. . "4026525"^^ . "2228"^^ . "48.784513 2.257641" . . . "Ch\u00E2teau de la Solitude (Le Plessis-Robinson)"@fr . . . . . . . . "2.25764"^^ . . . . . . . . . . "48.7845"^^ . . "POINT(2.2576410770416 48.784511566162)"^^ . . . . . . "187591025"^^ . . . . . . . . "POINT(2.2576410770416 48.784511566162)"^^ . "Le ch\u00E2teau de la Solitude est un ch\u00E2teau en ruines situ\u00E9 dans un parc bois\u00E9 sur le territoire de la commune du Plessis-Robinson. Il s'agit en fait d'un castel de style n\u00E9ogothique d'une surface au sol de 480 m\u00E8tres carr\u00E9s comportant en son centre une cour int\u00E9rieure (-\u00E0 l'origine couverte d'une vo\u00FBte \u00E0 crois\u00E9e d'ogive en brique de verre), \u00E9difi\u00E9 en 1903 par un riche chocolatier parisien, Fran\u00E7ois-Philibert Marquis. Il servit ensuite de maison de repos o\u00F9 s\u00E9journa Ren\u00E9 Viviani, de r\u00E9sidence pour une congr\u00E9gation de Carm\u00E9lites. Il est ensuite rachet\u00E9 par l\u2019\u00C9tat qui en fait un coll\u00E8ge d\u2019enseignement technique pour jeunes m\u00E8res c\u00E9libataires, ferm\u00E9 en 1973. En 2016, le film \"Elles... Les Filles du Plessis\" raconte l'histoire de ces jeunes m\u00E8res c\u00E9libataires et de leur condition de vie. En 1977 "@fr . "Le ch\u00E2teau de la Solitude est un ch\u00E2teau en ruines situ\u00E9 dans un parc bois\u00E9 sur le territoire de la commune du Plessis-Robinson. Il s'agit en fait d'un castel de style n\u00E9ogothique d'une surface au sol de 480 m\u00E8tres carr\u00E9s comportant en son centre une cour int\u00E9rieure (-\u00E0 l'origine couverte d'une vo\u00FBte \u00E0 crois\u00E9e d'ogive en brique de verre), \u00E9difi\u00E9 en 1903 par un riche chocolatier parisien, Fran\u00E7ois-Philibert Marquis. Il servit ensuite de maison de repos o\u00F9 s\u00E9journa Ren\u00E9 Viviani, de r\u00E9sidence pour une congr\u00E9gation de Carm\u00E9lites. Il est ensuite rachet\u00E9 par l\u2019\u00C9tat qui en fait un coll\u00E8ge d\u2019enseignement technique pour jeunes m\u00E8res c\u00E9libataires, ferm\u00E9 en 1973. En 2016, le film \"Elles... Les Filles du Plessis\" raconte l'histoire de ces jeunes m\u00E8res c\u00E9libataires et de leur condition de vie. En 1977 et 1987, des incendies le ravagent. L'\u00E9crivain Raymond Radiguet l'utilisa comme toile de fond de son roman Le Bal du comte d'Orgel (publi\u00E9 en 1924, \u00E0 titre posthume). Le parc qui entoure ces ruines est la propri\u00E9t\u00E9 de l'\u00C9tat mais g\u00E9r\u00E9 par le Conseil g\u00E9n\u00E9ral des Hauts-de-Seine. Il est principalement constitu\u00E9 de ch\u00EAnes et de ch\u00E2taigniers et abrite quelques esp\u00E8ces animales sauvages."@fr . . . .