. . . . . . . . . . "Hydromorphologie"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "6825"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "L' hydromorphologie (du grec \u03C5\u03B4\u03C1\u03BF, hydro = eau, morphe la forme et \u03BB\u03CC\u03B3\u03BF\u03C2, logos, l\u2019\u00E9tude) est l'\u00E9tude scientifique de la partie de la g\u00E9omorphologie qui est due \u00E0 l'eau (hydrologie). L'eau fa\u00E7onne les reliefs. La circulation de l'eau, aliment\u00E9e par les courants marins, le cycle des pluies et les fontes glaciaires est le moteur direct ou indirect d'une partie des processus qui fa\u00E7onnent le paysage des plan\u00E8tes telluriques. L'eau est (avec le vent) l'un des tout premiers facteurs d'\u00E9rosion, d'accr\u00E9tion et de transport des mat\u00E9riaux terrestres."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "4456041"^^ . . . . . . . . . . "L' hydromorphologie (du grec \u03C5\u03B4\u03C1\u03BF, hydro = eau, morphe la forme et \u03BB\u03CC\u03B3\u03BF\u03C2, logos, l\u2019\u00E9tude) est l'\u00E9tude scientifique de la partie de la g\u00E9omorphologie qui est due \u00E0 l'eau (hydrologie). L'eau fa\u00E7onne les reliefs. La circulation de l'eau, aliment\u00E9e par les courants marins, le cycle des pluies et les fontes glaciaires est le moteur direct ou indirect d'une partie des processus qui fa\u00E7onnent le paysage des plan\u00E8tes telluriques. L'eau est (avec le vent) l'un des tout premiers facteurs d'\u00E9rosion, d'accr\u00E9tion et de transport des mat\u00E9riaux terrestres. Les hydromorphologues analysent les liens entre l'eau et la forme des paysages, cherchent \u00E0 en comprendre l'histoire et l\u2019\u00E9volution et, \u00E0 pr\u00E9voir les changements futurs \u00E0 travers une combinaison d'observations de terrain, d'exp\u00E9rimentations en laboratoire et de mod\u00E9lisation num\u00E9rique. En particulier, ils s'int\u00E9ressent au r\u00E9gime hydrologique (fluctuation de d\u00E9bits), \u00E0 la continuit\u00E9 physique, physico-chimique et \u00E0 la continuit\u00E9 \u00E9cologique de la rivi\u00E8re, \u00E0 ses relations avec la nappe (quand elles existent), et aux conditions morphologiques (profondeur, largeur, forme et nature des berges et \u00EEles, etc.).Pour cela ils tiennent compte des principes physiques, mais aussi, outre des actions anthropiques, du vivant en g\u00E9n\u00E9ral ; notamment via les interactions eau-biofilms, le r\u00F4le des syst\u00E8mes racinaires et de la puissance d'\u00E9vapotranspiration des ripisylves, ou encore les capacit\u00E9s des plantes rivulaires (ex :mangroves) \u00E0 fixer les s\u00E9diments. Ils doivent aussi prendre en compte l'action d'esp\u00E8ces-ing\u00E9nieur telles que le castor et bioconstructrices (ex : r\u00E9cifs coralliens)."@fr . . . . . . . . . . . . . . "159548257"^^ . . . . . .