. . "1325"^^ . "Green Heaven est une chanson des Red Hot Chili Peppers pr\u00E9sente sur leur album du m\u00EAme nom, Red Hot Chili Peppers. Cette chanson aux paroles tr\u00E8s provocatrices, est tr\u00E8s certainement la plus engag\u00E9e des Red Hot, critiquant directement la police, la politique, la religion et le Ku Klux Klan.Elle est organis\u00E9e d'une fa\u00E7on sp\u00E9ciale, en 3 couplets et sans refrain distinct, le premier et le troisi\u00E8me couplet sont les m\u00EAmes rythmiquement et musicalement, et parlent au niveau des paroles de la m\u00EAme chose, c'est-\u00E0-dire d'une critique du syst\u00E8me am\u00E9ricain et plus pr\u00E9cis\u00E9ment de la police (pour le troisi\u00E8me) se comportant de fa\u00E7on raciste. Le second couplet change compl\u00E8tement de registre musical et parolier, il passe d'une tonalit\u00E9 mineure \u00E0 une tonalit\u00E9 majeure, et fait intervenir des paroles beaucoup plus positives et optimistes, parlant des dauphins et de leur existence parfaite, loin de toute la haine humaine."@fr . "Green Heaven est une chanson des Red Hot Chili Peppers pr\u00E9sente sur leur album du m\u00EAme nom, Red Hot Chili Peppers. Cette chanson aux paroles tr\u00E8s provocatrices, est tr\u00E8s certainement la plus engag\u00E9e des Red Hot, critiquant directement la police, la politique, la religion et le Ku Klux Klan.Elle est organis\u00E9e d'une fa\u00E7on sp\u00E9ciale, en 3 couplets et sans refrain distinct, le premier et le troisi\u00E8me couplet sont les m\u00EAmes rythmiquement et musicalement, et parlent au niveau des paroles de la m\u00EAme chose, c'est-\u00E0-dire d'une critique du syst\u00E8me am\u00E9ricain et plus pr\u00E9cis\u00E9ment de la police (pour le troisi\u00E8me) se comportant de fa\u00E7on raciste. Le second couplet change compl\u00E8tement de registre musical et parolier, il passe d'une tonalit\u00E9 mineure \u00E0 une tonalit\u00E9 majeure, et fait intervenir des paroles beau"@fr . . "Green Heaven"@fr . . . . . . . . . . "146103518"^^ . . . "2957227"^^ . . . . . . . .