. . . . . "\u5173\u7FBD"@zh . . "Guan Yu"@it . . . . "Guan Yu ou Kouan Yu (chinois simplifi\u00E9 : \u5173\u7FBD ; chinois traditionnel : \u95DC\u7FBD ; pinyin : gu\u0101n y\u01D4 ; EFEO : Kouan Yu), n\u00E9 vers 160-162 et d\u00E9c\u00E9d\u00E9 vers octobre 219-220, qui avait pris comme pr\u00E9nom usuel Yunchang (chinois simplifi\u00E9 : \u4E91\u957F ; chinois traditionnel : \u96F2\u9577 ; pinyin : y\u00FAn ch\u00E1ng), et qu'on mentionne souvent sous le nom de Guan Gong (chinois traditionnel : \u95DC\u516C, Seigneur Guan), \u00E9tait un g\u00E9n\u00E9ral chinois de la fin de la dynastie Han et du d\u00E9but de la p\u00E9riode des Trois Royaumes. Il servit sous les ordres de Liu Bei, le fondateur du royaume de Shu, dont il est le fr\u00E8re d'arme avec Zhang Fei, et aurait \u00E9t\u00E9 un des cinq \u00AB g\u00E9n\u00E9raux tigres \u00BB, avec Huang Zhong, Ma Chao, Zhang Fei et Zhao Yun, bien qu\u2019on ignore s\u2019il a effectivement port\u00E9 ce titre. R\u00E9put\u00E9 de son vivant guerrier invincible, il a \u00E9t\u00E9 captur\u00E9 et ex\u00E9cut\u00E9, avec son fils Guan Ping par les troupes de Sun Quan, par Lu Meng lors du si\u00E8ge de Fan. Il a \u00E9t\u00E9 divinis\u00E9 quelques si\u00E8cles apr\u00E8s sa mort sous le nom de Guanshengdijun (\u95DC\u8056\u5E1D\u541B) ou Guandi, \u00AB Saint empereur Guan \u00BB. Il est toujours v\u00E9n\u00E9r\u00E9 de nos jours en Chine, aussi bien par les tao\u00EFstes que par les bouddhistes. Il est particuli\u00E8rement populaire \u00E0 Hong-Kong comme dieu de la guerre, des hommes d\u2019affaires et des policiers. On le repr\u00E9sente traditionnellement comme un g\u00E9ant \u00E0 face rouge (symbolisant la loyaut\u00E9 et la droiture) avec une tr\u00E8s longue barbe et portant un guandao (une arme d\u2019hast \u00E0 hampe moyenne de l\u2019\u00E9poque des Song) qui pesait, selon la l\u00E9gende, plus de 80 jins (environ 40 kg). Il a \u00E9t\u00E9 immortalis\u00E9 dans le roman des Trois Royaumes, o\u00F9 il est d\u00E9peint comme un guerrier loyal et honorable capable d'exploits surhumains. Il est le p\u00E8re de Guan Ping, Guan Xing, Guan Suo et Guan Yinping. Au Japon, il est connu sous le nom de Kan'u Unch\u014D, en Cor\u00E9e, sous le nom de Gwanu Unjang, et au Vi\u00EAt Nam, sous celui de Quan V\u0169 V\u00E2n Tr\u01B0\u1EDDng."@fr . . . . . . . . . . . "\u4E09\u56FD\u6F14\u4E49"@fr . . . . . . . . . . "Guan Yu"@nl . . . "y\u00FAn ch\u00E1ng"@fr . "o"@fr . "\u4E09\u570B\u5FD7"@fr . . . "\u95DC\u7FBD"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "gu\u0101n y\u01D4"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u4E09\u570B\u6F14\u7FA9"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Guan Yu"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Guan Yu"@fr . . . . "Guan Yu"@sv . . . "Kouan Yu"@fr . . "\u4E91\u957F"@fr . . . "\u5173\u7FBD"@fr . . "23858"^^ . . . . . . . . . "\u96F2\u9577"@fr . . "186812239"^^ . . . . . . . . . "s\u4E09\u56FD\u5FD7"@fr . "\u0490\u0443\u0430\u043D\u044C \u042E\u0439"@uk . . . . . "Guan Yu ou Kouan Yu (chinois simplifi\u00E9 : \u5173\u7FBD ; chinois traditionnel : \u95DC\u7FBD ; pinyin : gu\u0101n y\u01D4 ; EFEO : Kouan Yu), n\u00E9 vers 160-162 et d\u00E9c\u00E9d\u00E9 vers octobre 219-220, qui avait pris comme pr\u00E9nom usuel Yunchang (chinois simplifi\u00E9 : \u4E91\u957F ; chinois traditionnel : \u96F2\u9577 ; pinyin : y\u00FAn ch\u00E1ng), et qu'on mentionne souvent sous le nom de Guan Gong (chinois traditionnel : \u95DC\u516C, Seigneur Guan), \u00E9tait un g\u00E9n\u00E9ral chinois de la fin de la dynastie Han et du d\u00E9but de la p\u00E9riode des Trois Royaumes. Il est le p\u00E8re de Guan Ping, Guan Xing, Guan Suo et Guan Yinping."@fr . . . . . . . "Guan Yu"@eu . . . . . . . . . . . . . "204693"^^ . .