. . . . "octobre 2013"@fr . . . . . . . . . "Une cit\u00E9 (latin civitas) est un statut administratif ou honorifique attribu\u00E9 \u00E0 un \u00E9tablissement humain g\u00E9n\u00E9ralement plus peupl\u00E9 qu'une ville selon les r\u00E8gles locales. Dans l\u2019Antiquit\u00E9, avant la cr\u00E9ation des \u00C9tats, elle d\u00E9signait un groupe d\u2019hommes s\u00E9dentaris\u00E9s libres (pouvant avoir des esclaves), constituant une soci\u00E9t\u00E9 politique, ind\u00E9pendante des autres, ayant son gouvernement, ses lois, sa religion et ses propres m\u0153urs. De nos jours, la cit\u00E9 est aussi un statut l\u00E9gal d\u00E9fini diff\u00E9remment selon les r\u00E9gions du monde."@fr . "24086"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190365435"^^ . . . . . . "Cit\u00E9 (ville)"@fr . . . . "architecture"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "721"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Une cit\u00E9 (latin civitas) est un statut administratif ou honorifique attribu\u00E9 \u00E0 un \u00E9tablissement humain g\u00E9n\u00E9ralement plus peupl\u00E9 qu'une ville selon les r\u00E8gles locales. Dans l\u2019Antiquit\u00E9, avant la cr\u00E9ation des \u00C9tats, elle d\u00E9signait un groupe d\u2019hommes s\u00E9dentaris\u00E9s libres (pouvant avoir des esclaves), constituant une soci\u00E9t\u00E9 politique, ind\u00E9pendante des autres, ayant son gouvernement, ses lois, sa religion et ses propres m\u0153urs. Par extension, ce mot est appliqu\u00E9 \u00E0 la d\u00E9signation du lieu o\u00F9 ces hommes se sont r\u00E9unis et ont cr\u00E9\u00E9 un habitat fixe, la ville, et o\u00F9 ils avaient organis\u00E9 un culte. La structuration de la cit\u00E9 reposait sur la sp\u00E9cialisation des activit\u00E9s pour permettre des \u00E9changes commerciaux, sur l'administration du lieu et des activit\u00E9s et sur une arm\u00E9e de protection des personnes et des biens. Les hommes exer\u00E7aient depuis l'\u00C2ge du cuivre (de -4000 \u00E0 -2000 env. selon la r\u00E9gion), o\u00F9 commence l'exploitation de mines et de la transformation en m\u00E9tal des premiers minerais utilis\u00E9s (plomb, cuivre, or) par des fours et forges, une activit\u00E9 d'artisanat du m\u00E9tal pour outils, vases et armes, de la joaillerie, de la fabrication de tissus et d'objets en c\u00E9ramique. Ces activit\u00E9s impliquent l'\u00E9change avec mon\u00E9tarisation en plus de l'activit\u00E9 de culture et d'\u00E9levage sur des territoires environnant la cit\u00E9, c\u2019est-\u00E0-dire des terres cultiv\u00E9es que des personnes d\u00E9claraient poss\u00E9der par le droit qu'ils s'\u00E9taient conf\u00E9r\u00E9 vis-\u00E0-vis des nomades. (La s\u00E9dentarisation ne concerne la majorit\u00E9 effective des habitants en France seulement apr\u00E8s le Moyen \u00C2ge, et la notion de possession ne s'applique gu\u00E8re \u00E0 ce qui n'est pas de fabrication humaine. Pour les ressources que fournit la Nature \u00E0 l'\u00EAtre humain, il s'agit en fait d'usufruit selon le sch\u00E9ma pr\u00F4n\u00E9 par la religion chr\u00E9tienne.) Les significations du terme \u00AB cit\u00E9 \u00BB d\u00E9rivent de la tradition de la Gr\u00E8ce antique, o\u00F9 la ville est d\u00E9sign\u00E9e par le mot grec polis. Ainsi les textes grecs antiques n\u2019emploient jamais le terme d\u2019Ath\u00E8nes ni de Sparte en politique, mais des expressions telles que : \u00AB Constitution des Ath\u00E9niens \u00BB (Aristote), \u00AB les Ath\u00E9niens d\u00E9clar\u00E8rent la guerre \u00BB ou \u00AB les Spartiates envahirent les terres des Ath\u00E9niens \u00BB, ou \u00AB la flotte des Ath\u00E9niens \u00BB. Ces expressions d\u00E9notaient l'absence d'unit\u00E9 politique de la Gr\u00E8ce antique, bien qu'il y eut une unit\u00E9 culturelle, fond\u00E9e sur les \u00E9crits hom\u00E9riques. De nos jours, la cit\u00E9 est aussi un statut l\u00E9gal d\u00E9fini diff\u00E9remment selon les r\u00E9gions du monde."@fr . . . . . . "Keoded"@br . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .