. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le brome est l'\u00E9l\u00E9ment chimique de num\u00E9ro atomique 35, de symbole Br. C'est un membre de la famille des halog\u00E8nes. Son nom d\u00E9rive du grec bromos (\u00AB puanteur \u00BB), en raison de son odeur piquante. Dans les conditions normales de temp\u00E9rature et de pression, le corps simple brome est un liquide de couleur brun\u00E2tre, de formule chimique Br2 (dibrome, form\u00E9 de mol\u00E9cules homonucl\u00E9aires diatomiques). Carl L\u00F6wig et Antoine-J\u00E9r\u00F4me Balard ont d\u00E9couvert ce corps simple en 1825 et 1826, ind\u00E9pendamment l'un de l'autre."@fr . . . . . . . . "Broom"@af . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Bromo"@es . . . "http://www.periodictable.com/Elements/035/data.html|titre=Technical data for Bromine"@fr . . . . . . . . . . . "187062815"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2016-07-02"^^ . . . . . "11728"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "35"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "79.904"^^ . . "\u0411\u0440\u043E\u043C"@ru . . . . . "44844"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Brom"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Brome"@fr . . "Le brome est l'\u00E9l\u00E9ment chimique de num\u00E9ro atomique 35, de symbole Br. C'est un membre de la famille des halog\u00E8nes. Son nom d\u00E9rive du grec bromos (\u00AB puanteur \u00BB), en raison de son odeur piquante. Dans les conditions normales de temp\u00E9rature et de pression, le corps simple brome est un liquide de couleur brun\u00E2tre, de formule chimique Br2 (dibrome, form\u00E9 de mol\u00E9cules homonucl\u00E9aires diatomiques). Carl L\u00F6wig et Antoine-J\u00E9r\u00F4me Balard ont d\u00E9couvert ce corps simple en 1825 et 1826, ind\u00E9pendamment l'un de l'autre. Peu abondant, il n'est que le 62e \u00E9l\u00E9ment chimique de la cro\u00FBte terrestre. Dans la nature, il n'est jamais pr\u00E9sent sous forme de dibrome, mais le plus souvent sous forme de bromure. \u00C0 cause du lessivage des roches et de la grande solubilit\u00E9 de nombreux bromures m\u00E9talliques, le brome s'est accumul\u00E9 dans les oc\u00E9ans (o\u00F9 il est cependant 289 fois moins abondant que le chlore) : l'eau de mer est une source de brome. Les eaux de la mer Morte contiennent 50 000 ppm d'ions bromure et constituent, avec des gisements aux \u00C9tats-Unis et en Chine, les principales r\u00E9serves mondiales. Dans les minerais, l'ion bromure est souvent associ\u00E9 \u00E0 l'argent. Les min\u00E9raux correspondants sont la bromargyrite (bromure d'argent AgBr), d\u00E9couvert \u00E0 Mexico en 1841, et l'embolite. Outre qu'il peut contribuer \u00E0 d\u00E9grader la couche d'ozone, il semble jouer un r\u00F4le de catalyseur dans le ph\u00E9nom\u00E8ne atmosph\u00E9rique \u00E9cotoxicologiquement pr\u00E9occupant dit de \u00AB pluies de mercure \u00BB (impliqu\u00E9 dans environ 80 % des cas). Il est notamment \u00E9mis dans l'air par l'incin\u00E9ration des d\u00E9chets et pour de nombreux secteurs, il n'y a pas de valeurs limites d'\u00E9mission (VLE) dans l'air ou dans les rejets d'eaux us\u00E9es. En France, depuis 2013 dans certaines ICPE, les \u00E9missions de brome et de compos\u00E9s inorganiques gazeux du brome (exprim\u00E9es en HBr) sont r\u00E9glement\u00E9es : leur flux horaire ne doit pas d\u00E9passer 50 g/h, et 5 mg/m\u00B3 de gaz rejet\u00E9 dans l'atmosph\u00E8re."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . . . "Bromo"@pt . . "Brom"@pl . . . . . . . . "Bromo"@it . . . . . . . . . . . . . "Brom"@br . . . . . . "\u6EB4"@zh . . . . . . . . . .