. "188049339"^^ . . . . . . . . . . "14289"^^ . . . . . . . "Une cellule biologique est diplo\u00EFde (du grec ancien : \u03B4\u03B9\u03C0\u03BB\u03CC\u03BF\u03C2, diploos, \u00AB double \u00BB et \u03B5\u1F36\u03B4\u03BF\u03C2 eidos, \u00AB en forme de \u00BB) lorsque les chromosomes qu'elle contient sont pr\u00E9sents par paires (2n chromosomes). Le concept est g\u00E9n\u00E9ralement oppos\u00E9 \u00E0 haplo\u00EFde, terme d\u00E9signant les cellules avec des chromosomes en simple exemplaire (n chromosomes). Un organisme ou une partie d'organisme est dit diplo\u00EFde lorsque ses cellules sont elles-m\u00EAmes diplo\u00EFdes."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "3104"^^ . "Diplo\u00EFde"@fr . "Une cellule biologique est diplo\u00EFde (du grec ancien : \u03B4\u03B9\u03C0\u03BB\u03CC\u03BF\u03C2, diploos, \u00AB double \u00BB et \u03B5\u1F36\u03B4\u03BF\u03C2 eidos, \u00AB en forme de \u00BB) lorsque les chromosomes qu'elle contient sont pr\u00E9sents par paires (2n chromosomes). Le concept est g\u00E9n\u00E9ralement oppos\u00E9 \u00E0 haplo\u00EFde, terme d\u00E9signant les cellules avec des chromosomes en simple exemplaire (n chromosomes). Une cellule compte alors deux all\u00E8les pour chacun de ses g\u00E8nes (exception faite des parties sp\u00E9cifiques aux chromosomes sexuels), les deux chromosomes d'une m\u00EAme paire poss\u00E9dant les m\u00EAmes g\u00E8nes. Ces deux versions sont d'origine maternelle pour l'une et paternelle pour l'autre, et ont \u00E9t\u00E9 rassembl\u00E9es lors de la f\u00E9condation (rencontre de deux cellules haplo\u00EFdes). Un organisme ou une partie d'organisme est dit diplo\u00EFde lorsque ses cellules sont elles-m\u00EAmes diplo\u00EFdes. Ces d\u00E9finitions ne concernent que les organismes eucaryotes (protistes, animaux, v\u00E9g\u00E9taux, champignons), qui poss\u00E8dent de vrais chromosomes. Elles excluent donc par exemple les bact\u00E9ries qui n'ont pas de noyau et poss\u00E8dent des chromosomes d'un type particulier. La reproduction sexu\u00E9e qui implique un \u00E9change g\u00E9n\u00E9tique met en jeu des m\u00E9canismes de r\u00E9duction (m\u00E9iose) et d'augmentation (f\u00E9condation) de la r\u00E9p\u00E9tition des chromosomes (plo\u00EFdie). Le cycle de vie d'un organisme eucaryote comprend donc n\u00E9cessairement une alternance de stades avec des niveaux de r\u00E9p\u00E9tition chromosomique diff\u00E9rents : on parle d'alternance de phases (voir cycle de vie (biologie)). Chez les humains et la plupart des animaux, la phase diplo\u00EFde (2n) est tr\u00E8s dominante. L'organisme (le corps) se d\u00E9veloppe enti\u00E8rement avec des cellules qui contiennent chacune les chromosomes en double versions. La phase haplo\u00EFde (n), quant \u00E0 elle, ne concerne que la formation des gam\u00E8tes : spermatozo\u00EFde ou ovule. Chez les mousses, chez certaines algues, le sch\u00E9ma est invers\u00E9 : la phase diplo\u00EFde (2n) n'accompagne que tr\u00E8s bri\u00E8vement la f\u00E9condation. Le v\u00E9g\u00E9tal se d\u00E9veloppe gr\u00E2ce \u00E0 la m\u00E9iose, sous forme haplo\u00EFde (n). Chez les foug\u00E8res et les plantes \u00E0 graines (ou spermaphytes), la phase diplo\u00EFde pr\u00E9domine. La diplo\u00EFdie a pu \u00EAtre favoris\u00E9e parce qu'elle permet de r\u00E9parer les cassures doubles-brins de l'ADN. Elle permet \u00E9galement de masquer l'effet des mutations d\u00E9l\u00E9t\u00E8res, qui sont pour la plupart r\u00E9cessives."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Diploid"@sv . . "\u0414\u0438\u043F\u043B\u043E\u0438\u0434\u043D\u044B\u0435 \u043A\u043B\u0435\u0442\u043A\u0438"@ru . . . . . . . .