. . "6999"^^ . . . . . "Un dip\u00F4le \u00E9lectrostatique se d\u00E9finit par une r\u00E9partition de charges \u00E9lectriques de somme nulle telles que le barycentre des charges positives ne co\u00EFncide pas avec celui des charges n\u00E9gatives. Le dip\u00F4le le plus simple est donc un couple de deux charges de signe oppos\u00E9 distantes d'une longueur a non nulle quelconque. Cette notion est principalement utilis\u00E9e en \u00E9lectromagn\u00E9tisme et par suite en chimie o\u00F9 certaines liaisons entre mol\u00E9cules peuvent \u00EAtre expliqu\u00E9es en mod\u00E9lisant ces mol\u00E9cules par un dip\u00F4le (liaison hydrog\u00E8ne par exemple). Un dip\u00F4le peut \u00EAtre permanent, par exemple une mol\u00E9cule polaire, ou bien induit, par exemple un nuage \u00E9lectronique qui se d\u00E9forme sous l'action d'un champ ext\u00E9rieur (comme pour la diffusion Rayleigh). En physique, on s'int\u00E9resse au champ \u00E9lectrique E(r) cr\u00E9\u00E9 en un point r \u00E9loign\u00E9 du dip\u00F4le (on parle alors de dip\u00F4le actif). Mais on peut aussi \u00E9tudier le comportement du dip\u00F4le lorsqu'il est plac\u00E9 dans un champ ext\u00E9rieur (on parle alors de dip\u00F4le passif)."@fr . . . . . . . . . "405195"^^ . . . . . . . . . . . "Dip\u00F4le \u00E9lectrostatique"@fr . . . "187573826"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Un dip\u00F4le \u00E9lectrostatique se d\u00E9finit par une r\u00E9partition de charges \u00E9lectriques de somme nulle telles que le barycentre des charges positives ne co\u00EFncide pas avec celui des charges n\u00E9gatives. Le dip\u00F4le le plus simple est donc un couple de deux charges de signe oppos\u00E9 distantes d'une longueur a non nulle quelconque. Cette notion est principalement utilis\u00E9e en \u00E9lectromagn\u00E9tisme et par suite en chimie o\u00F9 certaines liaisons entre mol\u00E9cules peuvent \u00EAtre expliqu\u00E9es en mod\u00E9lisant ces mol\u00E9cules par un dip\u00F4le (liaison hydrog\u00E8ne par exemple)."@fr . . . . .