. . . . . . . "1.10251E7"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Bac Films Distribution est une soci\u00E9t\u00E9 de distribution cin\u00E9matographique fran\u00E7aise bas\u00E9e \u00E0 Paris, cr\u00E9\u00E9 par Jean Labadie, \u00C9ric Heumann et St\u00E9phane Sorlat en 1986. D\u00E8s 1988, Vivendi entre dans le capital de la soci\u00E9t\u00E9 \u00E0 hauteur de 10 %, puis 20 %, et permet \u00E0 la soci\u00E9t\u00E9 de proc\u00E9der \u00E0 d'ambitieuses acquisitions. La success story d\u00E9bute en 1990 avec Sailor et Lula, Palme d'or au Festival de Cannes. Les sorties de Barton Fink et Tous les matins du monde en 1991, Indochine et Le Z\u00E8bre en 1992, La Le\u00E7on de piano en 1993 permettront de placer rapidement BAC Films au sommet de la distribution ind\u00E9pendante. Bac Films entreprend en 1994 une diversification dans l'exploitation cin\u00E9matographique avec la cr\u00E9ation de la soci\u00E9t\u00E9 Les \u00C9crans de Paris, en association avec Simon Simsi. En 1997, le p\u00F4le exploitation de salles est cr\u00E9\u00E9 sous le nom Majestic, et le groupe se r\u00E9organise autour de la holding Alicar : Bac Films (distribution), Majestic (exploitation) et S\u00E9ance Priv\u00E9e (\u00E9v\u00E9nementiel). Premier distributeur en 1998, BAC Films cr\u00E9\u00E9 Mars Films, qui lui permet alors d'assurer la diffusion de ses nombreuses acquisitions. Le groupe est introduit en bourse en 2000 et prend le nom de Bac Majestic. Il conna\u00EEt deux ans plus tard une grave crise financi\u00E8re, qui l'oblige \u00E0 se s\u00E9parer de sa branche exploitation. En 2003, la soci\u00E9t\u00E9 Millimages devient actionnaire majoritaire de BAC Films. Jean Labadie, fondateur du groupe, en sera \u00E9vinc\u00E9 en 2007. prend alors la direction de la soci\u00E9t\u00E9. En octobre 2013, la soci\u00E9t\u00E9 est \u00E0 nouveau c\u00E9d\u00E9e, en est le nouveau Pr\u00E9sident. Le catalogue est constitu\u00E9 aussi bien de titres \u00E9trangers que fran\u00E7ais. BAC films a distribu\u00E9 plus de 500 films depuis sa cr\u00E9ation, dont 9 ont obtenu la Palme d'or au Festival de Cannes. Le dernier en date est The Square, Palme d'or en 2017. BAC Films fait partie du syndicat DIRE, qui regroupe plusieurs distributeurs ind\u00E9pendants tels que , Pyramide Distribution, ou Rezo Films."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Roch Lener"@fr . . . . . . . . "499589760"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1986"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Jean Labadie"@fr . . . . "David Grumbach"@fr . . . . . "Paris 75010"@fr . . "BAC Films Distribution"@fr . . . . . . . . . . . "1986"^^ . "--12-31"^^ . . . . . . "BAC Films"@fr . . . . . . . ""@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "BAC Films logo.svg"@fr . . . . . . . . . "2774355"^^ . "BAC\u30D5\u30A3\u30EB\u30E0\u30BA"@ja . "SASU Soci\u00E9t\u00E9 par actions simplifi\u00E9e \u00E0 associ\u00E9 unique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "21846"^^ . . "--08-16"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "BAC Films Distribution"@fr . . . "SIREN"@fr . . "Bac Films Distribution est une soci\u00E9t\u00E9 de distribution cin\u00E9matographique fran\u00E7aise bas\u00E9e \u00E0 Paris, cr\u00E9\u00E9 par Jean Labadie, \u00C9ric Heumann et St\u00E9phane Sorlat en 1986. D\u00E8s 1988, Vivendi entre dans le capital de la soci\u00E9t\u00E9 \u00E0 hauteur de 10 %, puis 20 %, et permet \u00E0 la soci\u00E9t\u00E9 de proc\u00E9der \u00E0 d'ambitieuses acquisitions. La success story d\u00E9bute en 1990 avec Sailor et Lula, Palme d'or au Festival de Cannes. Les sorties de Barton Fink et Tous les matins du monde en 1991, Indochine et Le Z\u00E8bre en 1992, La Le\u00E7on de piano en 1993 permettront de placer rapidement BAC Films au sommet de la distribution ind\u00E9pendante."@fr . . . . . . . . . . . . . . . "France"@fr . . . . . . . . . . . . . . "178377781"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .