. . . . . . . . . . . . . "Eberhard Waechter, n\u00E9 le 8 juillet 1929 \u00E0 Vienne, Autriche et mort le 29 mars 1992 dans cette m\u00EAme ville, est un baryton autrichien. Sa famille, d'origine juive, fut en partie assassin\u00E9e au camp de concentration de Theresienstadt."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "866305"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Eberhard Waechter (baritone)"@en . . . . "Eberhard W\u00E4chter"@es . . . . . . . "1991"^^ . . "4946"^^ . . . . . . . . . "#F0F8FF"@fr . "188661295"^^ . . . . . "Eberhard Waechter"@fr . . . . . . "#FFFFFF"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Eberhard Waechter, n\u00E9 le 8 juillet 1929 \u00E0 Vienne, Autriche et mort le 29 mars 1992 dans cette m\u00EAme ville, est un baryton autrichien. Sa famille, d'origine juive, fut en partie assassin\u00E9e au camp de concentration de Theresienstadt. Apr\u00E8s sa sortie du lyc\u00E9e en 1947, il \u00E9tudie le piano et la th\u00E9orie au Conservatoire de Vienne, o\u00F9 il opte pour le chant en 1950, \u00E9tudiant avec Elisabeth Rado. Toute sa vie, il fut fid\u00E8le \u00E0 sa ville natale : \u00AB Viennois, il na\u00EEt, viennois il demeurera toujours, par le ton, le style et le foyer. \u00BB Chanteur \u00E0 la carri\u00E8re relativement br\u00E8ve (des probl\u00E8mes vocaux apparurent d\u00E8s les ann\u00E9es 1960), il d\u00E9bute au Volksoper en 1953 en Silvio (Paillasse), puis au Staatsoper en 1954, y chantant Mozart, Richard Strauss et Wagner. Il y cr\u00E9e La Temp\u00EAte de Frank Martin en 1956, La Visite de la vieille dame de Gottfried von Einem en 1971. En Allemagne, il se produit tr\u00E8s vite \u00E0 Stuttgart, Berlin, puis entame une carri\u00E8re internationale : en 1956 il d\u00E9bute au Covent Garden dans Almaviva, puis jusqu'en 1959 il y chantera Amfortas et Renato ; il se produit aussi \u00E0 Salzbourg dans les r\u00F4les d'Arbace, puis jusqu'en 1961 Almaviva et Don Giovanni. Suivent Munich, la Scala de Milan, Rome, Bruxelles, Chicago, Dallas. Il chante au Festival de Bayreuth de 1958 \u00E0 1966, dans les r\u00F4les du H\u00E9raut (Lohengrin), Amfortas (Parsifal), Wolfram (Tannh\u00E4user), Kurwenal (Tristan et Isolde). En 1959, il d\u00E9bute \u00E0 l'Op\u00E9ra de Paris dans Wolfram, r\u00F4le qui marque \u00E9galement ses d\u00E9buts au Metropolitan Opera de New York en 1961. Mais sa carri\u00E8re reste essentiellement viennoise. Mais il est \u00E9galement invit\u00E9 par les Festivals d'\u00C9dimbourg et de Glyndebourne, et chaque ann\u00E9e, il participe au Festival de Salzbourg, o\u00F9 \u00AB on le consid\u00E8re comme un des plus grands interpr\u00E8tes mozartiens. \u00BB Il est \u00E9galement tenu comme un admirable interpr\u00E8te de Richard Strauss (Salome, Arabella, Capriccio, etc.), mais n'a pas d\u00E9daign\u00E9 quelques grandes op\u00E9rettes, tout particuli\u00E8rement La Chauve-souris, qu'il a enregistr\u00E9e avec Herbert von Karajan. Avec le d\u00E9clin de sa voix, il se consacre aux r\u00F4les de caract\u00E8re (Eisenstein), puis devient directeur d'op\u00E9ra : au Volksoper de 1987 \u00E0 1991, et au Staatsoper de 1991 \u00E0 sa mort, en 1992. Waechter aura pr\u00EAt\u00E9 son physique s\u00E9duisant et sa voix claire, virile et chaleureuse tant \u00E0 la trag\u00E9die (Richard Wagner, Richard Strauss) qu'\u00E0 la com\u00E9die (Wolfgang Amadeus Mozart, Johann Strauss fils)."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Eberhard Waechter"@pt . . . . . . . "\u30A8\u30FC\u30D9\u30EB\u30CF\u30EB\u30C8\u30FB\u30A6\u30A7\u30D2\u30BF\u30FC"@ja . . . . . . . . . . . . . . . . . .