. . . . . . . . . . . . . . . . "15307"^^ . . . . . . . . . . "\u062F\u064A\u0646 \u062E\u0627\u0631\u062C\u064A"@ar . "180717259"^^ . . "En \u00E9conomie, la dette ext\u00E9rieure d\u00E9signe l'ensemble des dettes qui sont dues par un pays, \u00C9tat, entreprises et particuliers compris \u00E0 des pr\u00EAteurs \u00E9trangers. Il est important de faire la distinction entre la dette ext\u00E9rieure brute (ce qu'un pays emprunte \u00E0 l'ext\u00E9rieur) et la dette ext\u00E9rieure nette (diff\u00E9rence entre ce qu'un pays emprunte \u00E0 l'ext\u00E9rieur et ce qu'il pr\u00EAte \u00E0 l'ext\u00E9rieur). Ce qui est le plus significatif, c'est la dette ext\u00E9rieure nette."@fr . . . "Utlandsskuld"@sv . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Deuda externa"@es . . . . "Dette ext\u00E9rieure"@fr . "13374"^^ . . . . "Deute exterior"@ca . . . . . . . . "D\u0142ug zewn\u0119trzny"@pl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Debito estero"@it . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u041C\u0456\u0436\u043D\u0430\u0440\u043E\u0434\u043D\u0438\u0439 \u043A\u0440\u0435\u0434\u0438\u0442"@uk . "En \u00E9conomie, la dette ext\u00E9rieure d\u00E9signe l'ensemble des dettes qui sont dues par un pays, \u00C9tat, entreprises et particuliers compris \u00E0 des pr\u00EAteurs \u00E9trangers. Il est important de faire la distinction entre la dette ext\u00E9rieure brute (ce qu'un pays emprunte \u00E0 l'ext\u00E9rieur) et la dette ext\u00E9rieure nette (diff\u00E9rence entre ce qu'un pays emprunte \u00E0 l'ext\u00E9rieur et ce qu'il pr\u00EAte \u00E0 l'ext\u00E9rieur). Ce qui est le plus significatif, c'est la dette ext\u00E9rieure nette. Un niveau trop \u00E9lev\u00E9 de dette ext\u00E9rieure est un facteur de risque-pays important : en cas de fluctuations de la devise nationale, les montants des int\u00E9r\u00EAts et du principal de la dette ext\u00E9rieure, si elle est libell\u00E9e en monnaie \u00E9trang\u00E8re, peut rapidement par effet de levier inverse conduire \u00E0 la crise \u00E9conomique voire au d\u00E9faut de remboursement. Ce fut le cas lors de la crise d\u2019Asie dans les ann\u00E9es 1990 par exemple, en l'absence de toute notation n\u00E9gative du risque dans les rapports de la Banque Mondiale. Le niveau de la dette ext\u00E9rieure fait partie des risques financiers \u00E9valu\u00E9s parall\u00E8lement par les agences de notation financi\u00E8re, comme on a pu le constater lors de la crise grecque de 2010."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .