. . . "John Wortley"@fr . . . . . . . . . "Chronographie, ou histoire d'un si\u00E8cle de Byzance Tome II"@fr . . . "Jorge Maniaces"@es . . "\u062C\u0648\u0631\u062C \u0645\u0627\u0646\u064A\u0627\u0643\u064A\u0633"@arz . . . . . "190699679"^^ . . "George Maniakes"@en . . . . . "1891576"^^ . . "\u00C9mile Renauld"@fr . . "Paris"@fr . . . "New York"@fr . "Psellos"@fr . . "Georges Maniak\u00E8s (\u0393\u03B5\u03CE\u03C1\u03B3\u03B9\u03BF\u03C2 \u039C\u03B1\u03BD\u03B9\u03AC\u03BA\u03B7\u03C2 en grec) est un g\u00E9n\u00E9ral byzantin d\u2019origine grecque du XIe si\u00E8cle, identifi\u00E9 aussi sous le nom de Gyrgir dans les sagas scandinaves. Fils de Goudelios Maniakes, il parvient \u00E0 se hisser au rang de g\u00E9n\u00E9ral malgr\u00E9 ses origines modestes. Il fait valoir ses talents militaires lorsqu\u2019il parvient \u00E0 prendre la ville d\u2019\u00C9desse aux Seldjoukides en 1032 ainsi que d\u2019autres territoires de l\u2019actuelle Syrie. Il est surtout renomm\u00E9 pour sa reconqu\u00EAte partielle de la Sicile qui commence en 1038. Au cours de sa vie, le temp\u00E9rament col\u00E9rique de Maniak\u00E8s lui attire plusieurs probl\u00E8mes avec le pouvoir imp\u00E9rial de Byzance. Il se fait emprisonner et plus tard, son m\u00E9contentement envers l\u2019empereur Constantin IX Monomaque le pousse finalement \u00E0 la r\u00E9volte en 1042, o\u00F9 il trouve la "@fr . . . . "Michel Psellos"@fr . . "Jean Skylitzes"@fr . . . . . . . . . "en"@fr . . "20123"^^ . . . . . . . . "2010"^^ . . "Jorge Maniaces"@pt . . . . . "\u4E54\u6CBB\u00B7\u9A6C\u5C3C\u4E9A\u514B"@zh . . "\u0413\u0435\u043E\u0440\u0433\u0438\u0439 \u041C\u0430\u043D\u0438\u0430\u043A"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Georgios Maniakes"@pl . "Georgios Maniakes"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Skylitzes"@fr . . . . . . . . "978"^^ . . . . . . . "grc"@fr . . "491"^^ . "1928"^^ . . "cambridge university press"@fr . . . "Georges Maniak\u00E8s (\u0393\u03B5\u03CE\u03C1\u03B3\u03B9\u03BF\u03C2 \u039C\u03B1\u03BD\u03B9\u03AC\u03BA\u03B7\u03C2 en grec) est un g\u00E9n\u00E9ral byzantin d\u2019origine grecque du XIe si\u00E8cle, identifi\u00E9 aussi sous le nom de Gyrgir dans les sagas scandinaves. Fils de Goudelios Maniakes, il parvient \u00E0 se hisser au rang de g\u00E9n\u00E9ral malgr\u00E9 ses origines modestes. Il fait valoir ses talents militaires lorsqu\u2019il parvient \u00E0 prendre la ville d\u2019\u00C9desse aux Seldjoukides en 1032 ainsi que d\u2019autres territoires de l\u2019actuelle Syrie. Il est surtout renomm\u00E9 pour sa reconqu\u00EAte partielle de la Sicile qui commence en 1038. Au cours de sa vie, le temp\u00E9rament col\u00E9rique de Maniak\u00E8s lui attire plusieurs probl\u00E8mes avec le pouvoir imp\u00E9rial de Byzance. Il se fait emprisonner et plus tard, son m\u00E9contentement envers l\u2019empereur Constantin IX Monomaque le pousse finalement \u00E0 la r\u00E9volte en 1042, o\u00F9 il trouve la mort durant une importante bataille. Le d\u00E9c\u00E8s de Maniak\u00E8s, en l\u2019an 1043, est une \u00E9nigme pour ses contemporains, car aucun d\u2019eux n\u2019est en mesure de prouver qui l\u2019a achev\u00E9. L\u2019intellectuel byzantin Michel Psellos, son contemporain, affirme avoir connu Georges Maniak\u00E8s et le d\u00E9crit comme un homme que la nature a destin\u00E9 \u00E0 \u00EAtre un commandant militaire, car \u00AB sa taille atteignait au dixi\u00E8me pied, et ceux qui le regardaient levaient la t\u00EAte comme vers une colline ou un sommet de montagne. Sa figure n\u2019\u00E9tait ni douce ni agr\u00E9able, mais \u00E9voquait l\u2019id\u00E9e d\u2019un ouragan ; sa voix \u00E9tait un tonnerre, et ses mains \u00E9taient capables d\u2019\u00E9branler des murailles et de briser des portes de bronze ; son \u00E9lan \u00E9tait celui d\u2019un lion et son sourcil \u00E9tait terrible. Et tout le reste, en cet homme, s\u2019accordait et concordait avec ces traits. Et ce qui se disait de lui rench\u00E9rissait sur ce qui se voyait ; et tous les barbares en avaient peur, l\u2019un pour l\u2019avoir vu et admir\u00E9, l\u2019autre pour avoir entendu parler de lui en des r\u00E9cits terrifiants\u00BB Son arm\u00E9e est compos\u00E9e de mercenaires de toutes sortes. Certains viennent d\u2019Italie et de Lombardie, et il a sous son commandement le semi-l\u00E9gendaire h\u00E9ros scandinave Harald Hardrara, qui commandait la garde var\u00E8gue. Harald Hardrara devient plus tard roi de Norv\u00E8ge. Un autre personnage notoire sous ses ordres est Guillaume de Hauteville, commandant des mercenaires normands, surnomm\u00E9 Bras-de-fer apr\u00E8s avoir vaincu, en combat singulier, l\u2019\u00E9mir musulman de Syracuse, \u00E0 Troina. Ces deux commandants quittent \u00E0 des moments diff\u00E9rents les troupes de Maniak\u00E8s et ne sont donc pas \u00E0 ses c\u00F4t\u00E9s lors de sa mort. Il est repr\u00E9sent\u00E9 dans les Chronique de Skylitz\u00E8s de Madrid, o\u00F9 se trouvent des miniatures de ses diff\u00E9rents accomplissements."@fr . . . "Georges Maniak\u00E8s"@fr . . "Les belles lettres"@fr . . . . . . . . . "Jordi Maniaces"@ca . . . . "John Skylitzes : A Synopsis of Byzantine History, 811\u20131057 : Translation and Notes"@fr . . . . . .