. . . . . . . . . . "Cambridge Five"@nl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Enciclopedia dello spionaggio nella Seconda Guerra Mondiale"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sandro Teti Editore"@fr . . . . "1680081"^^ . "\u062E\u0645\u0627\u0633\u064A \u0643\u0627\u0645\u0628\u0631\u064A\u062F\u062C"@ar . . . . . . . "Cinq de Cambridge"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les Cinq de Cambridge (Cambridge Five ou Magnificent Five en anglais) \u00E9taient un groupe d\u2019espionnage compos\u00E9 essentiellement de cinq anciens \u00E9tudiants de l\u2019universit\u00E9 de Cambridge. Ils avaient \u00E9t\u00E9 recrut\u00E9s par le NKVD \u2014 futur KGB \u2014 durant les ann\u00E9es 1930, puis travaill\u00E8rent pour le compte de l'Union sovi\u00E9tique pendant la Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide qui la suivit. Il s\u2019agissait nomm\u00E9ment de : Kim Philby (nom de code : Stanley), Guy Burgess (nom de code : Hicks), Donald Duart Maclean (nom de code : Homer), Anthony Blunt (nom de code : Johnson) et John Cairncross (nom de code : Liszt) ; selon certaines sources cependant, ce serait jusqu'\u00E0 17 agents qui auraient \u00E9t\u00E9 recrut\u00E9s \u00E0 cette \u00E9poque, plusieurs d'entre eux d\u00E9veloppant des relations avec le r\u00E9seau Homintern. Leur ancien compagnon de route, l'Am\u00E9ricain Michael Straight, d\u00E9voila d\u00E8s 1963 au MI5 le r\u00F4le jou\u00E9 par Anthony Blunt. Cependant, ces r\u00E9v\u00E9lations demeur\u00E8rent un secret d'\u00C9tat jusqu'en 1979, c\u2019est-\u00E0-dire jusqu\u2019\u00E0 la date du scandale qui entra\u00EEna la disgr\u00E2ce officielle de Blunt. En 1983, Straight publia son autobiographie, intitul\u00E9e After Long Silence."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "A Time of Spies : Theodore Stephanovich Mally and the Era of the Great Illegals"@fr . . . . . . . . "Cambridge Four"@sv . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . . . "Cambridge Five"@en . . . "978"^^ . . "189446767"^^ . . . "Duff, William"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Ferraro, Gianni"@fr . . . . . . . . . "\u30B1\u30F3\u30D6\u30EA\u30C3\u30B8\u30FB\u30D5\u30A1\u30A4\u30F4"@ja . "1999"^^ . . . . . . . . . "46544"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les Cinq de Cambridge (Cambridge Five ou Magnificent Five en anglais) \u00E9taient un groupe d\u2019espionnage compos\u00E9 essentiellement de cinq anciens \u00E9tudiants de l\u2019universit\u00E9 de Cambridge. Ils avaient \u00E9t\u00E9 recrut\u00E9s par le NKVD \u2014 futur KGB \u2014 durant les ann\u00E9es 1930, puis travaill\u00E8rent pour le compte de l'Union sovi\u00E9tique pendant la Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide qui la suivit. Il s\u2019agissait nomm\u00E9ment de : Kim Philby (nom de code : Stanley), Guy Burgess (nom de code : Hicks), Donald Duart Maclean (nom de code : Homer), Anthony Blunt (nom de code : Johnson) et John Cairncross (nom de code : Liszt) ; selon certaines sources cependant, ce serait jusqu'\u00E0 17 agents qui auraient \u00E9t\u00E9 recrut\u00E9s \u00E0 cette \u00E9poque, plusieurs d'entre eux d\u00E9veloppant des relations avec le r\u00E9seau Homintern."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Vanderbilt University Press"@fr . . . .