. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Electron shell"@en . . "les couches \u00E9lectroniques"@fr . . . . . . . "189848598"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "18255"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Atomh\u00FClle"@de . . . . . . . . . . "\u96FB\u5B50\u5C64"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Elektronenschil"@nl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Couche \u00E9lectronique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "561896"^^ . "En chimie et en physique atomique, une couche \u00E9lectronique d'un atome est l'ensemble des orbitales atomiques partageant un m\u00EAme nombre quantique principal n ; les orbitales partageant en plus un m\u00EAme nombre quantique azimutal \u2113 forment une sous-couche \u00E9lectronique. Les termes couche et sous-couche sont h\u00E9rit\u00E9s de la th\u00E9orie des quanta du d\u00E9but du XXe si\u00E8cle, et notamment des d\u00E9veloppements th\u00E9oriques introduits par Arnold Sommerfeld autour du mod\u00E8le de Bohr, qui expliquaient la structure fine des raies spectrales de l'atome d'hydrog\u00E8ne et des ions hydrog\u00E9no\u00EFdes par la quantification des niveaux d'\u00E9nergie des \u00E9lectrons autour des noyaux atomiques en fonction de nombres quantiques."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "En chimie et en physique atomique, une couche \u00E9lectronique d'un atome est l'ensemble des orbitales atomiques partageant un m\u00EAme nombre quantique principal n ; les orbitales partageant en plus un m\u00EAme nombre quantique azimutal \u2113 forment une sous-couche \u00E9lectronique. Les termes couche et sous-couche sont h\u00E9rit\u00E9s de la th\u00E9orie des quanta du d\u00E9but du XXe si\u00E8cle, et notamment des d\u00E9veloppements th\u00E9oriques introduits par Arnold Sommerfeld autour du mod\u00E8le de Bohr, qui expliquaient la structure fine des raies spectrales de l'atome d'hydrog\u00E8ne et des ions hydrog\u00E9no\u00EFdes par la quantification des niveaux d'\u00E9nergie des \u00E9lectrons autour des noyaux atomiques en fonction de nombres quantiques. Les couches \u00E9lectroniques sont identifi\u00E9es par leur nombre quantique n, valant 1, 2, 3, etc. ou, historiquement, par les lettres K, L, M, etc. utilis\u00E9es en spectroscopie des rayons X. Elles correspondent \u00E0 une \u00E9nergie croissante, qui se traduit par un \u00E9loignement croissant au noyau atomique. La couche K, pour laquelle n = 1, est la plus proche du noyau, et les couches L, M, N, O, P et Q, correspondant \u00E0 n = 2, 3, 4, 5, 6 et 7, s'agencent par distance croissante au noyau de mani\u00E8re concentrique. Chaque couche \u00E9lectronique peut contenir un nombre maximum d'\u00E9lectrons \u00E9gal \u00E0 2n2 : la couche K peut ainsi contenir jusqu'\u00E0 2 \u00E9lectrons, la couche L jusqu'\u00E0 8 \u00E9lectrons, la couche M jusqu'\u00E0 18 \u00E9lectrons, la couche N jusqu'\u00E0 32 \u00E9lectrons, la couche O jusqu'\u00E0 50 \u00E9lectrons, la couche P jusqu'\u00E0 72 \u00E9lectrons et la couche Q jusqu'\u00E0 98 \u00E9lectrons. Si le nombre n ne peut d\u00E9passer 7 pour les atomes \u00E0 l'\u00E9tat fondamental, il peut prendre des valeurs bien plus \u00E9lev\u00E9es dans le cas d'atomes excit\u00E9s, comme c'est notamment le cas pour les atomes de Rydberg. Hormis pour les \u00E9l\u00E9ments de transition, la couche \u00E9lectronique la plus externe d'un atome est appel\u00E9e couche de valence ; le nombre d'\u00E9lectrons qui l'occupent d\u00E9termine les propri\u00E9t\u00E9s chimiques de l'atome : les \u00E9l\u00E9ments chimiques dont la couche de valence n'est occup\u00E9e que par un \u00E9lectron \u2014 l'hydrog\u00E8ne et les m\u00E9taux alcalins \u2014 sont les plus r\u00E9actifs, tandis que ceux dont la couche de valence est satur\u00E9e d'\u00E9lectrons \u2014 les gaz nobles \u2014 tendent \u00E0 \u00EAtre chimiquement inertes. Les couches \u00E9lectroniques, d\u00E9finies par le nombre n, ne permettent pas \u00E0 elles seules de rendre compte des observations spectroscopiques. Outre le nombre \u2113 azimutal, qui permet de distinguer les sous-couches \u00E9lectroniques, les \u00E9lectrons sont \u00E9galement d\u00E9finis par le nombre quantique magn\u00E9tique m\u2113 et le nombre quantique magn\u00E9tique de spin ms. Ces quatre nombres quantiques (n, \u2113, m\u2113, ms) permettent de mod\u00E9liser la configuration \u00E9lectronique des atomes \u00E9lectriquement neutres \u00E0 l'\u00E9tat fondamental au moyen de la r\u00E8gle de Klechkowski, de la premi\u00E8re r\u00E8gle de Hund et du principe d'exclusion de Pauli ; la distribution des \u00E9lectrons par couches \u00E9lectroniques des \u00E9l\u00E9ments chimiques \u00E0 l'\u00E9tat fondamental est ainsi la suivante :"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Electron shell"@fr . . . "\u0415\u043B\u0435\u043A\u0442\u0440\u043E\u043D\u043D\u0430 \u043E\u0431\u043E\u043B\u043E\u043D\u043A\u0430"@uk . . . . . . . . . . .