. . . . . . . . . . . "Gorgonopsia"@it . . . . . . . . . . . . "\u0413\u043E\u0440\u0433\u043E\u043D\u043E\u043F\u0441\u0438"@uk . . . . . . . . . . . . . . . . "Mauricio"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gorgonopsia"@de . . . . . . . . . . . . "978"^^ . . . . "SAM-PK-11490.jpg"@fr . . . "Bloomington"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "SAM-PK-11490 avec plaie dentaire incrust\u00E9e et reconstruction sp\u00E9culative d'une morsure entres gorgonopsiens ."@fr . . . . . . . . "Cladogramme du taxon Gorgonopsia selon Bendel 2018."@fr . . . . . . . . . . . "86536"^^ . "vertical"@fr . . . . . . . . . . "SAM-PK-11490 avec plaie dentaire incrust\u00E9e et reconstruction sp\u00E9culative d'une morsure entres gorgonopsiens ."@fr . . . "Gorgonopsiens Gorgonopsia Squelette mont\u00E9 d'Inostrancevia alexandri, expos\u00E9 au (en), Trente, en Italie Sous-ordre \u2020 GorgonopsiaSeeley, 1895 Genres de rang inf\u00E9rieur Liste \n* \u2020 Aelurosaurus \n* \u2020 Aloposaurus \n* \u2020 Cyonosaurus \n* \u2020 Eriphostoma \n* \u2020 Nochnitsa \n* \u2020 Viatkogorgon \n* \u2020 Gorgonopsidae (Lydekker, 1890) \n* \u2020 Arctognathus \n* \u2020 Arctops \n* \u2020 Cynariops \n* \u2020 Lycaenops \n* \u2020 Njalila \n* \u2020 Suchogorgon \n* \u2020 Smilesaurus \n* \u2020 Gorgonops (type) \n* \u2020 Sauroctonus \n* \u2020 Scylacops \n* \u2020 Inostranceviinae \n* \u2020 Rubidgeinae \n* Taxons douteux ou incertains : \n* \u2020 Cerdodon \n* \u2020 Kamagorgon \n* \u2020 Leogorgon \n* \u2020 Wangwusaurus"@fr . . "Gorgonopsia"@nl . . . . . . . . . . . . . . "\u0413\u043E\u0440\u0433\u043E\u043D\u043E\u043F\u0441\u044B"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Ant\u00F3n"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "191272096"^^ . . . . . . . . "Gorgonopsia"@eu . . . . . . . . "\u30B4\u30EB\u30B4\u30CE\u30D7\u30B9\u4E9C\u76EE"@ja . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2013"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gorgonopsia"@sv . . . . "center"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gorgonops (clade de categoria superior)"@ca . . "1526890"^^ . . . . . "\u062C\u0648\u0631\u062C\u0648\u0646\u0648\u0628\u0633\u064A\u0627"@ar . . "Category:Gorgonopsia"@fr . . . . . "SAM-PK-11490 reconstruction.jpg"@fr . . . . . "Gorgonopsiens Gorgonopsia Squelette mont\u00E9 d'Inostrancevia alexandri, expos\u00E9 au (en), Trente, en Italie Sous-ordre \u2020 GorgonopsiaSeeley, 1895 Genres de rang inf\u00E9rieur Liste \n* \u2020 Aelurosaurus \n* \u2020 Aloposaurus \n* \u2020 Cyonosaurus \n* \u2020 Eriphostoma \n* \u2020 Nochnitsa \n* \u2020 Viatkogorgon \n* \u2020 Gorgonopsidae (Lydekker, 1890) \n* \u2020 Arctognathus \n* \u2020 Arctops \n* \u2020 Cynariops \n* \u2020 Lycaenops \n* \u2020 Njalila \n* \u2020 Suchogorgon \n* \u2020 Smilesaurus \n* \u2020 Gorgonops (type) \n* \u2020 Sauroctonus \n* \u2020 Scylacops \n* \u2020 Inostranceviinae \n* \u2020 Rubidgeinae \n* Taxons douteux ou incertains : \n* \u2020 Cerdodon \n* \u2020 Kamagorgon \n* \u2020 Leogorgon \n* \u2020 Wangwusaurus Les gorgonopsiens, de leur nom scientifique Gorgonopsia (du grec ancien \u0393\u03BF\u03C1\u03B3\u03CC\u03BD\u03B5\u03C2 / gorg\u00F3nes \u00AB gorgones \u00BB et \u1F44\u03C8 / \u00F3ps \u00AB aspect \u00BB, \u00AB yeux \u00BB ou \u00AB visage \u00BB, pour donner litt\u00E9ralement \u00AB aspect de gorgone \u00BB), forment un sous-ordre \u00E9teint de th\u00E9rapsides carnivores ayant v\u00E9cu du milieu jusqu'\u00E0 la fin du Permien, entre 265 et 252 millions d'ann\u00E9es avant notre \u00E8re. Ils se caract\u00E9risent par un cr\u00E2ne long et \u00E9troit, ainsi que par des canines et des incisives sup\u00E9rieures et parfois inf\u00E9rieures allong\u00E9es, les autres dents \u00E9tant g\u00E9n\u00E9ralement r\u00E9duites, voire absentes. Pour chasser des proies imposants, ils auraient peut-\u00EAtre utilis\u00E9 une tactique de morsure et de retraite, tendant une embuscade et prenant une bouch\u00E9e d\u00E9bilitante de la cible, en leur suivant \u00E0 une prudente distance avant que les blessures inflig\u00E9es ne les \u00E9puisent, apr\u00E8s quoi les gorgonopsiens agripperaient ces derniers en leurs mordant mortellement. Ils auraient eu une ouverture exorbitante de la m\u00E2choire, probablement