. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1961-01-21"^^ . . . . . . . . . "\u30D6\u30EC\u30FC\u30BA\u30FB\u30B5\u30F3\u30C9\u30E9\u30FC\u30EB"@ja . . . . . . . . . . . "191415468"^^ . . . . . . . . . . . "Blaise Cendrars"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Blaise Cendrars"@eu . . . . . . . . . . . . . . . . "La Chaux-de-Fonds,"@fr . . . . . "4021438"^^ . . . . . . . "Fr\u00E9d\u00E9ric Louis Sauser"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "J'ai tu\u00E9"@fr . . . . "Blaise Cendrars"@fr . . . . . . . "Fr\u00E9d\u00E9ric Louis Sauser, dit Blaise Cendrars [bl\u025Bz s\u0251\u0303d\u0281a\u02D0\u0281], est un \u00E9crivain suisse et fran\u00E7ais, n\u00E9 le 1er septembre 1887 \u00E0 La Chaux-de-Fonds (Suisse) et mort le 21 janvier 1961 \u00E0 Paris. \u00C0 ses d\u00E9buts, il utilise bri\u00E8vement les pseudonymes Freddy Sausey, Jack Lee et Diog\u00E8ne. Le 16 f\u00E9vrier 1916, il est naturalis\u00E9 fran\u00E7ais, \u00E0 la suite de son engagement \u00E0 la guerre. Il travaille dans l'\u00E9dition et d\u00E9laisse un temps la litt\u00E9rature pour le cin\u00E9ma, mais sans succ\u00E8s. Lass\u00E9 des milieux litt\u00E9raires parisiens, il voyage au Br\u00E9sil \u00E0 partir de 1924."@fr . . . . . . . "* La Prose du Transsib\u00E9rien et de la petite Jehanne de France \n* L'Or. La merveilleuse histoire du g\u00E9n\u00E9ral Johann August Suter \n* Moravagine \n* L'Homme foudroy\u00E9 \n* La Main coup\u00E9e \n* Bourlinguer \n* Du monde entier au c\u0153ur du monde"@fr . . . . . "" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Auteur:Blaise Cendrars"@fr . . . . . . "\u0628\u0644\u0627\u0632 \u0633\u0646\u062F\u0631\u0627\u0631"@ar . . . . . ""@fr . . . . "81367"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0628\u0644\u0627\u0632 \u0633\u0646\u062F\u0631\u0627\u0631"@arz . . . . . . . . . . . . . . ""@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Blaise Cendrars"@en . . . . "Freddy Sausey, Fr\u00E9d\u00E9ric Sausey, Jack Lee, Diog\u00E8ne, Blaise Cendrars"@fr . . . . . . . ""@fr . . . "Blaise Cendrars"@pl . . . . . . . . . . . . . . . "Cendrars vers 1931 photographi\u00E9 par Jind\u0159ich \u0160tyrsk\u00FD."@fr . "Blaise Cendrars"@fr . "Freddy Sausey"@en . . . . . . . . . . . . "Blaise Cendrars"@pt . . . . . . . . . . "1961-01-21"^^ . . . . . "Cendrars vers 1931 photographi\u00E9 parJind\u0159ich \u0160tyrsk\u00FD." . . . . . . . . . . . . . "Fr\u00E9d\u00E9ric Louis Sauser"@en . . . . . . . . "Diogene"@en . . . . . "1887-09-01"^^ . . . . . . . . . . . . . . "Blaise Cendrars"@fr . . "Freddy Sausey, Fr\u00E9d\u00E9ric Sausey, Jack Lee, Diog\u00E8ne, Blaise Cendrars"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Blaise Cenrdars (Unterschrift).jpg" . . "Category:Blaise Cendrars"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Blaise Cendrars"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . "1887-09-01"^^ . "Jack Lee"@en . "Paris,"@fr . . . "Blaise Cendrars"@oc . . . . . . . "Fr\u00E9d\u00E9ric Louis Sauser, dit Blaise Cendrars [bl\u025Bz s\u0251\u0303d\u0281a\u02D0\u0281], est un \u00E9crivain suisse et fran\u00E7ais, n\u00E9 le 1er septembre 1887 \u00E0 La Chaux-de-Fonds (Suisse) et mort le 21 janvier 1961 \u00E0 Paris. \u00C0 ses