. . . . . . . . . "Les Geodia forment un genre d'\u00E9ponge siliceuse regroupant plus de 160 esp\u00E8ces. Les Geodia ont une r\u00E9partition g\u00E9ographique quasi-mondiale (elles sont absentes en Antarctique), et sont pr\u00E9sentes depuis les eaux littorales jusqu'aux profondeurs bathyales. Geodia est traditionnellement caract\u00E9ris\u00E9 par la pr\u00E9sence de (micro-spicules) en forme de boule appel\u00E9s . Ceux-ci forment la couche interne du cortex (endocortex). La couche externe de l'\u00E9ponge (ectocortex) est form\u00E9 par une autre cat\u00E9gorie d' : , , etc. Bien souvent, d'autres cat\u00E9gories d' sont pr\u00E9sents dans le . C'est souvent la morphologie des (taille et forme) qui permet d'identifier les diff\u00E9rentes esp\u00E8ces. D'autre part, comme chez les autres Astrophorida, les Geodia ont des (macro-spicules) \u00E0 quatre branches appel\u00E9s . Ces triaen"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Geodia"@fr . . . . . . . . . "Geodia"@af . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Geodia"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Geodia"@pt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Geodia"@ca . . "1647253"^^ . . . . . . . . . . . . . "Geodia"@war . . . "189013821"^^ . "Les Geodia forment un genre d'\u00E9ponge siliceuse regroupant plus de 160 esp\u00E8ces. Les Geodia ont une r\u00E9partition g\u00E9ographique quasi-mondiale (elles sont absentes en Antarctique), et sont pr\u00E9sentes depuis les eaux littorales jusqu'aux profondeurs bathyales. Geodia est traditionnellement caract\u00E9ris\u00E9 par la pr\u00E9sence de (micro-spicules) en forme de boule appel\u00E9s . Ceux-ci forment la couche interne du cortex (endocortex). La couche externe de l'\u00E9ponge (ectocortex) est form\u00E9 par une autre cat\u00E9gorie d' : , , etc. Bien souvent, d'autres cat\u00E9gories d' sont pr\u00E9sents dans le . C'est souvent la morphologie des (taille et forme) qui permet d'identifier les diff\u00E9rentes esp\u00E8ces. D'autre part, comme chez les autres Astrophorida, les Geodia ont des (macro-spicules) \u00E0 quatre branches appel\u00E9s . Ces triaenes ont \u00E9t\u00E9 perdus chez quelques esp\u00E8ces de Geodia, autrefois r\u00E9unis dans le genre Geodinella Lendenfeld, 1903 (ex:G. robusta, G. spherastrosa, G. hyotania). Des \u00E9tudes phylog\u00E9n\u00E9tiques mol\u00E9culaires ont montr\u00E9 que les ont \u00E9t\u00E9 perdus plusieurs fois au cours de l'\u00E9volution. Des analyses phylog\u00E9n\u00E9tiques mol\u00E9culaires ont montr\u00E9 que les genres Isops Sollas, 1880 et Sidonops Sollas, 1889 sont synonymes de Geodia. De plus, depuis Morrow & C\u00E1rdenas (2015), Astrophorida n'est plus accept\u00E9 comme un ordre et est devenu un sous-ordre de Tetractinellida, auquel le genre Geodia est donc d\u00E9sormais rattach\u00E9. Les Geodia tropicales peuvent \u00EAtre consomm\u00E9es par les tortues imbriqu\u00E9es. L'esp\u00E8ce la plus commune en M\u00E9diterran\u00E9e est Geodia cydonium."@fr . . . . . . . . . . . . "14545"^^ . . . . . . . "Category:Geodia"@fr . . . . .