. "Rychaldus"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Li\u00EAn minh Frank-M\u00F4ng C\u1ED5"@vi . . . . . . . . . . . . . . . . "2876000"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Rychaldus"@fr . . "en"@fr . . . . . . . . . . . . . . "189550025"^^ . "Alleanza tra Mongoli e Crociati"@it . . . . . "Alian\u00E7a francomongola"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Des tentatives ont \u00E9t\u00E9 conduites afin de former une alliance franco-mongole entre le milieu du XIIIe si\u00E8cle et le d\u00E9but du XIVe si\u00E8cle, plus particuli\u00E8rement \u00E0 partir de la septi\u00E8me croisade. Une telle alliance peut appara\u00EEtre comme un choix logique au vu des forces en pr\u00E9sence \u00E0 cette \u00E9poque. Les Mongols faisaient preuve de sympathie envers le christianisme, certains d'entre eux \u00E9taient m\u00EAme nestoriens. De leur c\u00F4t\u00E9 les Crois\u00E9s pouvaient souhaiter une aide venue de l'est pour renforcer leur conqu\u00EAte de la Terre sainte ; certains, au d\u00E9but, crurent m\u00EAme qu'elle pourrait leur venir du mythique Royaume du pr\u00EAtre Jean. Mais, s'il y eut de multiples relations diplomatiques entre les Francs et les Mongols, malgr\u00E9 le d\u00E9sir des Mongols et des Arm\u00E9niens, sauf accord ponctuel et local il n'y eut ni coop\u00E9ration militaire ni civile. Malgr\u00E9 le jugement de certains historiens, il n'est pas s\u00FBr qu'une telle alliance aurait \u00E9t\u00E9 favorable aux Europ\u00E9ens. En effet, les Mongols m\u00E9prisaient leurs vassaux et les prot\u00E9geaient peu : Antioche et la Petite Arm\u00E9nie furent d\u00E9truites sans qu'ils n'interviennent ; le risque \u00E9tait surtout de les voir se retourner contre l'Europe et la conqu\u00E9rir. Ainsi, dans son rapport \u00E0 Louis IX de France, Guillaume de Rubrouck \u00E9crit : les Mongols \u00AB n'ont jamais conquis aucun pays par la force, mais par la ruse. C'est parce que les gens font la paix avec eux que, sous le couvert de cette paix, ils les d\u00E9truisent. \u00BB L'alliance la plus \u00E9troite prend la forme de la soumission de la principaut\u00E9 d'Antioche, qui devint vassale des Mongols en 1260, avant d'\u00EAtre an\u00E9antie en 1268 par les Mamelouks. Les autres chr\u00E9tiens vassalis\u00E9s, la G\u00E9orgie et le royaume arm\u00E9nien de Cilicie, qui devaient payer tribut et fournir des troupes pour combattre aux c\u00F4t\u00E9s des Mongols, n'\u00E9taient pas des Francs. La seule action militaire conjointe fut la participation en 1260 des troupes de la Petite Arm\u00E9nie et d'Antioche \u00E0 la prise de Damas, quand la majeure partie de la Syrie fut bri\u00E8vement conquise par les Mongols. Les Francs d'Acre, quant \u00E0 eux, rest\u00E8rent neutres, et fournirent plut\u00F4t des vivres aux Mamelouks d'\u00C9gypte, ce qui les aida \u00E0 gagner la bataille historique d'A\u00EFn Djalout qui brisa l'expansion mongole vers l'ouest. Les Mongols envahirent de nouveau la Syrie entre 1281 et 1312, faisant appel quelquefois \u00E0 des op\u00E9rations conjointes avec les Europ\u00E9ens, m\u00EAme si les difficult\u00E9s logistiques, alors tr\u00E8s importantes, rendaient souvent impossible la coordination des actions et se traduisait par une arriv\u00E9e des troupes alli\u00E9es que dans des d\u00E9lais de plusieurs mois. Finalement, ces tentatives d'alliances n'aboutirent pas et les tractations cess\u00E8rent tout \u00E0 fait apr\u00E8s la victoire des Mamelouks \u00E9gyptiens et l'\u00E9viction des Francs de Palestine (1291) puis des Mongols de Syrie (1303), et la signature du trait\u00E9 de paix d'Alep entre Mamelouks et Mongols en 1323."@fr . . . . . . . . . . . . . . "Alliances franco-mongoles"@fr . . . . . . . . . "26226"^^ . . . . . . "David of Ashby"@fr . . . "David d'Ashby"@fr . . . . . . "\u0424\u0440\u0430\u043D\u043A\u043E-\u043C\u043E\u043D\u0433\u043E\u043B\u044C\u0441\u043A\u0438\u0435 \u0441\u043E\u044E\u0437\u044B"@ru . . . . . . . . "Des tentatives ont \u00E9t\u00E9 conduites afin de former une alliance franco-mongole entre le milieu du XIIIe si\u00E8cle et le d\u00E9but du XIVe si\u00E8cle, plus particuli\u00E8rement \u00E0 partir de la septi\u00E8me croisade. Une telle alliance peut appara\u00EEtre comme un choix logique au vu des forces en pr\u00E9sence \u00E0 cette \u00E9poque. Les Mongols faisaient preuve de sympathie envers le christianisme, certains d'entre eux \u00E9taient m\u00EAme nestoriens. De leur c\u00F4t\u00E9 les Crois\u00E9s pouvaient souhaiter une aide venue de l'est pour renforcer leur conqu\u00EAte de la Terre sainte ; certains, au d\u00E9but, crurent m\u00EAme qu'elle pourrait leur venir du mythique Royaume du pr\u00EAtre Jean."@fr . "\u30D5\u30E9\u30F3\u30AF\u3068\u30E2\u30F3\u30B4\u30EB\u306E\u540C\u76DF"@ja . . . . . .