. . . . . . . . "\u041A\u043B\u0430\u0441\u0442\u0435\u0440 (\u0445\u0438\u043C\u0438\u044F)"@ru . . . . . . . . . . . . . . "4239115"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Un agr\u00E9gat atomique, souvent d\u00E9sign\u00E9 par le terme anglais cluster, est un ensemble d'atomes li\u00E9s de fa\u00E7on suffisamment \u00E9troite pour avoir des propri\u00E9t\u00E9s sp\u00E9cifiques, et de taille interm\u00E9diaire entre une mol\u00E9cule et un solide massif. Cette d\u00E9finition tr\u00E8s large recouvre deux r\u00E9alit\u00E9s sensiblement diff\u00E9rentes : En chimie, il existe diff\u00E9rentes sortes d'agr\u00E9gats : le carbone et le bore peuvent ainsi constituer respectivement des agr\u00E9gats tels que des fuller\u00E8nes et des boranes, et les m\u00E9taux de transition forment \u00E9galement des agr\u00E9gats particuli\u00E8rement stables."@fr . . . "Un agr\u00E9gat atomique, souvent d\u00E9sign\u00E9 par le terme anglais cluster, est un ensemble d'atomes li\u00E9s de fa\u00E7on suffisamment \u00E9troite pour avoir des propri\u00E9t\u00E9s sp\u00E9cifiques, et de taille interm\u00E9diaire entre une mol\u00E9cule et un solide massif. Cette d\u00E9finition tr\u00E8s large recouvre deux r\u00E9alit\u00E9s sensiblement diff\u00E9rentes : \n* Du point de vue chimique, elle d\u00E9signe des compos\u00E9s chimiques, souvent des catalyseurs, constitu\u00E9s de quelques dizaines d'atomes avec g\u00E9n\u00E9ralement une forte proportion d'atomes m\u00E9talliques. \n* Du point de vue physique, les clusters s'appliquent \u00E0 tous types d'atomes engag\u00E9s dans des structures typiquement de plusieurs milliers d'atomes, formant par exemple des nanoparticules. En chimie, il existe diff\u00E9rentes sortes d'agr\u00E9gats : le carbone et le bore peuvent ainsi constituer respectivement des agr\u00E9gats tels que des fuller\u00E8nes et des boranes, et les m\u00E9taux de transition forment \u00E9galement des agr\u00E9gats particuli\u00E8rement stables. Le terme cluster est introduit au d\u00E9but des ann\u00E9es 1960 par le chimiste am\u00E9ricain Frank Albert Cotton pour d\u00E9signer les compos\u00E9s ayant des liaisons m\u00E9tal-m\u00E9tal. Plus pr\u00E9cis\u00E9ment, cette d\u00E9finition se r\u00E9f\u00E8re aux compos\u00E9s contenant un groupe d'au moins deux atomes de m\u00E9tal li\u00E9s par au moins une v\u00E9ritable liaison m\u00E9tal-m\u00E9tal. Cette notion a depuis \u00E9t\u00E9 \u00E9tendue \u00E0 toutes les structures d'au moins une demi-douzaine d'atomes (parfois, plusieurs centaines) dont la coh\u00E9rence est assur\u00E9e essentiellement par des liaisons non strictement covalentes. On distingue les agr\u00E9gats atomiques stabilis\u00E9s par des ligands des agr\u00E9gats \u00AB nus \u00BB (sans ligand) : les principaux ligands rencontr\u00E9s dans ces structures sont le monoxyde de carbone, les halog\u00E9nures, les isonitriles, les alc\u00E8nes et les hydrures."@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Klaster (chemia)"@pl . . . "\u539F\u5B50\u7C07\u5316\u5B78"@zh . . . . . "171549718"^^ . . . . . . . . . "Agr\u00E9gat atomique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "6417"^^ . .