. . . . . . . . . . "16207"^^ . . . . . . . . . . . . "188707421"^^ . . . . . . . . . . . . "Extra Ecclesiam nulla salus"@pl . . . . . . . . . . . . . "1483606"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Extra Ecclesiam nulla salus (\u00AB Hors de l'\u00C9glise il n'y a pas de salut \u00BB) est une expression latine de Cyprien de Carthage. La phrase exacte est Salus extra ecclesiam non est et se trouve dans ses lettres Epistula 4, 4 et Epistula 73, 21,2. Ce principe se situe au centre de la sot\u00E9riologie catholique et a \u00E9t\u00E9 l'objet de nombreuses controverses. Pour certains, comme le j\u00E9suite am\u00E9ricain Feeney, les fid\u00E8les des autres religions, ou encore les ath\u00E9es ne peuvent \u00EAtre sauv\u00E9s, faute de la foi n\u00E9cessaire au salut ; mais la Congr\u00E9gation pour la Doctrine de la Foi a rappel\u00E9 la constante condamnation de cette opinion dans le magist\u00E8re faisant valoir l'ignorance invincible et le primat de la Charit\u00E9. D'autres voudraient rejeter cette sentence au titre que ou bien toutes les traditions religieuses se valent ou bien la mis\u00E9ricorde divine ne permettrait pas que la libert\u00E9 humaine puisse rejeter Dieu d\u00E9finitivement, c'est-\u00E0-dire la possibilit\u00E9 de l'enfer. Ces interpr\u00E9tations ont aussi \u00E9t\u00E9 \u00E9cart\u00E9es constamment par l'\u00C9glise, comme lors du dernier Concile \u0152cum\u00E9nique, Vatican II, dans la Constitution Lumen Gentium n\u00B014 : le salut en J\u00E9sus ne s'op\u00E8re pas sans le corps qu'il s'est form\u00E9, l'\u00C9glise. L'\u00C9glise catholique se d\u00E9finit comme une communion eucharistique. L'expression \u00AB Hors de l'\u00C9glise, point de salut \u00BB signifie que les sacrements permettent aux fid\u00E8les de participer \u00E0 la vie de Dieu et que c'est Dieu qui donne le salut. Il s'applique diff\u00E9remment aux diff\u00E9rentes situations spirituelles : \"D'une acception pleine et totale de la notion d\u2019\u00C9glise (la pl\u00E9nitude catholique) \u00E0 ses r\u00E9alisations imparfaites, mais encore fond\u00E9es sur le bapt\u00EAme sacramentel (communaut\u00E9s s\u00E9par\u00E9es) et \u00E0 ses r\u00E9alisations imparfaites n'incluant pas les institutions du Christ (religion juive, confessions monoth\u00E9istes, religions hors du courant biblique, situations a-religieuses), c'est toujours par une appartenance - plus ou moins parfaite - \u00E0 l\u2019\u00C9glise que l'on est sauv\u00E9.\" Cet adage exprime la nature eccl\u00E9siale et communautaire du salut tel qu'il est pens\u00E9 en th\u00E9ologie catholique."@fr . . . . . . . . . . . "Extra Ecclesiam nulla salus"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Extra Ecclesiam nulla salus"@ru . . . . . "Extra Ecclesiam nulla salus (\u00AB Hors de l'\u00C9glise il n'y a pas de salut \u00BB) est une expression latine de Cyprien de Carthage. La phrase exacte est Salus extra ecclesiam non est et se trouve dans ses lettres Epistula 4, 4 et Epistula 73, 21,2."@fr . . . . "Extra Ecclesiam nulla salus"@en .