. . "171773948"^^ . . . . . . . . . . . "3461099"^^ . . . . . . . . . "Clepsydre dans l'\u00C9gypte antique"@fr . . . . "La plus ancienne horloge hydraulique primitive connue, dite traditionnellement clepsydre, est la clepsydre de Karnak ; elle est \u00E9gyptienne et date du r\u00E8gne d'Amenhotep III (ca. -1350). Cependant un document prouverait que la conception de cet instrument est ant\u00E9rieure \u00E0 ce r\u00E8gne. Les murs de la tombe du scribe Amenemhat ayant offici\u00E9 sous les r\u00E8gnes d'Ahm\u00F4sis Ier, Amenhotep Ier et Thoutm\u00F4sis Ier (ca. -1500), sont couverts entre autres de la description d'une telle horloge \u00E0 eau."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "11610"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La plus ancienne horloge hydraulique primitive connue, dite traditionnellement clepsydre, est la clepsydre de Karnak ; elle est \u00E9gyptienne et date du r\u00E8gne d'Amenhotep III (ca. -1350). Cependant un document prouverait que la conception de cet instrument est ant\u00E9rieure \u00E0 ce r\u00E8gne. Les murs de la tombe du scribe Amenemhat ayant offici\u00E9 sous les r\u00E8gnes d'Ahm\u00F4sis Ier, Amenhotep Ier et Thoutm\u00F4sis Ier (ca. -1500), sont couverts entre autres de la description d'une telle horloge \u00E0 eau. Le calendrier civil \u00E9gyptien fut divis\u00E9 en douze mois, les mois \u00E9tant eux-m\u00EAmes divis\u00E9s en trois d\u00E9cades, p\u00E9riode d\u00E9finissant les d\u00E9cans. Cependant, seuls douze d\u00E9cans \u00E9taient visibles lors du solstice d'\u00E9t\u00E9. Les \u00C9gyptiens prirent donc le parti de diviser la nuit en douze heures correspondant \u00E0 ces douze d\u00E9cans. La division du jour en unit\u00E9s de temps \u00E9tait n\u00E9e et contribua \u00E0 l'\u00E9laboration d'un instrument de mesure nocturne. La nuit durait donc toujours douze heures et la longueur de ces heures variait avec celle de la nuit entre les \u00E9quinoxes et les solstices. Les connaissances math\u00E9matiques des anciens \u00E9gyptiens, et plus particuli\u00E8rement leur ma\u00EEtrise du calcul volumique leur permirent d'\u00E9laborer cet instrument[r\u00E9f. n\u00E9cessaire] qui, tout en proposant des mesures approximatives, fut le premier du genre et le plus performant de son \u00E9poque."@fr . .