sup\u00E9rieure \u00E0 90\u00B0, sans avoir \u00E0 d\u00E9crocher la mandibule. Leur taille augmentent consid\u00E9rablement au fil des p\u00E9riodes g\u00E9ologiques, passant des longueurs de cr\u00E2ne de 10 \u00E0 15 cm dans le Permien moyen \u00E0 des proportions semblables \u00E0 celles d'ours allant jusqu'\u00E0 60 cm durant le Permien sup\u00E9rieur. Les gorgonopsiens les plus r\u00E9cents, les rubidgein\u00E9s sont les plus robustes du groupe et peuvent produire des morsures particuli\u00E8rement puissantes. Les gorgonopsiens seraient capable de marcher avec une d\u00E9marche semi-dress\u00E9e en plus d'une autonomie locomotrice terrestre similaire \u00E0 celle des crocodiliens modernes. Ils seraient peut-\u00EAtre plus agiles que leurs proies mais seraient probablement des hom\u00E9othermes inertiels plut\u00F4t que des endothermes, contrairement \u00E0 leurs contemporains th\u00E9roc\u00E9phales et cynodontes (un groupe inclut les anc\u00EAtres des mammif\u00E8res), et \u00E9taient donc probablement et relativement moins actifs. Bien que les gorgonopsiens serait capables de maintenir une temp\u00E9rature corporelle plut\u00F4t \u00E9lev\u00E9e, il n'est pas clair s'ils aurait \u00E9galement eu des glandes sudoripares ou de la fourrure (et par extension des vibrisses et des structures associ\u00E9es). Leurs cerveaux rappellent plus les cerveaux des reptiles que ceux des mammif\u00E8res actuels. La plupart des esp\u00E8ces peuvent avoir \u00E9t\u00E9 principalement diurnes, bien que certaines aient pu \u00EAtre \u00E9galement cr\u00E9pusculaires, voire nocturnes. Ils ont probablement eu une vision binoculaire, un \u0153il pari\u00E9tal (qui d\u00E9tecte la lumi\u00E8re du soleil et maintient le rythme circadien), un sens aigu de l'odorat, un organe vom\u00E9ronasal fonctionnel et \u00E9ventuellement un tympan rudimentaire. Les principaux groupes de th\u00E9rapsides commencent \u00E0 apparaitre vers 275 millions d'ann\u00E9es \u00E0 partir de leurs anc\u00EAtres p\u00E9lycosaures (un groupe mal d\u00E9fini comprenant tout les synapsides qui ne sont pas des th\u00E9rapsides). La prise de contr\u00F4le th\u00E9rapsides sur les p\u00E9lycosaures a lieu au Permien moyen alors que la Terre devenait progressivement plus sec. Les gorgonopsiens deviennent les superpr\u00E9dateurs de leurs environnements \u00E0 la suite d'une extinction de masse qui d\u00E9cime les dinoc\u00E9phales et les grands th\u00E9roc\u00E9phales. Malgr\u00E9 l'existence d'un seul supercontinent durant cette p\u00E9riode (\u00E0 savoir la Pang\u00E9e), leurs fossiles ne sont trouvables que dans le continent africain (pr\u00E9cis\u00E9ment dans le supergroupe du Karoo \u2013 incluant l'Afrique du Sud, la Tanzanie, la Zambie et le Malawi \u2013 ainsi qu'au Niger) et la Russie europ\u00E9enne, avec des restes probables connus d'Inde. Ces endroits sont identifi\u00E9s comme des zones semi-arides avec des pr\u00E9cipitations tr\u00E8s saisonni\u00E8res. L'ensemble du groupe varient tr\u00E8s peu en morphologie, de nombreux genres et esp\u00E8ces \u00E9tant nomm\u00E9es sur la base de diff\u00E9rences plus ou moins mineures et probablement li\u00E9es \u00E0 l'\u00E2ge depuis leurs d\u00E9couvertes \u00E0 la fin du XIXe si\u00E8cle, ce qui fait que ce taxon fait l'objet de plusieurs r\u00E9visions phylog\u00E9n\u00E9tiques. Ils s'\u00E9teignent au cours d'une phase de l'extinction Permien-Trias, au cours de laquelle une activit\u00E9 volcanique majeure (qui sont \u00E0 l'origine des trapps de Sib\u00E9rie) et un pic massif de gaz \u00E0 effet de serre qui en r\u00E9sulte provoque une aridification rapide due aux pic de temp\u00E9rature, pluies acides, feux de for\u00EAts fr\u00E9quents et une d\u00E9gradation potentielle de la couche d'ozone. Leurs grandes niches pr\u00E9datrices seront occup\u00E9es plus tard par les archosaures, et plus pr\u00E9cis\u00E9ment les dinosaures th\u00E9ropodes, durant le M\u00E9sozo\u00EFque."@fr . . . . . . . . "Sabertooth"@fr . . . . . . . . "Position phylog\u00E9n\u00E9tique simplifi\u00E9e des gorgonopsiens au sein des synapsides."@fr . . . . . . . . "857070029"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gorgonopsia"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gorgonopsia"@fr . . . .