. . . . . . "664935"^^ . . . . "178864204"^^ . . . . . . . . "Bonhomme Sept Heures"@fr . . . . . "Le Bonhomme Sept Heures est un personnage fictif mal\u00E9fique de la culture du Qu\u00E9bec et du Canada francophone. Au Canada francophone et au Qu\u00E9bec, on parle de ce vagabond sinistre aux jeunes enfants pour leur faire peur et ainsi les rendre plus sages. Il \u00E9tait cens\u00E9 ramasser les enfants qui \u00E9taient encore dehors apr\u00E8s sept heures du soir ou qui ne dormaient pas. Aussi, prononc\u00E9 avec un pince-sans-rire de la part du parent pour inciter l'enfant \u00E0 aller au lit, plut\u00F4t que de le gronder; tactique \u00E9ducative. La l\u00E9gende du Bonhomme Sept Heures est maintenant oubli\u00E9e dans plusieurs r\u00E9gions, mais l'expression demeure r\u00E9pandue. Les termes croque-mitaine et p\u00E8re Fouettard sont assez m\u00E9connus au Canada, contrairement au \u00AB Bonhomme Sept Heures \u00BB. On rencontre aussi les orthographes suivantes : \u00AB Bonhomme sept-heures \u00BB, \u00AB Petit bonhomme sept heures \u00BB, \u00AB Bonhomme setteur \u00BB, \u00AB Bonhomme 7 heures \u00BB."@fr . . . . . "7427"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le Bonhomme Sept Heures est un personnage fictif mal\u00E9fique de la culture du Qu\u00E9bec et du Canada francophone. Au Canada francophone et au Qu\u00E9bec, on parle de ce vagabond sinistre aux jeunes enfants pour leur faire peur et ainsi les rendre plus sages. Il \u00E9tait cens\u00E9 ramasser les enfants qui \u00E9taient encore dehors apr\u00E8s sept heures du soir ou qui ne dormaient pas. Aussi, prononc\u00E9 avec un pince-sans-rire de la part du parent pour inciter l'enfant \u00E0 aller au lit, plut\u00F4t que de le gronder; tactique \u00E9ducative. La l\u00E9gende du Bonhomme Sept Heures est maintenant oubli\u00E9e dans plusieurs r\u00E9gions, mais l'expression demeure r\u00E9pandue. Les termes croque-mitaine et p\u00E8re Fouettard sont assez m\u00E9connus au Canada, contrairement au \u00AB Bonhomme Sept Heures \u00BB."@fr . . .