"La Soci\u00E9t\u00E9 orientale allemande (Deutsche Morgenl\u00E4ndische Gesellschaft, DMG, litt\u00E9ralement \u00AB Soci\u00E9t\u00E9 allemande du Levant \u00BB) fond\u00E9e le 2 octobre 1845 \u00E0 Leipzig, est la soci\u00E9t\u00E9 savante la plus ancienne d'Allemagne consacr\u00E9e \u00E0 l'orientalisme scientifique."@fr . . . . . . "Deutsche Morgenl\u00E4ndische Gesellschaft"@als . . . . . . . . . . . . . . . . . "171893995"^^ . . . . . . . . . . . . . . "10196"^^ . . . . . . . . . . . . . "feQOAAAAIAAJ"@fr . . . . . . . . . "Deutsche Morgenl\u00E4ndische Gesellschaft"@it . . . . . . . . . . . . . . . . "Stanford Univ., Palo Alto, CA"@fr . . . . . "8049560"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "\u0627\u0644\u062C\u0645\u0639\u064A\u0629 \u0627\u0644\u0634\u0631\u0642\u064A\u0629 \u0627\u0644\u0623\u0644\u0645\u0627\u0646\u064A\u0629"@ar . . "Deutsche Morgenl\u00E4ndische Gesellschaft"@fr . . . "La Soci\u00E9t\u00E9 orientale allemande (Deutsche Morgenl\u00E4ndische Gesellschaft, DMG, litt\u00E9ralement \u00AB Soci\u00E9t\u00E9 allemande du Levant \u00BB) fond\u00E9e le 2 octobre 1845 \u00E0 Leipzig, est la soci\u00E9t\u00E9 savante la plus ancienne d'Allemagne consacr\u00E9e \u00E0 l'orientalisme scientifique. Le champ d'\u00E9tudes de ses membres est vaste, \u00E0 la diff\u00E9rence de ceux de la Deutsche Orient-Gesellschaft (Soci\u00E9t\u00E9 allemande d'Orient) qui se consacrent avant tout \u00E0 l'arch\u00E9ologie. Cela va de la linguistique, \u00E0 la culture au sens large, \u00E0 la philosophie et aux religions orientales, \u00E0 la sociologie, \u00E0 l'arch\u00E9ologie, \u00E0 l'histoire et \u00E0 la g\u00E9ographie, etc. du Proche-Orient et du Moyen-Orient, Asie mineure et Asie centrale ou Asie moyenne, ainsi que certaines autres r\u00E9gions d'Asie, d'Oc\u00E9anie ou encore d'Afrique. Depuis quelques ann\u00E9es, la DMG a pris une nette orientation vers la sociologie et l'\u00E9tude politique."@fr . . . . "Hans Conon von der Gabelentz"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "de"@fr . . .