. . . . . . "2877"^^ . . . . . . "Hans Refior"@fr . . . . . . . . "Hans Refior \u00E9tait officier dans la Wehrmacht (arm\u00E9e de terre allemande) pendant la Seconde Guerre mondiale. Commandant en 1940, chef d'\u00E9tat-major de la 137. Infanterie-division en 1943, puis colonel en 1944, cet officier d'\u00E9tat-major devient le chef d'\u00E9tat-major du lieutenant g\u00E9n\u00E9ral (Generalleutnant) Hellmuth Reymann le 18 mars 1945, pendant la bataille de Berlin. Reymann \u00E9tait le commandant militaire de Berlin. Il \u00E9tait tr\u00E8s clair d\u00E8s le d\u00E9part que son pr\u00E9d\u00E9cesseur, le g\u00E9n\u00E9ral Bruno Ritter von Hauenschild, ne lui avait laiss\u00E9 aucun moyen de d\u00E9fense."@fr . . . . "Hans Refior"@ca . . . "1975630"^^ . . "Hans Refior \u00E9tait officier dans la Wehrmacht (arm\u00E9e de terre allemande) pendant la Seconde Guerre mondiale. Commandant en 1940, chef d'\u00E9tat-major de la 137. Infanterie-division en 1943, puis colonel en 1944, cet officier d'\u00E9tat-major devient le chef d'\u00E9tat-major du lieutenant g\u00E9n\u00E9ral (Generalleutnant) Hellmuth Reymann le 18 mars 1945, pendant la bataille de Berlin. Reymann \u00E9tait le commandant militaire de Berlin. Il \u00E9tait tr\u00E8s clair d\u00E8s le d\u00E9part que son pr\u00E9d\u00E9cesseur, le g\u00E9n\u00E9ral Bruno Ritter von Hauenschild, ne lui avait laiss\u00E9 aucun moyen de d\u00E9fense. D\u00E9but avril, Refior et Reymann arriv\u00E8rent \u00E0 la conclusion que Berlin n'avait aucune chance de r\u00E9sister \u00E0 l'assaut sovi\u00E9tique avec les ressources qui leur restaient. Ils recommand\u00E8rent alors \u00E0 Joseph Goebbels de laisser les civils quitter la ville, en particulier les femmes et les enfants. La r\u00E9ponse creuse qu'ils re\u00E7urent Goebbels leur fit se rendre compte que celui-ci n'avait jamais envisag\u00E9 cette \u00E9ventualit\u00E9 et ignorait tout de la logistique n\u00E9cessit\u00E9e par une \u00E9vacuation en masse. En essayant de d\u00E9terminer sur combien de troupes et d'armes ils pouvaient compter, Refior et Reymann se rendirent compte que le titre de \u00AB R\u00E9gion de d\u00E9fense de Berlin \u00BB n'avait aucune signification concr\u00E8te. Ce n'\u00E9tait qu'un slogan creux, tout comme la \u00AB Forteresse \u00BB invent\u00E9e par Hitler. Le 22 avril Reymann est remplac\u00E9 par le g\u00E9n\u00E9ral Helmut Weidling \u00E0 la t\u00EAte de la \u00AB R\u00E9gion de d\u00E9fense de Berlin \u00BB. Weidling conserve Refior \u00E0 ses c\u00F4t\u00E9s et en fait son chef de \u00AB cabinet civil \u00BB. T\u00F4t le matin du 26 avril, Refior est r\u00E9veill\u00E9 au quartier-g\u00E9n\u00E9ral de Weidling, le Bendlerblock, par une salve rapide d'obus (ce que les Sovi\u00E9tiques appelaient \u00AB encadrer \u00BB), \u00AB salutation \u00BB de l'Arm\u00E9e rouge qu'il reconnut comme un tir de r\u00E9glage pr\u00E9alable \u00E0 un bombardement de fus\u00E9es Katioucha. Le 2 mai 1945, r\u00E9fugi\u00E9 dans le F\u00FChrerbunker, il se rend aux forces sovi\u00E9tiques avec Weidling, son chef d'\u00E9tat-major Theodor von Dufving et plusieurs de leurs subordonn\u00E9s."@fr . . . . . "Hans Refior"@br . . . . . . . . . . . . . . . "1906-10-29"^^ . . . . "185248827"^^ . . . . . . "Hans Refior"@pt . . . "Hans Refior"@it .