d\u00E9buts, il utilise bri\u00E8vement les pseudonymes Freddy Sausey, Jack Lee et Diog\u00E8ne. D\u00E8s l'\u00E2ge de 17 ans, il quitte la Suisse pour un long s\u00E9jour en Russie puis, en 1911, il se rend \u00E0 New York o\u00F9 il \u00E9crit son premier po\u00E8me Les P\u00E2ques (qui deviendra Les P\u00E2ques \u00E0 New York en 1919). Il le publie \u00E0 Paris en 1912 sous le pseudonyme de Blaise Cendrars, qui fait allusion aux braises et aux cendres permettant la renaissance cyclique du ph\u00E9nix. En 1913, il fait para\u00EEtre son po\u00E8me le plus c\u00E9l\u00E8bre, La Prose du Transsib\u00E9rien et de la petite Jehanne de France. D\u00E8s le d\u00E9but de la guerre de 1914-1918, il s'engage comme volontaire \u00E9tranger dans l'arm\u00E9e fran\u00E7aise avant d'\u00EAtre vers\u00E9 dans la L\u00E9gion \u00E9trang\u00E8re. Parmi ses compagnons d'armes de la L\u00E9gion, figure notamment Eugene Jacques Bullard, premier pilote noir des forces alli\u00E9es \u00E0 partir de 1917. Gravement bless\u00E9 le 28 septembre 1915, Cendrars est amput\u00E9 du bras droit et en cons\u00E9quence r\u00E9form\u00E9. Il \u00E9crit sur cette exp\u00E9rience son premier r\u00E9cit en prose : il s'agit d\u2019une premi\u00E8re version de La Main coup\u00E9e. Le 16 f\u00E9vrier 1916, il est naturalis\u00E9 fran\u00E7ais, \u00E0 la suite de son engagement \u00E0 la guerre. Il travaille dans l'\u00E9dition et d\u00E9laisse un temps la litt\u00E9rature pour le cin\u00E9ma, mais sans succ\u00E8s. Lass\u00E9 des milieux litt\u00E9raires parisiens, il voyage au Br\u00E9sil \u00E0 partir de 1924. En 1925, il s'oriente vers le roman avec L'Or, o\u00F9 il retrace le dramatique destin de Johann August Sutter, millionnaire d'origine suisse ruin\u00E9 par la d\u00E9couverte de l'or sur ses terres en Californie. Ce succ\u00E8s mondial va faire de lui, durant les ann\u00E9es 1920, un romancier de l'aventure, que confirme Moravagine en 1926. Dans les ann\u00E9es 1930, il devient grand reporter. Correspondant de guerre dans l'arm\u00E9e anglaise en 1939, il quitte Paris apr\u00E8s la d\u00E9b\u00E2cle et s'installe \u00E0 Aix-en-Provence. Apr\u00E8s trois ans de silence, il commence en 1943 \u00E0 \u00E9crire ses M\u00E9moires : L'Homme foudroy\u00E9 (1945), La Main coup\u00E9e (1946), Bourlinguer (1948) et Le Lotissement du ciel (1949). De retour \u00E0 Paris en 1950, il collabore fr\u00E9quemment \u00E0 la Radiodiffusion fran\u00E7aise. Victime d'une congestion c\u00E9r\u00E9brale le 21 juillet 1956, il meurt des suites d'une seconde attaque le 21 janvier 1961. L'\u0153uvre de Blaise Cendrars, po\u00E9sie, romans, reportages et m\u00E9moires, est plac\u00E9e sous le signe du voyage, de l'aventure, de la d\u00E9couverte et de l'exaltation du monde moderne o\u00F9 l'imaginaire se m\u00EAle au r\u00E9el de fa\u00E7on inextricable. Le fonds d'archives de Blaise Cendrars a \u00E9t\u00E9 cr\u00E9\u00E9 en 1975 par Miriam Gilou-Cendrars (1919-2018), sa fille, et se trouve aux Archives litt\u00E9raires suisses \u00E0 Berne."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Fr\u00E9d\u00E9ric Louis Sauser"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Grand Prix litt\u00E9raire de la Ville de Paris"@fr . . . . . . . . . . . . . . .