. . . . . . . . . . . . . . "Oleg Perepetchenov"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "191341692"^^ . . "Dopning i Ryssland"@sv . . . . . . . . "Dopage en Russie"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Dopaje en Rusia"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "184351"^^ . . . . "Doping in Russia"@en . . . . "Minist\u00E8re des Sports"@fr . . . . . . . . . "Valentin Balakhnichev"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "Richard McLaren"@fr . . . . . . . . "10247723"^^ . . . . . . . . . . . . . . "Le dopage dans le sport en Russie fait principalement r\u00E9f\u00E9rence au syst\u00E8me institutionnel mis en place entre 2011 et 2015 pour doper et couvrir de nombreux athl\u00E8tes russes dans plusieurs grands \u00E9v\u00E8nements internationaux (Championnats du monde, Jeux olympiques) et progressivement mis \u00E0 jour apr\u00E8s les Jeux d'hiver \u00E0 Sotchi en 2014. La Russie est le pays ayant le plus (43) de m\u00E9daill\u00E9s olympiques disqualifi\u00E9s pour dopage, soit plus de quatre fois le total du deuxi\u00E8me pays. Sur la p\u00E9riode concern\u00E9e, plus d'un millier d'athl\u00E8tes russes dans divers sports (\u00E9t\u00E9, hiver et sports paralympiques), ont b\u00E9n\u00E9fici\u00E9 de dissimulation de cas positifs. L'attention des m\u00E9dias commence \u00E0 grandir en d\u00E9cembre 2014 lorsque la cha\u00EEne allemande ARD rapporte des faits qualifi\u00E9s de \u00AB syst\u00E8me de dopage d'\u00C9tat \u00BB en Russie, se rapprochant de celui de l'Allemagne de l'Est. L'Agence Mondiale Antidopage (AMA) publie un rapport en novembre 2015 tr\u00E8s critique \u00E0 l'\u00E9gard de la (en) (RUSADA) et de la F\u00E9d\u00E9ration russe d'athl\u00E9tisme (ARAF). En novembre 2015, l'Association internationale des f\u00E9d\u00E9rations d'athl\u00E9tisme (IAAF) suspend la Russie ind\u00E9finiment de toutes manifestations sportives internationales en raison de la g\u00E9n\u00E9ralisation du dopage. L'agence antidopage du Royaume-Uni aide ensuite l'AMA en effectuant des tests en Russie. En juin 2016, ils signalent qu'ils ne sont pas en mesure de mener \u00E0 bien leur travail, d\u00E9plorant des intimidations par des agents arm\u00E9s du Service f\u00E9d\u00E9ral de s\u00E9curit\u00E9 (FSB). Apr\u00E8s que l'ancien directeur des laboratoires antidopage de Moscou et de Sotchi Grigory Rodchenkov, r\u00E9fugi\u00E9 aux \u00C9tats-Unis, a fait des r\u00E9v\u00E9lations d\u00E9taill\u00E9es concernant le programme de dopage des athl\u00E8tes russes aux Jeux olympiques d'hiver de 2014 \u00E0 Sotchi, l'AMA commande une enqu\u00EAte ind\u00E9pendante men\u00E9e par le Professeur Richard McLaren. L'enqu\u00EAte de McLaren r\u00E9v\u00E8le des \u00E9l\u00E9ments de preuve corroborants, concluant dans un rapport publi\u00E9 en juillet 2016 que le (en) et le FSB ont mis en place un \u00AB syst\u00E8me de s\u00E9curit\u00E9 s\u00E9curis\u00E9 dirig\u00E9 par l'\u00C9tat \u00BB en utilisant une \u00AB m\u00E9thode de disparition des contr\u00F4les positifs \u00BB de \u00AB au moins fin 2011 \u00E0 ao\u00FBt 2015 \u00BB. En r\u00E9ponse \u00E0 ces constatations, l'AMA annonce que la RUSADA doit \u00EAtre consid\u00E9r\u00E9e comme non conforme \u00E0 l'\u00E9gard du Code mondial antidopage et recommande que la Russie soit interdite de participer aux Jeux olympiques d'\u00E9t\u00E9 de 2016 \u00E0 Rio de Janeiro. Le Comit\u00E9 international olympique (CIO) rejette la recommandation de l'AMA et annonce qu'une d\u00E9cision sera prise individuellement par chaque