. . . "1500.0"^^ . "155173435"^^ . . . "1918"^^ . . . . . . "Am\u00E9riques est une \u0153uvre du compositeur fran\u00E7ais Edgard Var\u00E8se. \u00C9crite entre 1918 et 1921, r\u00E9vis\u00E9e en 1927, elle est destin\u00E9e \u00E0 un orchestre romantique de tr\u00E8s grande taille, avec des percussions additionnelles (pour onze solistes) comprenant des sir\u00E8nes. C'est la premi\u00E8re \u0153uvre compos\u00E9e par Var\u00E8se apr\u00E8s son arriv\u00E9e aux \u00C9tats-Unis, et bien que ce ne soit pas sa premi\u00E8re \u0153uvre, elle est la premi\u00E8re qu'il ait conserv\u00E9e. Il semble qu'il en a \u00E9crit des esquisses d\u00E8s 1915 puisque sa future femme, Louise Norton, se souvient avoir vu des brouillons de partition pour une \u0153uvre con\u00E7ue pour un orchestre \u00E0 large effectif."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2746721"^^ . . . . . . . . . "1926-04-09"^^ . . "Am\u00E9riques (Var\u00E8se)"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "instrumental"@fr . . . "Am\u00E9riques est une \u0153uvre du compositeur fran\u00E7ais Edgard Var\u00E8se. \u00C9crite entre 1918 et 1921, r\u00E9vis\u00E9e en 1927, elle est destin\u00E9e \u00E0 un orchestre romantique de tr\u00E8s grande taille, avec des percussions additionnelles (pour onze solistes) comprenant des sir\u00E8nes. C'est la premi\u00E8re \u0153uvre compos\u00E9e par Var\u00E8se apr\u00E8s son arriv\u00E9e aux \u00C9tats-Unis, et bien que ce ne soit pas sa premi\u00E8re \u0153uvre, elle est la premi\u00E8re qu'il ait conserv\u00E9e. Il semble qu'il en a \u00E9crit des esquisses d\u00E8s 1915 puisque sa future femme, Louise Norton, se souvient avoir vu des brouillons de partition pour une \u0153uvre con\u00E7ue pour un orchestre \u00E0 large effectif. Am\u00E9riques est compos\u00E9e en un seul mouvement qui dure \u00E0 peu pr\u00E8s 25 minutes, lors desquelles l'orchestre dans son ensemble joue virtuellement tout le temps. Le d\u00E9but est calme, avec une m\u00E9lodie proche de Debussy, puis prend rapidement une grande force sismique, ponctu\u00E9e par un crescendo massif qui rappelle Le Sacre du printemps de Stravinsky.L'\u0153uvre est marqu\u00E9e par les f\u00E9roces dissonances des cordes, les polyphonies complexes pour percussions et vents. La sir\u00E8ne a une fonction structurale. La premi\u00E8re version (de 1921) demandait un effectif de pr\u00E8s de 155 musiciens. Sur la demande du chef d'orchestre Leopold Stokowski, il simplifie sa partition, aboutissant \u00E0 la version d\u00E9finitive, dite de 1927."@fr . . . "1929-05-30"^^ . . . . . . . . . . . . "5209"^^ . . . "25.0"^^ . "1500.0"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Am\u00E9riques"@fr . "1926-04-09"^^ . "Am\u00E9riques"@fr .