"Aoel"@nl . "2438"^^ . . . . "Un aoul (mot d\u00E9riv\u00E9 du tch\u00E9tch\u00E8ne oil et/ou du tatar aw\u0131l) est un village fortifi\u00E9 que l\u2019on trouve globalement partout dans le Caucase (et plus particuli\u00E8rement au Daghestan et en Tch\u00E9tch\u00E9nie), chez les tatars, les bachkirs, les kazakhs et les kalmouks. Ces villages sont souvent b\u00E2tis contre des falaises et leurs fortifications sont en pierre pour se prot\u00E9ger d\u2019une attaque surprise. Les maisons sont le plus souvent hautes de deux \u00E9tages. Au XIXe si\u00E8cle, lors de la conqu\u00EAte du Caucase par la Russie, les aouls se r\u00E9v\u00E9l\u00E8rent d\u2019excellents lieux de d\u00E9fense et de regroupement de la r\u00E9sistance. Chez les Kazakhs, l'aoul repr\u00E9sentait initialement un groupe de nomades, et \u00E9tait constitu\u00E9 de quelques yourtes ; il \u00E9tait par essence mobile. Au fur et \u00E0 mesure que les politiques de l'Empire russe et de l'URSS parvinrent \u00E0 s\u00E9dentariser les Kazakhs, le mot aoul finit par d\u00E9signer une entit\u00E9 administrative, puis un village."@fr . . . "1024709"^^ . "Aoul"@fr . . . . . . . . . . . "A\u00FCl"@ca . . . . . . . . . . . . . . . "Aul"@en . . "Au\u0142"@pl . . . . . . . . "\u0410\u0443\u043B"@uk . "A\u00FAl"@es . . . . "168218911"^^ . . . . . . . . . . . . . . "Un aoul (mot d\u00E9riv\u00E9 du tch\u00E9tch\u00E8ne oil et/ou du tatar aw\u0131l) est un village fortifi\u00E9 que l\u2019on trouve globalement partout dans le Caucase (et plus particuli\u00E8rement au Daghestan et en Tch\u00E9tch\u00E9nie), chez les tatars, les bachkirs, les kazakhs et les kalmouks. Ces villages sont souvent b\u00E2tis contre des falaises et leurs fortifications sont en pierre pour se prot\u00E9ger d\u2019une attaque surprise. Les maisons sont le plus souvent hautes de deux \u00E9tages. Au XIXe si\u00E8cle, lors de la conqu\u00EAte du Caucase par la Russie, les aouls se r\u00E9v\u00E9l\u00E8rent d\u2019excellents lieux de d\u00E9fense et de regroupement de la r\u00E9sistance."@fr . . . . .