. "Arthur Saint-L\u00E9on (de son vrai nom Charles-Victor-Arthur Michel) est un danseur et chor\u00E9graphe fran\u00E7ais n\u00E9 \u00E0 Paris 9e le 7 septembre 1821 et mort \u00E0 Paris 9e le 2 septembre 1870. Apr\u00E8s des \u00E9tudes de musique et de danse \u00E0 Stuttgart, il vint se perfectionner \u00E0 Paris sous la direction du ma\u00EEtre de ballet Albert et commen\u00E7a sa carri\u00E8re au th\u00E9\u00E2tre de la Monnaie, \u00E0 Bruxelles, o\u00F9 il fut engag\u00E9 comme premier danseur en 1838. Il se produisit ensuite sur les plus grandes sc\u00E8nes europ\u00E9ennes, de Milan \u00E0 Vienne et de Londres \u00E0 Paris. Interpr\u00E8te des ballets de Jules Perrot avec sa partenaire puis \u00E9pouse Fanny Cerrito, il cr\u00E9a La Vivandi\u00E8re, \u00E0 l'Op\u00E9ra de Paris en 1844. Devant le succ\u00E8s de sa premi\u00E8re \u0153uvre, les cr\u00E9ations s'encha\u00EEnent, du Violon du diable (1849) jusqu'\u00E0 son chef-d'\u0153uvre Copp\u00E9lia (1870). Il"@fr . . "\u30A2\u30EB\u30C6\u30E5\u30FC\u30EB\u30FB\u30B5\u30F3\uFF1D\u30EC\u30AA\u30F3"@ja . . . . . . . . . . . . . . . . "Le Violon du diable"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Copp\u00E9lia"@fr . . . . . . . . "Arthur Saint-L\u00E9on"@pl . . "La Vivandi\u00E8re"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1859"^^ . . . . . . . "1850"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le Petit Cheval bossu"@fr . "6027"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . "467842"^^ . . . . "Arthur Saint-L\u00E9on vers 1865."@fr . . . . . . "Charles-Victor-Arthur Michel"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "188968364"^^ . "Directeur du Ballet l'Op\u00E9ra de Paris"@fr . . . . . . . "Arthur Saint-L\u00E9on"@fr . "danseur"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Arthur Saint-L\u00E9on (de son vrai nom Charles-Victor-Arthur Michel) est un danseur et chor\u00E9graphe fran\u00E7ais n\u00E9 \u00E0 Paris 9e le 7 septembre 1821 et mort \u00E0 Paris 9e le 2 septembre 1870. Apr\u00E8s des \u00E9tudes de musique et de danse \u00E0 Stuttgart, il vint se perfectionner \u00E0 Paris sous la direction du ma\u00EEtre de ballet Albert et commen\u00E7a sa carri\u00E8re au th\u00E9\u00E2tre de la Monnaie, \u00E0 Bruxelles, o\u00F9 il fut engag\u00E9 comme premier danseur en 1838. Il se produisit ensuite sur les plus grandes sc\u00E8nes europ\u00E9ennes, de Milan \u00E0 Vienne et de Londres \u00E0 Paris. Interpr\u00E8te des ballets de Jules Perrot avec sa partenaire puis \u00E9pouse Fanny Cerrito, il cr\u00E9a La Vivandi\u00E8re, \u00E0 l'Op\u00E9ra de Paris en 1844. Devant le succ\u00E8s de sa premi\u00E8re \u0153uvre, les cr\u00E9ations s'encha\u00EEnent, du Violon du diable (1849) jusqu'\u00E0 son chef-d'\u0153uvre Copp\u00E9lia (1870). Il succ\u00E9da \u00E0 Jules Perrot comme ma\u00EEtre de ballet du ballet imp\u00E9rial \u00E0 Saint-P\u00E9tersbourg, qui \u00E9tait abrit\u00E9 \u00E0 l'\u00E9poque au th\u00E9\u00E2tre Bolcho\u00EF Kamenny, de 1859 \u00E0 1869, ann\u00E9e o\u00F9 il laissa la place \u00E0 Marius Petipa. Saint-L\u00E9on est aussi l'auteur d'un syst\u00E8me de notation de la danse publi\u00E9 en 1852 \u00E0 Paris, sous le titre La St\u00E9nochor\u00E9graphie, ou l'art de noter promptement la danse. Il est inhum\u00E9 au cimeti\u00E8re Montmartre, 29e division, avenue de la Croix, 3e ligne. Son \u00E9pouse Fanny Cerrito reposant dans la 5e division."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . .