. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Habitat fragmentation"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Fragmentacja siedliska"@pl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Fragmentation (\u00E9cologie)"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Fragmentacion ecologica"@oc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "958156"^^ . . . . "\u751F\u5883\u7834\u788E\u5316"@zh . . . . . . . . . . . . . . . "La notion de fragmentation ou de morcellement des \u00E9cosyst\u00E8mes / des habitats / \u00E9copaysag\u00E8re(er) / \u00E9cologique englobe tout ph\u00E9nom\u00E8ne artificiel de morcellement de l'espace, qui peut ou pourrait emp\u00EAcher une ou plusieurs esp\u00E8ces de se d\u00E9placer comme elles le devraient et le pourraient en l'absence de facteur de fragmentation.Avec le concept d'h\u00E9t\u00E9rog\u00E9n\u00E9it\u00E9, celui de fragmentation est une des bases th\u00E9oriques de l'\u00E9cologie du paysage. La notion de fragmentation concerne uniquement le ph\u00E9nom\u00E8ne de morcellement, sans perte de surface. Toutefois, l\u2019usage commun du terme contraint \u00E0 en \u00E9largir la d\u00E9finition en y incluant la perte d'habitats. On parle alors de fragmentation per se quand on fait r\u00E9f\u00E9rence uniquement au morcellement, et de fragmentation quand on y inclut la notion de perte d\u2019habitat. En ce sens, un obstacle plac\u00E9 dans une matrice ne modifie ni le morcellement ni les habitats. Il modifie entre autres la connectivit\u00E9 \u00E9copaysag\u00E8re mais n\u2019est pas un \u00E9l\u00E9ment strictement fragmentant. Les individus, les populations et les esp\u00E8ces sont diff\u00E9remment affect\u00E9s par la fragmentation de leur habitat. Ils y sont plus ou moins vuln\u00E9rables selon leurs capacit\u00E9s adaptatives, leur degr\u00E9 de sp\u00E9cialisation, leur d\u00E9pendance \u00E0 certaines structures \u00E9copaysag\u00E8res. D'autres facteurs sont leur capacit\u00E9 \u00E0 voler ou \u00E0 franchir les obstacles (parois, grillages, routes, zones trait\u00E9es par des pesticides, etc.), et selon la biologie de leurs populations. Par exemple, les , qui volent et qui peuvent donc exploiter des \u00AB taches \u00BB diff\u00E9rentes, semblent beaucoup moins affect\u00E9s par la diminution de la couverture foresti\u00E8re que par la fragmentation de la for\u00EAt elle-m\u00EAme (hormis quelques exceptions notamment dues aux \u00AB effets-lisi\u00E8re \u00BB ). Dans l'\u00C9valuation des \u00E9cosyst\u00E8mes pour le mill\u00E9naire, la fragmentation \u00E9cologique est consid\u00E9r\u00E9e comme une des premi\u00E8res causes d'atteinte \u00E0 la biodiversit\u00E9, avant la pollution. L'Observatoire wallon de la biodiversit\u00E9 estime par exemple qu'en 2000, 5 \u00E0 15 % des esp\u00E8ces ont d\u00E9j\u00E0 disparu, que 30 \u00E0 50 % sont en r\u00E9gression et que \u00AB la disparition et la fragmentation des espaces naturels en est la premi\u00E8re cause\u00BB. Toutefois, la fragmentation per se, c\u2019est-\u00E0-dire sans consid\u00E9rer la perte d\u2019habitats, est un ph\u00E9nom\u00E8ne majoritairement positif, dont les avantages sont li\u00E9s \u00E0 la th\u00E9orie du (en)."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Fragmentaci\u00F3n de h\u00E1bitat"@es . . . . . . . "66461"^^ . . . . . . . . . . . . "La notion de fragmentation ou de morcellement des \u00E9cosyst\u00E8mes / des habitats / \u00E9copaysag\u00E8re(er) / \u00E9cologique englobe tout ph\u00E9nom\u00E8ne artificiel de morcellement de l'espace, qui peut ou pourrait emp\u00EAcher une ou plusieurs esp\u00E8ces de se d\u00E9placer comme elles le devraient et le pourraient en l'absence de facteur de fragmentation.Avec le concept d'h\u00E9t\u00E9rog\u00E9n\u00E9it\u00E9, celui de fragmentation est une des bases th\u00E9oriques de l'\u00E9cologie du paysage."@fr . . . . . . . . . . . "191372404"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .