EAtre gaucher et des troubles de l'apprentissage[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]. Le linguiste a aussi mis en \u00E9vidence que les capacit\u00E9s de certains hyperpolyglottes avaient une base biologique \u00E0 caract\u00E8re h\u00E9r\u00E9ditaire."@fr . . . . . . . . . . . . "Hans Conon von der Gabelentz"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Loraine K. Obler"@fr . . . . . . . . . . . . . "Hyperpolyglott"@sv . "E.P. Dutton & Co."@fr . . . . . . . . . "297"^^ . . . . . . . "Richard Hudson"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Amunts K."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "New York"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Wallace"@fr . . . "Amy"@fr . . . . . . "1"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Richard_Hudson_"@fr . . . . . . "en"@fr . . . "en"@fr . . . . . . . . . . . . . . "The prodigy : a biography of William James Sidis, America's greatest child prodigy"@fr . "21250"^^ . "Katrin Amunts"@fr . . . . . . . . . . "191367998"^^ . . "Hyperpolyglotte"@fr . . . . . . . . . . . . . "Richard Hudson"@fr . . . . "Powell Janulus"@fr . . . . . . .