. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "periodefertile"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Attrazione sessuale"@it . . . . "\u0421\u0435\u043A\u0441\u0430\u043F\u0456\u043B\u044C\u043D\u0456\u0441\u0442\u044C"@uk . . . . . "\u0627\u0646\u062C\u0630\u0627\u0628 \u062C\u0646\u0633\u064A"@ar . . . "22990"^^ . "Attractivit\u00E9 augment\u00E9e durant la p\u00E9riode fertile."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "alpha"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Atra\u00E7\u00E3o sexual"@pt . . . . . . "\u0421\u0435\u043A\u0441\u0430\u043F\u0438\u043B\u044C\u043D\u043E\u0441\u0442\u044C"@ru . . . . . "Sexu erakarpen"@eu . . . . . . . "189086054"^^ . . "Attirance sexuelle"@fr . . . . . . . "d\u00E9cembre 2019"@fr . . . . "Chez les esp\u00E8ces utilisant la reproduction sexu\u00E9e, l'attirance sexuelle (ou attraction sexuelle) d\u00E9signe l'attirance vers d'autres membres de la m\u00EAme esp\u00E8ce pour r\u00E9aliser la copulation ou pour des activit\u00E9s \u00E9rotiques. La nature de l'attirance sexuelle ne semble pas \u00EAtre uniquement biologique. Ainsi plusieurs facteurs attractifs populaires, telles que le volume des seins ou le rapport taille-hanche faible de la femme, correspondraient plut\u00F4t \u00E0 des pr\u00E9f\u00E9rences sexuelles apprises en raison de caract\u00E9ristiques culturelles particuli\u00E8res."@fr . . . "Sexappeal"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . "sexologie"@fr . . "958312"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "Sexappeal"@nl . . . . . "Chez les esp\u00E8ces utilisant la reproduction sexu\u00E9e, l'attirance sexuelle (ou attraction sexuelle) d\u00E9signe l'attirance vers d'autres membres de la m\u00EAme esp\u00E8ce pour r\u00E9aliser la copulation ou pour des activit\u00E9s \u00E9rotiques. Plusieurs hypoth\u00E8ses relatives \u00E0 la th\u00E9orie de l'\u00E9volution sugg\u00E8rent que certaines caract\u00E9ristiques particuli\u00E8res des organismes (les caract\u00E8res sexuels secondaires : la roue des paons, la dimension des bois des cerfs, la peau sexuelle des primates ; le volume des seins ou le rapport taille-hanche faible des femmes, la masse musculaire des hommes, etc.), qui provoqueraient de l'attirance sexuelle, ont \u00E9t\u00E9 s\u00E9lectionn\u00E9s par l'\u00E9volution pour augmenter les chances de reproduction avec le partenaire le plus appropri\u00E9. La nature de l'attirance sexuelle ne semble pas \u00EAtre uniquement biologique. Ainsi plusieurs facteurs attractifs populaires, telles que le volume des seins ou le rapport taille-hanche faible de la femme, correspondraient plut\u00F4t \u00E0 des pr\u00E9f\u00E9rences sexuelles apprises en raison de caract\u00E9ristiques culturelles particuli\u00E8res. NB : cet article pr\u00E9sente les th\u00E9ories et les donn\u00E9es scientifiques concernant les caract\u00E9ristiques morphologiques, sonores, olfactives, etc., qui provoquent une attirance sexuelle entre les animaux. Les processus neurobiologiques sp\u00E9cifiques qui permettent de reconna\u00EEtre le sexe oppos\u00E9 sont pr\u00E9sent\u00E9s dans l'article Orientation sexuelle. Les processus neurobiologiques qui sont \u00E0 l'origine de pr\u00E9f\u00E9rences sexuelles pour certaines caract\u00E9ristiques des partenaires ou pour quelques partenaires particuliers sont pr\u00E9sent\u00E9s dans l'article Pr\u00E9f\u00E9rence sexuelle."@fr . . .