. . . . . "Idrogeno metallico"@it . . . "Metallic hydrogen"@en . . . . . . . . . . . . . "19513"^^ . "\u91D1\u5C5E\u6C34\u7D20"@ja . . . . . . . . . . . . . "185697430"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u041C\u0435\u0442\u0430\u043B\u043B\u0438\u0447\u0435\u0441\u043A\u0438\u0439 \u0432\u043E\u0434\u043E\u0440\u043E\u0434"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0647\u064A\u062F\u0631\u0648\u062C\u064A\u0646 \u0641\u0644\u0632\u064A"@ar . . . . . . "559443"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "Metaliczny wod\u00F3r"@pl . . . . . . . . . . . . . . "Metalliskt v\u00E4te"@sv . . . . . . "Hydrog\u00E8ne m\u00E9tallique"@fr . "L'hydrog\u00E8ne m\u00E9tallique est une phase de l'hydrog\u00E8ne qui survient lorsqu'il est soumis \u00E0 une tr\u00E8s forte pression. C'est un exemple de mati\u00E8re d\u00E9g\u00E9n\u00E9r\u00E9e.Il est estim\u00E9 qu'il y a un intervalle de pressions (autour de 400 GPa) tel que l'hydrog\u00E8ne m\u00E9tallique est liquide, m\u00EAme \u00E0 de tr\u00E8s basses temp\u00E9ratures. L'hydrog\u00E8ne m\u00E9tallique pourrait pr\u00E9senter des transitions de phase en pr\u00E9sence d'un champ magn\u00E9tique, passant d'un \u00E9tat supraconducteur \u00E0 un \u00E9tat superfluide et vice versa."@fr . . . . . . . . . . . "Hidrogen met\u00E0l\u00B7lic"@ca . "L'hydrog\u00E8ne m\u00E9tallique est une phase de l'hydrog\u00E8ne qui survient lorsqu'il est soumis \u00E0 une tr\u00E8s forte pression. C'est un exemple de mati\u00E8re d\u00E9g\u00E9n\u00E9r\u00E9e.Il est estim\u00E9 qu'il y a un intervalle de pressions (autour de 400 GPa) tel que l'hydrog\u00E8ne m\u00E9tallique est liquide, m\u00EAme \u00E0 de tr\u00E8s basses temp\u00E9ratures. L'hydrog\u00E8ne m\u00E9tallique consiste en un treillis de noyaux atomiques, des protons, dont l'espacement est significativement plus petit que le rayon de Bohr. En effet, l'espacement est davantage comparable \u00E0 une longueur d'onde d'\u00E9lectron (voir hypoth\u00E8se de De Broglie). Ces \u00E9lectrons ne sont pas li\u00E9s et se comportent donc comme les \u00E9lectrons d'un m\u00E9tal conducteur. L'hydrog\u00E8ne m\u00E9tallique pourrait pr\u00E9senter des transitions de phase en pr\u00E9sence d'un champ magn\u00E9tique, passant d'un \u00E9tat supraconducteur \u00E0 un \u00E9tat superfluide et vice versa."@fr . . . . . . . . .