. . "Bin\u00E1rio de baixa massa emissor de raio X"@pt . . "Bin\u00E0ria de baixa massa emissora de raigs X"@ca . "2274777"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "163347806"^^ . . . . . . . . . "7077"^^ . . . . . . "Binaire X \u00E0 faible masse"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Une binaire X \u00E0 faible masse, ou LMXB (de l'anglais Low Mass X-ray Binary), est une \u00E9toile binaire rayonnant dans le domaine des rayons X (ce que l'on appelle une binaire X), dont un des deux membres est une \u00E9toile \u00E0 neutrons ou un trou noir et l'autre une \u00E9toile de masse \u00AB faible \u00BB. Elle peut \u00EAtre une \u00E9toile de la s\u00E9quence principale, auquel cas son type spectral est F, G, K, M (\u00E9ventuellement A), ou alors une naine blanche. Le terme de binaire X \u00E0 faible masse s'oppose bien s\u00FBr \u00E0 celui de binaire X \u00E0 forte masse, dont l'\u00E9toile est, elle de type spectral O ou B (\u00E9ventuellement A), et donc plus massive."@fr . . "Une binaire X \u00E0 faible masse, ou LMXB (de l'anglais Low Mass X-ray Binary), est une \u00E9toile binaire rayonnant dans le domaine des rayons X (ce que l'on appelle une binaire X), dont un des deux membres est une \u00E9toile \u00E0 neutrons ou un trou noir et l'autre une \u00E9toile de masse \u00AB faible \u00BB. Elle peut \u00EAtre une \u00E9toile de la s\u00E9quence principale, auquel cas son type spectral est F, G, K, M (\u00E9ventuellement A), ou alors une naine blanche. Le terme de binaire X \u00E0 faible masse s'oppose bien s\u00FBr \u00E0 celui de binaire X \u00E0 forte masse, dont l'\u00E9toile est, elle de type spectral O ou B (\u00E9ventuellement A), et donc plus massive. Le rayonnement X \u00E9mis par les binaires X \u00E0 faible masse provient d'un \u00E9change de masse entre l'\u00E9toile et l'objet compact. En tombant sur l'objet compact, la masse de l'\u00E9toile compagnon forme un disque d'accr\u00E9tion, est \u00E9chauff\u00E9e et rayonne dans le domaine des rayons X. L'\u00E9toile compagnon de l'objet compact \u00E9tant, dans le cas d'une binaire X \u00E0 faible masse, peu lumineuse, c'est la luminosit\u00E9 dans le domaine de rayons X qui domine l'\u00E9mission du syst\u00E8me. Celle-ci est 100 \u00E0 10 000 fois plus intense dans le domaine X que dans le domaine visible. Le ph\u00E9nom\u00E8ne d'\u00E9change de mati\u00E8re entre l'\u00E9toile et l'objet compact a pour cons\u00E9quence de permettre une importante acc\u00E9l\u00E9ration de la vitesse angulaire de rotation de ce dernier. Dans le cas o\u00F9 celui-ci est une \u00E9toile \u00E0 neutrons, ceci permet de lui conf\u00E9rer une vitesse de rotation extr\u00EAmement rapide, avec une p\u00E9riode de rotation pouvant descendre \u00E0 quelques millisecondes. Les binaires X \u00E0 faible masse sont ainsi consid\u00E9r\u00E9es comme les lieux o\u00F9 se forment les pulsars millisecondes. La premi\u00E8re source astrophysique de rayons X jamais d\u00E9tect\u00E9e, Scorpius X-1 (en 1962), \u00E9tait une binaire X \u00E0 faible masse."@fr .