. . . . . . . . . . . . . . . . . . "Conseil de contr\u00F4le alli\u00E9"@fr . . . "2820611"^^ . . . "\u76DF\u56FD\u7BA1\u5236\u7406\u4E8B\u4F1A"@zh . . "\u041A\u043E\u043D\u0442\u0440\u043E\u043B\u044C\u043D\u044B\u0439 \u0441\u043E\u0432\u0435\u0442"@ru . . . . . "Conselho de Controle Aliado"@pt . "Comissi\u00F3 Aliada de Control"@ca . . . "Consejo de Control Aliado"@es . . . . . . . . . . . . . . . "162756066"^^ . "Le Conseil de contr\u00F4le alli\u00E9 ou Autorit\u00E9 de contr\u00F4le alli\u00E9e, en allemand Alliierter Kontrollrat, aussi appel\u00E9e les quatre puissances (les \u00C9tats-Unis, le Royaume-Uni, l'Union sovi\u00E9tique et la France), \u00E9tait l'organe directeur des zones d'occupation alli\u00E9es en Allemagne apr\u00E8s la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, particuli\u00E8rement pendant la p\u00E9riode entre 1945 et 1949, assurant ainsi l'ensemble des comp\u00E9tences d'un gouvernement allemand. Les d\u00E9cisions prises par le conseil de contr\u00F4le se faisaient \u00E0 l'unanimit\u00E9, chacun de ses repr\u00E9sentants disposant d'un droit de veto."@fr . "\u0645\u062C\u0644\u0633 \u0645\u0631\u0627\u0642\u0628\u0629 \u0627\u0644\u062D\u0644\u0641\u0627\u0621"@ar . . . . . . "2777"^^ . . . . . "Sojusznicza Rada Kontroli Niemiec"@pl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Allierade kontrollr\u00E5det"@sv . . . . . . . . . . . "Le Conseil de contr\u00F4le alli\u00E9 ou Autorit\u00E9 de contr\u00F4le alli\u00E9e, en allemand Alliierter Kontrollrat, aussi appel\u00E9e les quatre puissances (les \u00C9tats-Unis, le Royaume-Uni, l'Union sovi\u00E9tique et la France), \u00E9tait l'organe directeur des zones d'occupation alli\u00E9es en Allemagne apr\u00E8s la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, particuli\u00E8rement pendant la p\u00E9riode entre 1945 et 1949, assurant ainsi l'ensemble des comp\u00E9tences d'un gouvernement allemand. Les membres en \u00E9taient les commandants en chef de chacune de ces zones d'occupation (la France, qui refusa au d\u00E9part le principe d'une administration centrale sur les quatre zones, rejoignit plus tard le conseil). Il \u00E9tait assist\u00E9 dans sa t\u00E2che par un \u00AB Comit\u00E9 de coordination \u00BB et de dix \u00AB directoires \u00BB (jouant le r\u00F4le de minist\u00E8res). Le conseil si\u00E9geait \u00E0 Berlin, dans les locaux de la Neues Kammergericht (\u00AB nouvelle cour d'appel \u00BB), situ\u00E9e dans le quartier de Sch\u00F6neberg, et qui fut auparavant le si\u00E8ge du Volksgerichtshof (le \u00AB Tribunal du peuple \u00BB), organe judiciaire supr\u00EAme du r\u00E9gime nazi, symbole de justice exp\u00E9ditive. Les d\u00E9cisions prises par le conseil de contr\u00F4le se faisaient \u00E0 l'unanimit\u00E9, chacun de ses repr\u00E9sentants disposant d'un droit de veto. Le Conseil de contr\u00F4le est mis en place le 5 juin 1945. La premi\u00E8re mesure de d\u00E9nazification qu'il prit fut d'abroger le droit nazi. Il perdit une grande partie de son autorit\u00E9 sur l'ensemble du territoire allemand lors du d\u00E9part des repr\u00E9sentants sovi\u00E9tiques le 20 mars 1948, en repr\u00E9sailles des d\u00E9cisions prises par les d\u00E9l\u00E9gu\u00E9s de six puissances occidentales r\u00E9unis lors de la conf\u00E9rence de Londres de 1948 concernant la d\u00E9mocratisation de la Trizone. La Haute commission alli\u00E9e (Allied High Commission en anglais) qui lui a succ\u00E9d\u00E9 ne regroupe que les repr\u00E9sentants des puissances occidentales et est charg\u00E9e de g\u00E9rer cette Trizone, devenue en 1949 la R\u00E9publique f\u00E9d\u00E9rale d'Allemagne."@fr . . "Allied Control Council"@en .