. . . . . . "Annus Mirabilis est un po\u00E8me \u00E9crit par l'auteur anglais John Dryden et publi\u00E9 en 1667. Le texte a pour objet de comm\u00E9morer la p\u00E9riode 1665-1666, qui aurait \u00E9t\u00E9 selon le po\u00E8te une \u00AB ann\u00E9e des miracles \u00BB (year of miracles) \u00E0 Londres. En r\u00E9alit\u00E9, cette \u00E9poque cumula les \u00E9v\u00E9nements dramatiques. Dryden r\u00E9digea le po\u00E8me tandis qu'il r\u00E9sidait \u00E0 (en), dans le Wiltshire, o\u00F9 il s'\u00E9tait r\u00E9fugi\u00E9 pour \u00E9chapper \u00E0 l'\u00E9pid\u00E9mie de peste s\u00E9vissant dans la capitale."@fr . . "Annus Mirabilis"@fr . . "Charlton, Brinkworth"@fr . . "2380"^^ . . . . . . . . . . . . "Annus mirabilis (Gedicht)"@de . "Charlton"@fr . "181189418"^^ . . . . . . . . . . . . . "Annus Mirabilis (poem)"@en . . . . . . . . . "en"@fr . "Charlton"@fr . . . . . . "674338"^^ . . . . . . "Annus Mirabilis est un po\u00E8me \u00E9crit par l'auteur anglais John Dryden et publi\u00E9 en 1667. Le texte a pour objet de comm\u00E9morer la p\u00E9riode 1665-1666, qui aurait \u00E9t\u00E9 selon le po\u00E8te une \u00AB ann\u00E9e des miracles \u00BB (year of miracles) \u00E0 Londres. En r\u00E9alit\u00E9, cette \u00E9poque cumula les \u00E9v\u00E9nements dramatiques. Dryden r\u00E9digea le po\u00E8me tandis qu'il r\u00E9sidait \u00E0 (en), dans le Wiltshire, o\u00F9 il s'\u00E9tait r\u00E9fugi\u00E9 pour \u00E9chapper \u00E0 l'\u00E9pid\u00E9mie de peste s\u00E9vissant dans la capitale. Le po\u00E8me est structur\u00E9 en quatrains. Le premier \u00E9v\u00E9nement qualifi\u00E9 de miraculeux est la bataille de Lowestoft, une victoire navale anglaise contre les Provinces-Unies remport\u00E9e en 1665. Le second est la bataille des Quatre Jours de juin 1666 et la victoire finale \u00E0 la suite de la bataille du jour de la Saint Jean, un mois plus tard. La partie suivante du po\u00E8me traite du grand incendie de Londres qui ravagea la capitale du 2 au 7 septembre 1666. Le miracle tient ici \u00E0 ce que Londres fut finalement sauv\u00E9e et le feu contenu, et surtout \u00E0 ce que la trag\u00E9die donna au roi Charles II l'ambition de reconstruire la ville avec intelligence. L'opinion de Dryden \u00E9tait que les deux d\u00E9sastres de la peste et de l'incendie avaient \u00E9t\u00E9 contr\u00E9s, que Dieu avait choisi de sauver l'Angleterre de la destruction et que cela tenait du miracle. L'int\u00E9r\u00EAt primordial du po\u00E8me r\u00E9side aujourd'hui dans sa description du Grand incendie. Le titre du po\u00E8me est parfois utilis\u00E9 \u00E0 d'autres occasions, pour qualifier une ann\u00E9e remplie d'\u00E9v\u00E9nements particuli\u00E8rement notables. Lorsque la reine \u00C9lisabeth II d\u00E9clara en 1992 que l'incendie du ch\u00E2teau de Windsor faisait partie de son annus horribilis, elle fit ainsi une allusion humoristique au po\u00E8me de Dryden."@fr . . . . . .