. . . . . . . . "177629511"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Hanno G\u00FCnther"@fr . "1524071"^^ . "Hanno G\u00FCnther (n\u00E9 le 12 janvier 1921 \u00E0 Berlin ; ex\u00E9cut\u00E9 le 5 d\u00E9cembre 1942 \u00E0 Berlin-Pl\u00F6tzensee) \u00E9tait un communiste allemand r\u00E9sistant contre le nazisme. Hanno G\u00FCnther fr\u00E9quente, l'\u00E9cole R\u00FCtli, une \u00E9cole exp\u00E9rimentale \u00E0 Berlin-Neuk\u00F6lln, o\u00F9 sa m\u00E8re Maria Menzel est enseignante. L'\u00E9cole ayant \u00E9t\u00E9 ferm\u00E9e en 1933 par les nazis, il est all\u00E9 dans une \u00E9cole sur l'\u00EEle Scharfenberg dans l'espoir de faire des \u00E9tudes secondaires. Expuls\u00E9 de l'\u00E9cole, il suit un apprentissage de boulanger. Il prend contact avec un groupe de r\u00E9sistants communistes qui se r\u00E9unit dans l'appartement d' (de). Apr\u00E8s l'invasion de la Pologne en 1939, il distribue ses premiers tracts dans les bo\u00EEtes aux lettres. Apr\u00E8s la victoire de la Wehrmacht sur la France, Hanno G\u00FCnther, Elisabeth Pungs, et Wolfgang Pander, membre de la J.C. d'origine juive, avaient r\u00E9dig\u00E9 et distribu\u00E9 des tracts intitul\u00E9s \"La libre parole\" et sign\u00E9s \"Front allemand de la paix\". Les tracts contiennent des informations sur la situation militaire, exigeant la paix et la libert\u00E9 d'expression et incitant les ouvriers de l'armement au sabotage. Par la suite G\u00FCnther monte un petit r\u00E9seau de r\u00E9sistance avec Sikorski, Emmerich Schaper et d'anciens \u00E9l\u00E8ves de l'\u00E9cole R\u00FCtli. En juillet et ao\u00FBt 1942, toutes les personnes en contact avec G\u00FCnther sont arr\u00EAt\u00E9es. Parmi elles, les jeunes gens sont d\u00E9sign\u00E9s collectivement par la Gestapo sous le nom de \"groupe \u00A8R\u00FCtli\". Apr\u00E8s plusieurs interrogatoires particuli\u00E8rement brutaux, le Volksgerichtshof, le Tribunal du peuple, condamne le 9 octobre 1942 Dagmar Petersen \u00E0 sept ans de d\u00E9tention et tous les autres accus\u00E9s \u00E0 la peine de mort. Emmerich Schaper meurt des suites des interrogatoires. Hanno G\u00FCnther, Wolfgang Pander et Bernard Sikorski sont ex\u00E9cut\u00E9s le 3 d\u00E9cembre 1942 \u00E0 la prison de Berlin-Pl\u00F6tzensee. Elisabeth Pungs, gravement malade, \u00E9chappe \u00E0 l'ex\u00E9cution (Elle mourra le 28 ao\u00FBt 1945)."@fr . . "Hanno G\u00FCnther (n\u00E9 le 12 janvier 1921 \u00E0 Berlin ; ex\u00E9cut\u00E9 le 5 d\u00E9cembre 1942 \u00E0 Berlin-Pl\u00F6tzensee) \u00E9tait un communiste allemand r\u00E9sistant contre le nazisme. Hanno G\u00FCnther fr\u00E9quente, l'\u00E9cole R\u00FCtli, une \u00E9cole exp\u00E9rimentale \u00E0 Berlin-Neuk\u00F6lln, o\u00F9 sa m\u00E8re Maria Menzel est enseignante. L'\u00E9cole ayant \u00E9t\u00E9 ferm\u00E9e en 1933 par les nazis, il est all\u00E9 dans une \u00E9cole sur l'\u00EEle Scharfenberg dans l'espoir de faire des \u00E9tudes secondaires. Expuls\u00E9 de l'\u00E9cole, il suit un apprentissage de boulanger. Il prend contact avec un groupe de r\u00E9sistants communistes qui se r\u00E9unit dans l'appartement d' (de)."@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Hanno G\u00FCnther"@de . . . . . . . . . . . . . . . "3100"^^ . . . . .