. . . . "3471"^^ . . . . . . . "Cinema Novo"@sv . . . . . "Cinema Novo"@en . . . . . . . . . . . . . . "Cinema Novo est un mouvement cin\u00E9matographique br\u00E9silien auquel appartenaient plusieurs r\u00E9alisateurs br\u00E9siliens des ann\u00E9es 1950 et 1960 qui a d'abord \u00E9t\u00E9 influenc\u00E9 par le n\u00E9or\u00E9alisme italien puis la Nouvelle Vague fran\u00E7aise. Les membres les plus repr\u00E9sentatifs du cinema novo sont Glauber Rocha, Nelson Pereira dos Santos, Carlos Diegues et Joaquim Pedro de Andrade rejoints ensuite par Walter Lima J\u00FAnior et Ruy Guerra. Leurs films repr\u00E9sentent la r\u00E9alit\u00E9 sociale du pays, son pass\u00E9 historique ainsi que la pauvret\u00E9, \u00E0 la fois dans les grandes villes et dans la d\u00E9solation du Nordeste. Ils sont en rupture avec les films grandiloquents sur le th\u00E8me du carnaval et des com\u00E9dies paysannes qui r\u00E9sumaient la production cin\u00E9matographique br\u00E9silienne avant les ann\u00E9es 1950 \u00E0 cause de la concurrence du cin\u00E9ma des \u00C9tats-Unis. Ils cr\u00E9ent m\u00EAme une soci\u00E9t\u00E9 de production Difilm qui va tr\u00E8s bien marcher. Son influence touche toujours le cin\u00E9ma br\u00E9silien actuel et est palpable dans des films comme Central do Brasil de Walter Salles (1998) ou de La Cit\u00E9 de Dieu (Cidade de Deus) de Fernando Meirelles (2002)."@fr . . . . . . . . . . . . "8731362"^^ . . . . . . "Cinema novo"@ca . "Cinema Novo"@fr . . . . . . . "\u30B7\u30CD\u30DE\u30FB\u30CE\u30FC\u30F4\u30A9"@ja . "\u0633\u064A\u0646\u0645\u0627 \u0646\u0648\u0641\u0648"@ar . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "187053978"^^ . . . . . . . . . "Cinema Novo est un mouvement cin\u00E9matographique br\u00E9silien auquel appartenaient plusieurs r\u00E9alisateurs br\u00E9siliens des ann\u00E9es 1950 et 1960 qui a d'abord \u00E9t\u00E9 influenc\u00E9 par le n\u00E9or\u00E9alisme italien puis la Nouvelle Vague fran\u00E7aise. Son influence touche toujours le cin\u00E9ma br\u00E9silien actuel et est palpable dans des films comme Central do Brasil de Walter Salles (1998) ou de La Cit\u00E9 de Dieu (Cidade de Deus) de Fernando Meirelles (2002)."@fr . .