. . . . . . . . "6316"^^ . . . "Les H\u00EAtres tortillards, Fagus sylvatica L. var. tortuosa P\u00E9pin, de Lorraine, dans leur contexte europ\u00E9en"@fr . . . . . . . . . . . . "S\u00FCntel-Buche"@de . . . . . . . "8"^^ . . "1993"^^ . . . "2006"^^ . . . . . "182601849"^^ . "Ferrantia"@fr . . . . . . "Georges H. Parent"@fr . "H\u00EAtre tortillard"@fr . "Jean-Louis Druelle, Jean-Claude Audran, Jacques Bierne"@fr . . . . . . . . "140"^^ . . . . . . . . . . . . . "48"^^ . . "715"^^ . . . . . . "6"^^ . . . . . . . "10.108"^^ . . . . "\u0627\u0644\u0632\u0627\u0646 \u0627\u0644\u0642\u0632\u0645"@arz . . . . "L'aptitude des H\u00EAtres tortillards \u00E0 la r\u00E9version indique qu'ils r\u00E9sultent d'une seule mutation \u00E0 effet morphog\u00E9n\u00E9tique pl\u00E9iotrope"@fr . . . . . "Le H\u00EAtre tortillard (Fagus sylvatica groupe Tortuosa) est un h\u00EAtre caract\u00E9ris\u00E9 par un tronc tortueux et des branches et rameaux tordus et retombants qui lui donnent un port particulier comme un parasol. La croissance d'un h\u00EAtre tortillard est tr\u00E8s lente. En g\u00E9n\u00E9ral un fau ne d\u00E9passe pas quatre \u00E0 cinq m\u00E8tres de haut. En \u00E9t\u00E9, il \u00E9tale ses feuilles en un parasol tr\u00E8s dense, pouvant aller jusqu'\u00E0 former une sorte d'igloo de feuilles. En hiver, son architecture tourment\u00E9e se d\u00E9voile : troncs et branches tordus, coud\u00E9s, torsad\u00E9s, branches terminales retombant jusqu'au sol."@fr . . . . . . . . "Le H\u00EAtre tortillard (Fagus sylvatica groupe Tortuosa) est un h\u00EAtre caract\u00E9ris\u00E9 par un tronc tortueux et des branches et rameaux tordus et retombants qui lui donnent un port particulier comme un parasol. La croissance d'un h\u00EAtre tortillard est tr\u00E8s lente. \u00AB H\u00EAtre \u00BB est un terme d'origine germanique (du francique *haister : Henriette Walter, \"La majestueuse histoire du nom des arbres\"[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]). De nombreux noms locaux du h\u00EAtre sont quant \u00E0 eux issus du mot latin fagus. Ainsi, on l'appelle, selon les r\u00E9gions : fau, fayard, fayaud, etc. (pluriels : des faux, des fayards, des fayauds, etc.). En g\u00E9n\u00E9ral un fau ne d\u00E9passe pas quatre \u00E0 cinq m\u00E8tres de haut. En \u00E9t\u00E9, il \u00E9tale ses feuilles en un parasol tr\u00E8s dense, pouvant aller jusqu'\u00E0 former une sorte d'igloo de feuilles. En hiver, son architecture tourment\u00E9e se d\u00E9voile : troncs et branches tordus, coud\u00E9s, torsad\u00E9s, branches terminales retombant jusqu'au sol. Ces arbres donnent ainsi leur nom, les faux de Verzy, au site touristique situ\u00E9 en France sur la partie nord-est de la montagne de Reims, au sud de Reims dans la Marne o\u00F9 l'on trouve la plus grande concentration mondiale de h\u00EAtres tortillards, estim\u00E9e \u00E0 environ un millier d'individus."@fr . . . . . "1065239"^^ .