. . . . . . . . . . . . "Codex Suprasliensis"@ca . . "191510603"^^ . . . . "Codex Suprasliensis"@de . . . . "\u0421\u0443\u043F\u0440\u0430\u0441\u043B\u044C\u0441\u043A\u0430\u044F \u0440\u0443\u043A\u043E\u043F\u0438\u0441\u044C"@ru . . . . . . . "National and University Library of Slovenia"@fr . . "Codex Suprasliensis"@es . . . "Codex Suprasliensis"@fr . . . "Le Codex Suprasliensis est un manuscrit du Xe si\u00E8cle, le plus grand manuscrit r\u00E9dig\u00E9 en vieux-slave, et la plus ancienne \u0153uvre litt\u00E9raire slave de Pologne. Depuis le 20 septembre 2007, il figure sur la liste M\u00E9moire du monde de l'UNESCO. Le codex a \u00E9t\u00E9 publi\u00E9 par Franz Miklosich (Vienne, 1851), Serge\u00EF Severjanov (Suprasal\u044Cskaja rukopis\u044C, Saint-P\u00E9tersbourg, 1904) et Jordan Zaimov et Mario Capaldo (Sofia, 1982-1983). Alfons Margulies a produit un volume important sur le codex intitul\u00E9 Der altkirchenslavische Codex Suprasliensis (Heidelberg, 1927)."@fr . . . "Le Codex Suprasliensis est un manuscrit du Xe si\u00E8cle, le plus grand manuscrit r\u00E9dig\u00E9 en vieux-slave, et la plus ancienne \u0153uvre litt\u00E9raire slave de Pologne. Depuis le 20 septembre 2007, il figure sur la liste M\u00E9moire du monde de l'UNESCO. Le codex, \u00E9crit \u00E0 la fin ou m\u00EAme au milieu du Xe si\u00E8cle, contient un menaion pour le mois de mars, croisant le cycle mobile de P\u00E2ques. Il contient \u00E9galement 24 vies de saints, 23 hom\u00E9lies et une pri\u00E8re, dont la plupart ont \u00E9t\u00E9 \u00E9crites ou attribu\u00E9es \u00E0 Jean Chrysostome. Le codex de 284 feuillets (ou 285 feuillets, selon certaines sources) a \u00E9t\u00E9 d\u00E9couvert en 1823 par le chanoine Micha\u0142 Bobrowski dans le Monast\u00E8re de l'Annonciation de Supra\u015Bl. En 1838, Bobrowski envoie la derni\u00E8re partie du manuscrit en deux morceaux au philologue slov\u00E8ne Jernej Kopitar afin qu'il puisse le transcrire. Apr\u00E8s que Kopitar l'ait rendue, Bobrowski lui envoie la premi\u00E8re partie (118 folios), mais pour une raison inconnue, celle-ci n'est pas restitu\u00E9e \u00E0 Bobrowski et n'est retrouv\u00E9e qu'en 1845 parmi les documents du d\u00E9funt Kopitar. Elle est ensuite conserv\u00E9 par le Lyc\u00E9e de Ljubljana et est maintenant \u00E0 la (en). La plus grande partie est achet\u00E9e pour la biblioth\u00E8que priv\u00E9e de la famille Zamoyski \u00E0 Varsovie. Cette partie du codex dispara\u00EEt pendant la Seconde Guerre mondiale, mais refait surface aux \u00C9tats-Unis et est renvoy\u00E9e en Pologne en 1968 par Herbert Moeller, o\u00F9 elle est ensuite conserv\u00E9e par la Biblioth\u00E8que nationale \u00E0 Varsovie. La troisi\u00E8me partie, compos\u00E9e de 16 folios, est d\u00E9tenue par la Biblioth\u00E8que nationale russe \u00E0 Saint-P\u00E9tersbourg. Le codex a \u00E9t\u00E9 publi\u00E9 par Franz Miklosich (Vienne, 1851), Serge\u00EF Severjanov (Suprasal\u044Cskaja rukopis\u044C, Saint-P\u00E9tersbourg, 1904) et Jordan Zaimov et Mario Capaldo (Sofia, 1982-1983). Alfons Margulies a produit un volume important sur le codex intitul\u00E9 Der altkirchenslavische Codex Suprasliensis (Heidelberg, 1927). Le folio 260 du manuscrit contient la note g(ospod)i pomilui ret\u044Aka amin . Certains experts pensent que ret\u044Aka repr\u00E9sente le nom d'un scribe (d'o\u00F9 parfois la d\u00E9signation Codex de Retko) et que le texte a \u00E9t\u00E9 copi\u00E9 de plusieurs sources. La recherche indique qu'au moins une des sources peut avoir \u00E9t\u00E9 r\u00E9dig\u00E9e en glagolitique. Les vocalisations des yers, les \u00E9penth\u00E8ses peu fr\u00E9quentes, le changement de \u044A en \u044C derri\u00E8re des \u010D, \u017E, \u0161 durs et quelques autres traits linguistiques indiquent sa provenance bulgare orientale."@fr . . . . . . . "14699051"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . "3927"^^ . . . . "Kodeks supraski"@pl . "Biblioth\u00E8que nationale et universitaire de Slov\u00E9nie"@fr .