. . . . . . "La gigue est une danse rapide ou tr\u00E8s rapide, d'origine probablement anglaise ou irlandaise (jig). Elle est de rythme ternaire ou binaire (dans ce cas en triolets ou notes point\u00E9es). Chronologiquement, c'est la derni\u00E8re danse \u00E0 \u00EAtre int\u00E9gr\u00E9e comme \u00E9l\u00E9ment de base de la suite baroque. Elle se joue en principe en dernier lieu, apr\u00E8s la sarabande, mais avec la possibilit\u00E9 d'intercaler entre elles certaines danses optionnelles, telles que menuet, gavotte, bourr\u00E9e, passepied, rigaudon, farandole, etc. En Belgique, la chapelloise peut aussi s'appeler gigue."@fr . . . . . . . "Giga (dan\u00E7a)"@pt . . . . . . . . . . . . . . "191118532"^^ . . . . . . . . . . "5126"^^ . . . . . . "\u57FA\u683C"@zh . . . . "\u0416\u0438\u0433\u0430"@uk . . . . . "Gigue (muzyka)"@pl . . . . . "Giga (forma musicale)"@it . . . . "La gigue est une danse rapide ou tr\u00E8s rapide, d'origine probablement anglaise ou irlandaise (jig). Elle est de rythme ternaire ou binaire (dans ce cas en triolets ou notes point\u00E9es). Chronologiquement, c'est la derni\u00E8re danse \u00E0 \u00EAtre int\u00E9gr\u00E9e comme \u00E9l\u00E9ment de base de la suite baroque. Elle se joue en principe en dernier lieu, apr\u00E8s la sarabande, mais avec la possibilit\u00E9 d'intercaler entre elles certaines danses optionnelles, telles que menuet, gavotte, bourr\u00E9e, passepied, rigaudon, farandole, etc. Lorsqu'elle n'est pas la derni\u00E8re danse de la suite, elle pr\u00E9c\u00E8de le plus souvent une chaconne ou une passacaille. La jig est \u00E9galement une des trois principales danses irlandaises. \u00C0 New York, dans les ann\u00E9es 1830, la gigue des immigrants irlandais fusionne avec le shuffle des esclaves pour donner le buck and wing, l'anc\u00EAtre des claquettes modernes. En \u00C9cosse, elle constitue l'une des principales danses traditionnelles. On la retrouve notamment dans les medleys jou\u00E9s par les pipe bands (groupes traditionnels compos\u00E9s de cornemuses et de percussions), g\u00E9n\u00E9ralement en milieu de suite, lors des diff\u00E9rents championnats et repr\u00E9sentations. Elle est \u00E9galement l'une des \u00E9preuves de base des concours de danse. Enfin, elle compose avec le hornpipe l'un des sets de morceaux impos\u00E9s lors des championnats du monde de caisse-claire \u00E9cossaise (RSPBA World Solo Drumming Championships). Au Qu\u00E9bec (Canada), la gigue est fort populaire au XIXe si\u00E8cle et au d\u00E9but du XXe si\u00E8cle. Elle est toujours pr\u00E9sente dans tout le r\u00E9pertoire nord-am\u00E9ricain (Gilles Vigneault, par exemple, l'emploie fr\u00E9quemment). Son rythme soutenu s'adapte bien au r\u00E9pertoire pop et aux go\u00FBts musicaux actuels (par exemple la Jig of Life de Kate Bush, dans son album Hounds of Love). En Belgique, la chapelloise peut aussi s'appeler gigue."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u30B8\u30FC\u30B0 (\u97F3\u697D)"@ja . . . . "30316"^^ . . . . . . "Giga (danza)"@es . . . . . . . . . . . "Gigue (danse)"@fr . . . "Giga (dansa)"@ca . . .