"2348399"^^ . . . . . "1349"^^ . . . "Une dislocation, double marquage ou reprise nominale est un proc\u00E9d\u00E9 d'emphase, comme le clivage. Il s'agit du d\u00E9tachement d'un constituant (appel\u00E9 ant\u00E9c\u00E9dent) en t\u00EAte ou en fin de phrase et la reprise du constituant par un pronom : Les pi\u00E8ces de Jean Giraudoux, Louis Jouvet les a cr\u00E9\u00E9es (anaphore). - Louis Jouvet les a cr\u00E9\u00E9es, les pi\u00E8ces de Jean Giraudoux (cataphore). Dans la phrase canonique Louis Jouvet a cr\u00E9\u00E9 les pi\u00E8ces de Jean Giraudoux, le th\u00E8me est Louis Jouvet, et le pr\u00E9dicat est a cr\u00E9\u00E9 les pi\u00E8ces de Jean Giraudoux. Dans les deux dislocations ci-dessus, une partie du pr\u00E9dicat devient th\u00E8me, soit les pi\u00E8ces de Jean Giraudoux : c'est sur ces pi\u00E8ces qu'on apporte une information nouvelle. Les dislocations, comme toutes les emphases, sont tr\u00E8s employ\u00E9es \u00E0 l'oral (recherche de l'expressivit\u00E9) mais aussi dans certains romans c\u00E9l\u00E8bres comme ceux de Louis-Ferdinand C\u00E9line."@fr . . . . . . . . "Une dislocation, double marquage ou reprise nominale est un proc\u00E9d\u00E9 d'emphase, comme le clivage. Il s'agit du d\u00E9tachement d'un constituant (appel\u00E9 ant\u00E9c\u00E9dent) en t\u00EAte ou en fin de phrase et la reprise du constituant par un pronom : Les pi\u00E8ces de Jean Giraudoux, Louis Jouvet les a cr\u00E9\u00E9es (anaphore). - Louis Jouvet les a cr\u00E9\u00E9es, les pi\u00E8ces de Jean Giraudoux (cataphore). Les dislocations, comme toutes les emphases, sont tr\u00E8s employ\u00E9es \u00E0 l'oral (recherche de l'expressivit\u00E9) mais aussi dans certains romans c\u00E9l\u00E8bres comme ceux de Louis-Ferdinand C\u00E9line."@fr . . "182087451"^^ . . . . "Dislocation (linguistique)"@fr . . . . . . . .