f\u00E9d\u00E9ration sportive. Le 4 ao\u00FBt 2016, un jour avant la c\u00E9r\u00E9monie d'ouverture, 270 athl\u00E8tes sont admis \u00E0 la comp\u00E9tition, tandis que 167 autres sont refus\u00E9s \u00E0 cause de soup\u00E7ons de dopage. Trois jours plus tard, le Comit\u00E9 international paralympique vote \u00E0 l'unanimit\u00E9 l'interdiction pour toute l'\u00E9quipe russe de participer aux Jeux paralympiques d'\u00E9t\u00E9 de 2016, apr\u00E8s avoir trouv\u00E9 la preuve que la m\u00E9thode pour faire dispara\u00EEtre les contr\u00F4les positifs \u00E9tait utilis\u00E9e aux Jeux paralympiques d'hiver de 2014. En f\u00E9vrier 2017, l'AMA d\u00E9clare que les preuves contre de nombreuses personnes nomm\u00E9es dans le rapport McLaren pourraient \u00EAtre insuffisantes, parce que le laboratoire de Moscou a fait dispara\u00EEtre des pr\u00E9l\u00E8vements et que les autorit\u00E9s russes ne r\u00E9pondent pas aux demandes de preuves additionnelles. Le CIO met de son c\u00F4t\u00E9 en place une commission d'enqu\u00EAte qui parvient \u00E0 apporter les preuves scientifiques de cette entreprise de dopage. \u00C0 partir de novembre 2017, les sanctions de disqualification pour dopage et participation \u00AB au sch\u00E9ma syst\u00E9mique \u00BB mis en place durant les Jeux d'hiver 2014 sont prononc\u00E9es par le CIO contre 43 athl\u00E8tes russes (au 21 d\u00E9cembre 2017), annulant treize m\u00E9dailles dont quatre en or. Par ailleurs, le Comit\u00E9 olympique russe, et donc la Russie en tant que nation participante, sont suspendus des Jeux olympiques de Pyeongchang 2018. \u00C2 la suite de manipulations et d'effacements constat\u00E9s dans la base de donn\u00E9es de l'ancien laboratoire antidopage de Moscou (l'AMA avait exig\u00E9 sa fourniture), l'Agence Mondiale Antidopage d\u00E9cide le 9 d\u00E9cembre 2019 d'exclure la Russie des Jeux olympiques d'\u00E9t\u00E9 de 2020 et des Jeux olympiques d'hiver de 2022, une suspension de quatre ans qui recouvre \u00E9galement l'interdiction d'organiser des comp\u00E9titions internationales sur son sol. Comme cela a \u00E9t\u00E9 le cas dans les Jeux pr\u00E9c\u00E9dents, les athl\u00E8tes russes pourront concourir individuellement, sous banni\u00E8re neutre, sans hymne et sans drapeau. Cette suspension est r\u00E9duite \u00E0 deux ann\u00E9es par le Tribunal arbitral du sport."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "RUSADA"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Ministry of Sport"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Russian Anti-Doping Agency"@fr . . . . . "Dopagem na R\u00FAssia"@pt . . . . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . . . . "Minist\u00E8re des Sports"@fr . . "Richard McLaren"@fr . . . . . . . . "Le dopage dans le sport en Russie fait principalement r\u00E9f\u00E9rence au syst\u00E8me institutionnel mis en place entre 2011 et 2015 pour doper et couvrir de nombreux athl\u00E8tes russes dans plusieurs grands \u00E9v\u00E8nements internationaux (Championnats du monde, Jeux olympiques) et progressivement mis \u00E0 jour apr\u00E8s les Jeux d'hiver \u00E0 Sotchi en 2014. La Russie est le pays ayant le plus (43) de m\u00E9daill\u00E9s olympiques disqualifi\u00E9s pour dopage, soit plus de quatre fois le total du deuxi\u00E8me pays. Sur la p\u00E9riode concern\u00E9e, plus d'un millier d'athl\u00E8tes russes dans divers sports (\u00E9t\u00E9, hiver et sports paralympiques), ont b\u00E9n\u00E9fici\u00E9 de dissimulation de cas positifs."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . .